• n'hésitez pas à commenter sans retenue

    Quand j’entre dans mon bureau, je remarque une petite enveloppe placée au milieu de celui ci. Je la prend, je l’ouvre et y voit un carton d’invitation pour une vente à domicile de jouet érotique. C’est vrais qu’après les ventre de tupperwaere, de bijoux, de parfum et autres objet féminin, maintenant ce sont les petit jouet sexy pour les quelle on organise des petites soirée à domicile entre femme. 

    Le jour venu, je quitte mon travail et je me rend immédiatement à l’adresse indiquée sur le carton. Celui ci ne portant pa de nom, je ne savais pas chez qui j’allais arrivée mais peu importe, ca pourrait être sympa. 

    Je sonne à la porte et une femme vient m’ouvrir, je reconnais de suite Corine, une employée d’une des entreprises qui occupent l’immeuble dans le quel je travail. Je suis d’ailleurs un peu surprime que Corine participe voir même organise ce type de vente.

    Elle me fait entrer et me présente deux autres femme présente qui ne sont autre que ces deux soeurs. Corine doit avoir une trentaine d’année, et ces deux soeurs sont visiblement plus âgées. Ma « collègue » est une femme assez séduisante, mince et élégante tout comme sa première soeur. La soeur la plus âgée est bien plus ronde, elle est ce qu’on appelle une femme forte.

    Je suis accueillie par les trois femmes avec amabilité, la maitresse de maison me propose un verre de Sangria en attendant la vendeuse. Quelques minutes plus tard, celle ci arrive. On pourrait imaginer voir venir une femme sexy et sensuelle pour vendre ce genre de choses mais ce n’est pas du tout le cas. C’est une femme d’une cinquantaine d’année, certe joviale mais on voit bien que c’est une femme plutôt sérieuse qui vient pour faire du business et rien d’autres. J’avoue être un peu déçue mais bon, si je trouve de quoi me faire plaisir à la maison, c’est déjà pas mal. Elle déballe la marchandise, la dispose un peu partout dans le salon puis prend la parole : 

    « Voila, comme convenu avec Corine, je vous laisse entre vous, voici une liste de prix et je laisse Corine responsable des ventes. Je Viendrai près d’elle demain »

    En nous souriant et nous saluant, elle quitte la maison.

    Nous regardons toutes les différents objets éparpillés ca et la dans le salon, on les tourne dans tout les sens en souriant. Tout à coup Corine prend la parole : 

    « Ce qui est bien c’est qu’on a une salope permis nous pour les tester n’est ce pas Sonia »

    Je la regarde un peu surprise et incrédule. et elle continue : 

    « Enfin c’est ce que j’ai entendu dire de la part d’Ivan….Tu vois de qui je parle? »

    Voyant que je ne répond pas, elle continue : 

    « tu sais que Yvan et moi on sort ensemble je suppose car tout le monde le sait »

    Je me rend compte alors qu’elle me parle d’Yvan, le match de foot avec ces deux potes….et je commence a me dire que cette invitation ne tourne pas vraiment comme je le voudrais.

    « Je veux que tu t’agenouille sur le fauteuil pour que je regarde le cul que mon mec a baisé »

    « mais Corine…. »

    « Ta gueule et fait ce que je te dis »

    Ces deux soeurs se lèvent et se mettent de chaque coté de moi. Je n’ai pas d’autre choix que de m’exécuté et de m’agenouillée dans le devant.

    « c’est vrais que tu as un beau cul, il faut le reconnaitre »

    « Heuu……merci »

    J’avais un ton hésitant ne sachant pas trop comment prendre la chose. 

    Je sens maintenant une main à l’entrée de ma chatte, c’est la plus jeune soeur de Corine qui me touche et elle se rend compte que je mouille. elle le fait remarqué à ses soeurs :

    « regardez elle mouille cette salope, il faut faire quelque chose »

    Je sens alors quelque chose de dur à l’entrée de ma chatte, je me tourne et je vois que Corine à enfilé un gode ceinture. Elle s’apprête a me le mettre et d’un coup de rein le fait entrer en moi. Elle commence des mouvements de vas et viens, me ca m’excite et commence à gémir.

    « hummmmm hoooo ouiiii »

    en entendant cela, elle accélère de plus en plus vite en disant :

    « Alors c’est comme ca qu’il t’a baisé mon mec salope? »

    « hummmm hoooo oui c’est bon »

    « répond connasse c’est comme ca qu’il t’a baisée espèce de petite putain »

    « ouiiii ouiiiiiii c’est comme caaaaaa »

    le jeune soeur de corine attrape un gode et me le colle en bouche en m’ordonnant de le sucer en même temps:

    « tiens suce le, je suis certaine que tu dois aimer conasse »

    Elle me foure le gode en bouche mais vraiment comme si elle me baisait la bouche, bien profondément puis le retire et l’enfonce à nouveau. Je ne sais plus crier mais je ne fait plus que d’émettre des sons de jouissance étouffé par ce gode. Je transpire, je jouis comme une folle, je prend vraiment mon pied et Corine continuait de me dire :

    « Je parie que je te baise mieux que mon mec espèce de pute, t’aime ca? ALORS T ‘AIME CA? T’ES VRAIMENT UNE POUFFIASSE »

    Soudain je sens quelque chose contre mon petit trou, ces la plus grosse des deux soeur qui se prépare a me foutre quelque chose dans le cul :

    « oui vas y défonce lui le cul a cette merde de gonzesse, fais la gueuler comme jamais cette truie »

    elle me rentre le truc dans le fion sans ménagement, cette grosse conne commence des vas et viens super rapide dans mon cul pendant que l’autre me défonce la chatte avec son gode ceinture et que la troisième me baise la bouche avec un gode. Elles m’insultent toutes les trois sans arrêter, moi je gueule de plus en plus fort de jouissance, je ne pense plus, je ne réfléchis plus, je subis tout ces assaut de ces trois soeurs déchainée. Je pense que ca a duré près d’une demi heure avant qu’elles ne s’arrêtent elles aussi épuiséent de me démonter comme elle disaient.

    Je m’affale dans le divant, habillée mais plutôt débraillée. Corine m’attrape par les cheveux pour tirer mon visage vers elle qu’elle lèche avec sa langue plaquée contre moi puis me dit : 

    « Je voulais te baiser mieux que mon mec, je voulais que tu te souvienne de moi et pas de lui, je veux que quand tu veux vraiment jouir, tu vienne me trouver moi et pas lui, tu m’as compris? »

    Je me contente de lui faire un signe oui de la tête. J’avais été secouée, humiliée, démontée mais qu’est ce que j’ai jouis, qu’est ce que j’ai pris mon pied.

    Corine m’a laissé reprendre mes esprit avant de me dire de me barrer de chez elle. Mais elle a ajouter : 

    « Tu sera ma chose quand je le déciderai, tu me dois bien ca »

    Puis elle m’a a nouveau attrapée par les cheveux pour tirer ma tête en arrière et me rouler une pelle magistrale.

    19 : les trois soeurs

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  • Cela faisait près d’un an que mon mari avait demandé à un de ces copains, patron d’une entreprise de peinture en bâtiment et rénovation pour qu’il envoie un de ses hommes pour repeindre un mur de la cage d’escalier de la maison. Quand il lui a enfin dit qu’un de ses ouvriers viendrait vendredi, j'ai bien sur immédiatement accepté et dit que je m’arrangerait pour prendre congé ce jour là. 

    Il est 8h30, mon mari est partit depuis une heure déjà quand le peintre se présente à la porte d’entrée. C’est un grand black tout mince, pas un africain mais un indien qui est devant moi. Je lui montre le travail à accomplir puis en sa compagnie choisit la teinte la plus appropriée et que j'aime le plus. Le black se met au boulot dès que j’ai fait mon choix de couleur. j’étais en jeans quand il est arrivé mais vers 10h00, je monte dans la salle de bain pour me préparer à sortir faire quelques courses. Tout en montant à l’étage, je souris gentiment à l’ouvrier en plein boulot puis entre dans ma chambre pour préparer mes affaires. Une mini jupe moulante, des bas autos portant et un top bien décolleté feront parfaitement l’affaire. Quand je sors de la salle de bain, je suis prête et parfaitement maquillée. En passant à nouveau près de l’ouvrier en plein travail, je vois son regard se poser sur moi et l’expression de ces yeux combinés à un petit soupir d’admiration me font penser qu’il me trouve plutôt désirable. 

    •   -  « J’ai quelques courses à faire, je m’absente une heure, vous n’avez besoin de rien ? »
    •   -  « Non merci madame, ca ira très bien. »
      Dès mon retour, je constate que le peintre n’a pas chômé, son boulot est bien avancé. Je regarde et le félicite pour la propreté et la minutie avec les quels il fait son travail puis continue de vaquer a mes occupations.
      Vers midi, je viens le retrouver pour lui proposer de se joindre à moi pour déjeuner. L’ouvrier accepte avec un grand sourire qui dévoile la blancheur de ces dents qui contraste avec la couleur de sa peau. nous nous installons tout les deux à table et tout en mangeant, nous discutons de choses et d’autres. Adil, c’est comme ça qu’il se prénomme, en profite également pour me complimenter sur la maison pour commencer puis sur mon physique et ma tenue vestimentaire ce qui n’est bien sur pas pour me déplaire. Une manière de draguer comme une autre je pense en le regardant jeter un œil sur sa montre :

    - « Je pense qu’il est l’heure de me remettre au boulot. »
    Les regards qu’il avait posés sur mes cuisses et sa manière de me complimenter m’avaient donné des envies de baiser mais pour cela, il faut que je prenne les choses en main et que je sois directe : 

    •   -  « Avant, je me pose une question depuis longtemps. »
    •   -  « Ha oui, la quelle ? »
    •   -  « La queue des blacks comme vous, est elle aussi bonne que celle des africain ? »
      L’ouvrier n’attendait que cela en fait et il se lève d’un bond, immédiatement imité par moi puis il me prend par la taille et me serre contre lui pour que je sente qu’il bande.

    - « Si tu veux vraiment le savoir, sort la. »
    Je m’accroupis, détache le pantalon de travail de cet homme puis en sort une queue tendue que je caresse lentement. Pour le provoquer, je lève les yeux vers lui et lui dit : 

    •   -  « Mwais, ça peut aller mais celle des africains est quand même plus grosse. »
    •   -  « Quand je vais te baiser, tu verra qu’elle te fera jouir salope. »
      excitée par cette réponse je prend la queue d’Adil dans ma bouche et le suce avec application. Elle n’est pas vraiment grosse mais elle est longue et dur comme du bois. Je lui pompe la queue en lui palpant les couilles qui elles non plus ne sont pas très grosses mais sont bien pleines. Après l’avoir bien pipé, je prend un préservatif dans mon sac et je lui enfile doucement tout en lui caressant toujours les burnes pour ne pas qu’il débande. Ensuite, je prend appuis avec mes deux mains sur la table de la cuisine pour qu’il me prenne par derrière. Il frotte son gland à l’entrée de ma chatte, le passe entre mes lèvres puis plutôt que de me l’enfoncé, il remonte plus haut et la plante dans mon cul sans le moindre ménagement. Ce fumier est occupé à m’enculer sans même être passé par ma chatte. Il me défonce carrément le cul en me disant :

    •   -  « Alors ma queue, elle te convient salope ? »
    •   -  « Hum, oui, oui, encore, continue. »
    •   -  « Petite pute de bourgeoise, je vais t’exploser la rondelle. »
      Les coups de rein de l’ouvrier sont de plus en plus forts et de plus en plus rapide, sa queue est parfaite pour une sodomie sans préparation. Je gémis et crie de plaisir. Le type passe sa main entre mes cuisses par devant pour me tripoter la chatte et même me foutre un doigt pendant qu’il m’encule sans ménagement en disant :
    •   -  « C’est ca que tu veux salope hein, C’EST CA QUE TU VEUX ? »
    •   -  « OUIIIII »
    •   -  « T’aime ça pouffiasse ? »

    Puis d’un coup il se retire, enlève la capote et dit : - « Je veux me vider sur tes nibards. » 

    Je me tourne vers lui, je m’accroupis en levant mon top pour lui dévoiler mes seins qu’il n’a pas encore eu l’occasion de découvrir totalement. Il se branle rapidement en les regardant et ne met que quelques secondes à jouir. Le liquide tiède sort en saccade de la queue du peintre pour s’écraser sur mes nichons , je l’étale en me caressant lentement. Cette vision excite cet homme qui vient de jouir. 

    Il a du mettre les bouchés doubles pour réussir à terminé le travail à temps mais il y est arrivé. Quand il a quitté la maison, il m’a remercié pour le déjeuner et surtout pour le dessert qu’il ne sera pas prêt d’oublier. 

    18 : le peintre en bâtiment

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  • Je suis à l’accueil aujourd’hui ce qui signifie, une journée plutôt cool. J’ en profite parfois pour faire mon boulot de responsable d’évènement mais ce n’est pas toujours facile car je suis souvent interrompue par des visiteurs ou des représentants en visite dans l’une ou l’autre entreprise qui occupent l’immeuble et qui pour la plus part emploie m’emploie pour leurs organisations exceptionnelles quelles qu’elles soient.
    Je suis occupée faire des recherche sur internet quand une femme d’une quarantaine d’année se présente devant mon comptoir. 

    •   -  « Bonjour, je cherche le bureau de Monsieur Placard ? »
    •   -  « Cinquième étage, au fond du couloir sur la gauche puis dans le deuxième couloir
      troisième porte à droite. »
    •   -  « Ca m’a l’air bien compliqué, vous pouvez m’y conduire ? »
    •   -  « Si vous voulez. »
      Je
      me lève et passe de l’autre côté. Je remarque de suite le regard que la déléguée commerciale me porte. Evidement ma tenue est comme d’habitude sans équivoque, très courte et sexy. La femme que j'emmène vers le bureau de Placard est quand à elle plus sobre. Un tailleur noir avec une jupe droite lui arrivant au dessus du genou, un petit chemisier blanc, tout ce qu’il y a de plus sobre. Elle était assez grande, plus grande que moi, cheveux châtains clair assez long avec une queue de cheval. Elle avait aussi une paire de petite lunette argentée. C’est une belle femme mais trop sage a mes yeux.
      Pendant le trajet qui l’emmène vers le bureau de celui avec qui elle a rendez-vous, la représentante ne cesse de mater mon cul. Lorsqu’elle arrive devant le bureau en question, elle me dit qu’elle me retrouvera après son rendez- vous car elle a un renseignement à me demander. Je lui répond avec un sourire très coquin voir même cochon comme j’en ai le secret et que j’applique presque systématiquement maintenant avec tout le monde :
    •   -  « Je suis à votre disposition dans le hall madame. »
    •   -  « Alors ça, c’est bon à savoir. »
      Cette réponse me trouble et je me demande ce qu’elle veut dire par la. En retournant à mon poste, je me pose des questions sur cette femme à l’allure et au comportement plutôt autoritaire. Etant bisexuelle, les femmes qui m’attire sont toujours autoritaire voir même très dominatrice. Avec les hommes c’est aussi de cette manière que je prend le plus mon pied mais je sais aussi le prendre en inversant les rôles ce qui est nettement moins le cas avec les femmes.
      Une heure plus tard, la femme redescend et se dirige d’un pas décidé vers l’accueil. Je la regarde venir vers moi avec un sourire. Quand elle arrive à ma hauteur, la déléguée commerciale s’adresse à moi froidement et sur un ton autoritaire :

    •   -  « Ou sont les toilettes ? »
    •   -  « Il y en a dans le fond du hall ou au sous sol madame. »
    •   -  « Alors vous allez m’y conduire. »
    •   -  « Oui madame. » 

    Cette réponse suffit à la représentante pour se rendre compte que je suis plutôt soumise quand à moi, je ne suis pas dupe et je sais que les réponses formulées telle qu’elle laisseraient transparaître une certaine soumission. Quand on arrive dans le couloir, la dominatrice prend la parole directement et sans aucun respect: 

    « C’est pour allumer les mecs que tu te fringue comme ça ? »
    « Pardon madame ? »
    « Je te demande si c’est pour allumer que tu te fringue comme une salope ? » 

    « Mais enfin madame, je ne vous permets pas. » 

    Je sais très bien que je provoquerais la colère de la femme en lui répondant de la sorte et c’est en effet ce qui arrive. La représentante s’approche de moi et m’attrape par les cheveux, elle tire ma tête en arrière puis approche son visage très près du mien. Ces lèvres sont presque posées sur les miennes et je sens son souffle chaud sur mon visage et elle me dit : 

    - « Tu n’a rien à me permettre, tu as compris salope ? »
    Je lui fait signe « oui » de la tête alors la quadragénaire me prend fermement par le bras et m’attire dans une des toilettes. Elle pose un pied sur la cuvette en remontant sa jupe puis elle écarte son string pour me dévoiler une chatte dégoulinante et parfaitement taillée. Elle me regarde dans les yeux et m’ordonne : 

    - « Lèche maintenant. »
    Je m’accroupis et pose ma langue sur le sexe de cette femme. je passe ma langue entre les lèvres charnues puis s’attarde sur son clitoris que je suçote doucement. La déléguée gémit sous les caresses que je lui prodigue avec ma langue. Elle passe sa main dans mes cheveux puis d’un coup les serre dans ses doigts et attire mon visage encore plus vers sa chatte comme si elle voulait enfoncer toute ma tête dans son vagin. Je m’active avec ma langue que j’enfonce le plus loin possible dans la chatte de cette femme pour la faire jouir. A ces gémissement, je me rend compte que ca ne va pas tarder alors je redouble d’application jusqu'à ce que je sente les muscle de la déléguée se relâcher. Elle venait de prendre son pied sous mes coups de langue. Elle me redresse avant de me dire : 

    •   -  « C’était bon, tu as bien travaillé. »
    •   -  « Merci Madame. »
    •   -  « Donne-moi ton numéro de portable. »
      Je
      m’exécute et le note sur un petit bout de papier que j’ai dans ma poche :

    - « Je t’appel quand je reviens dans la région et tu as intérêt à être disponible, je ne serais plus aussi gentille qu’aujourd’hui. »
    je suis encore toute excitée par ce que je viens d’entendre. Il faut aussi avouer que à part donner du plaisir et être excitée d’être dominée, je n’avait pas reçu beaucoup de jouissance de mon côté.
    Heureusement je reçoit un message de mon mari qui m’annonce que contrairement à son habitude, il sera de retours assez tôt aujourd’hui. Je vais rentrer avant lui comme d’habitude mais dès son retour je lui sauterai dessus pour qu’il me baise et calme les envies que j’ai.

    17 Une délégué commerciale autoritaire

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  • Patric avait invité son plus jeune frère Christophe à passer à la maison le jour de son anniversaire. Il fête ces 25 ans et pour l’occasion, mon mari voulait qu’il vienne manger un morceau de gâteau le jour J. Evidement et comme la plus part des hommes, il avait oublié de m’en parler et c’est très surprise que j’apprend en rentrant du boulot que vers 19h00, mon jeune beau frère vient à la maison.
    A l’heure prévue, le jeune homme se présente à la porte et c’est Patric qui va lui ouvrir pendant que je m’affère dans la cuisine pour préparer un repas digne de ce nom. Les hommes s’installe dans le vieux canapé, une des dernières fois avant que le nouveau ne soit livré et je leur apporte un petit verre d’apéritif. Je remarque que Christophe me regarde attentivement, surtout quand je remplis les verres. mon mari étant en face de lui ne sait rien remarquer heureusement. Je retourne dans ma cuisine pour continuer les préparatifs improvisés lorsque je me rend compte qu’il n’y a plus de sel, ingrédient primordiale dans toutes préparations. Je retourne dans le salon pour en faire part à mon homme qui me dit aimablement qu’il va se rendre en ville en chercher dans un magasin de nuit. Il en profite pour demander à son frère s’il veut l’accompagné mais celui-ci refuse gentiment en argumentant qu’il préfère continuer à siroter son apéro tranquillement. Christophe sait que Patric en a au moins pour une bonne demi-heure avant d’être de retours alors dès qu’il est parti, il vient me retrouver dans la cuisine : 

    •   -  « J’ai remarqué tout à l’heure que tu ne portait rien sous ta blouse. »
    •   -  « Et moi j’ai remarqué que tu reluquait. »
      Le jeune homme n’était pas du tout décontenancé par ma réponse. Au contraire il se rapproche encore plus de moi et sachant que le temps lui était compté, il sait qu’il ne doit pas trainer s’il veut tenter quelque chose. Il se colle à moi tournée vers mon plan de travail en me mettant la main au cul :

    - « Tu as aussi un cul magnifique. »
    Je mouillait en sentant la grosse queue raide de Christophe plaquée contre mes fesses. Je me tourne vers lui et sans avoir le temps de dire un mot, les lèvres du jeune homme étaient déjà collées aux miennes. D’une main, il remonte ma jupe et fourre immédiatement deux doigts dans ma chatte nue et trempée. Tout en me caressant la langue avec la sienne il trifouille mon sexe avec ardeur. Ces doigts s’agitent de plus en plus frénétiquement et ma respiration s’accélère jusqu'à ce que je jouisse. Ensuite, il pose ses mains sur mes épaules et me dit : 

    - « Maintenant, tu va t’occuper de moi. »
    Sans rien répondre, je m’accroupis en lui offrant une vue de ma chatte grande ouverte et je sors du jeans de Christophe une belle grosse queue aussi raide que tu bois. Je la lèche sur toute sa hauteur avant de redescendre pour s’attarder avec ma langue sur les burnes du jeune homme. Pendant que je lui lèche les couilles, je le gratifie de mouvements de vas et vient avec ma main bien enroulée autours de sa tige. Je m’arrête quelques secondes pour le regarder dans les yeux et lui demander : 

    •   -  « Alors c’est bon ? »
    •   -  « Ho putain oui c’est bon, continue, pompe moi. »

    Je reprend la bite de mon beau frère dans ma bouche et entreprend une fellation dont j'ai le secret. Christophe gémit en me caressant les cheveux. Je sens qu’il ne tardera pas à jouir et c’est tant mieux car j’ai  un œil sur l’horloge de la cuisine et constate que mon mari est parti déjà depuis près de 30 minutes. J’accélère le mouvement de plus en plus en lui palpant les burnes quand d’un coup je sens un liquide chaud se répandre dans ma gorge. Je me régale de ce divin nectar que j’avale jusqu'à la dernière goutte pendant que mon beau frère gémit bruyamment. Je me redresse ensuite et lui roule une pelle avec un peu de sperme que j’avais pris soin de garder dans ma bouche pour le partager avec son propriétaire.
    Quand Patric est rentré, Son frère se trouvait toujours assis là ou il était quand il était parti mais avec le verre plus remplis et moi assise sur une chaise de la salle à manger. Tout deux étions occupé à discuter de choses et d’autres, des banalités de la vie. j’avais pris soin de me laver les dents pour éviter que mon mari ne sente peut-être le gout de foutre quand il m’embrasserait à son retour. Grand bien m’en a pris puisque c’est la première chose qu’il fait quand il rentre, un doux et long baisé. 

    16 : L'anniversaire de mon beau frère

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  • J’ en ai marre de voir ce vieux canapé dans le salon. Il a déjà quelques années et il devient de plus en plus râper. Quand j’en parle à Patric, celui-ci me répond d’aller voir après un nouveau, que je peux le choisir et que ce que je choisirai sera parfait pour lui. Pas besoin de le lui dire deux fois. mon mari étant absent ce samedi, je vais en profité pour faire les magasins de meuble et trouver ce qui pourra me convenir puisque j’ai le feu vert avec la recommandation malgré tout de ne pas exagérer dans les dépenses. En effet, quand quelque chose me plait, je ne regarde pas trop au prix car nous pouvons nous le permettre par contre, mon mari est plus prudent et économe. Je me dit que si quelque chose me plait vraiment, dans le domaine du salon en cuir, il est encore relativement aisé de négocier une ristourne d’autant plus que les vendeurs sont souvent des hommes. La seule chose qu’il faut faire, c’est de se mettre en valeur. 

    Quand Patric est partit, j’ouvre ma garde robe pour faire mon choix. Le temps étant pluvieux, les bas peuvent être ressorti, ce qui apporte encore un peu plus de sensualité à la tenue que j’ai l’intention de porter aujourd’hui. mon choix s’oriente vers bien sur des bas autos portants, une mini jupe très courte et en plus fendue sur le coté et un chemisier que je veillerai à ne pas trop attaché. Des cuissardes à hauts talons terminent mon look vestimentaire. Un beau maquillage et des lèvres bien rouges ajoutent encore à l’inspiration du désir. 

    Quand j’entre dans le magasin de meuble, je ne sais pas encore vraiment le genre de divan que je cherche, j’espère qu’il y en aura un qui me tapera dans l’œil. Je regarde depuis quelques minutes quand un vendeur vient vers moi. Je lui explique le genre d’intérieur dont je dispose et le style de meuble que j’aime. Après avoir reçu ces explications, le vendeur m’emmène dans une partie bien précise de la boutique et là, je vois immédiatement le canapé de mes désirs. Je m’en approche en le frôlant de la main avant de dire au vendeur : 

    •   -  « J’adore celui-ci, puis je m’y installer ? »
    •   -  « Mais bien entendu, je vous en prie. »
      Lorsque je m’y installe, ma jupe remonte un peu et grâce à la petite fente qui se trouve sur le coté, le vendeur peut voir la fin des bas et de début de mes cuisses nues. Il ne se gêne d’ailleurs pas pour mater avec le sourire. Je le regarde de mon air le plus coquin et lui dit d’une voix suave en montrant la petite étiquette qui se trouve sur le bord du divan :

    •   -  «C’estleprix?»
    •   -  « Oui madame. »
    •   -  « Une petite ristourne serait elle envisageable ? »
      Le vendeur me regarde de la tête au pied en s’attardant sur les parties les plus visibles de mon anatomie en souriant puis me dit :

    - « Je pourrais vous faire 30%. »
    Je décroise les cuisses lentement pour les croiser dans l’autre sens ce qui fait remonter encore un peu ma jupe et dévoile un peu plus le haut de mes jambes au type qui me regarde intensément. 

    - « Elle me parait minime cette ristourne, vous ne pouvez vraiment pas faire un effort ? » 

    En prononçant cette phrase, je pose ses yeux sur le sexe du vendeur et constate avec plaisir qu’il est entrain de bander. Le type visiblement mal à l’aise d’être repéré tente de cacher son érection avec un catalogue. Voyant cela, je profite de son trouble pour ajouter : 

    - « Vous n’avez pas un endroit plus discret pour négocier ? »
    En entendant ces paroles, l’attitude du marchand de meuble change, il retire le catalogue qui cachait son sexe tendu sous son pantalon et montre une porte à quelque mètre d’où il se trouve avant de dire : 

    - « par là. »
    Je me lève et me dirige immédiatement vers la porte en question. J’y entre et constate qu’il s’agit visiblement de l’entrepôt de stockage. L’homme me suit et verrouille la porte derrière lui puis s’avance vers moi et me dit : 

    - « Si vous voulez négocier, alors on va négocier. »
    En le regardant droit dans les yeux, je pose la main sur la bite du vendeur pas dessus son pantalon et la lui caresse au travers du tissu tendu. L’homme approche son visage et m’embrasse à pleine bouche. Je lui rend son baiser et on se roulent tout les deux une pelle magistrale en se tripotant mutuellement. Après ce baiser fougueux, c’est lui qui prend la parole : 

    - « Alors 40% si tu me la suce, 50% si je te baise et 70% si en plus, je t’encule. » je me lèche les lèvres, m’abaisse lentement et sort la queue du vendeur avant de lui dire en le branlant doucement : 

    - « On va faire tout ce qu’il faut pour les 70%. »
    J’aime la manière dont cet homme me dit les choses, il avait une expression vicieuse et cochonne de me proposer ce deal. Je le suce avec application en lui lançant de temps à autre un regard de salope. Je voulais qu’il voie le plaisir que j’ai de le pomper de la sorte. Les vas et vient buccaux sont de plus en plus rapide alors avant de jouir, il me repousse. Sachant maintenant ce qu’il veut, je sors un préservatif de mon sac et lui enfile avec dextérité avant d’aller m’agenouillée sur un canapé qui se trouve quelques mètres plus loin. Quand j’y suis installée, je tire sur ma jupe pour la relevé et entend le type crier : 

    - « HO PUTAIN, MAIS T’A MEME PAS DE CULOTTE. »
    j’ étais surprise qu’il ne s’en etait pas encore aperçu. Il s’approche, se positionne à l’entrée de ma chatte et d’un coup sec me pénètre. Son vas et vient rapide et brutal en me tenant par les hanche me fait jouir très vite puis il  se retire pour se placer à l’entrée du petit trou en disant : 

    - « Maintenant on passe au 70% salope. »
    Sa phrase terminée, il donne un grand coup de rein pour m’enfoncer sa pine dans le cul jusqu'à la garde. Il me bourre le derrière de plus en plus vite. Je prend mon pied, je gémis de plus en plus fort, mes cris de jouissance résonne dans le hall. 

    - « On sent que tu aime te faire enculée grosse salope. »
    Ces paroles augmentent encore mon excitation et mon plaisir alors je crie de plus en plus fort ce qui ne plait pas au vendeur. Il m’attrape par les cheveux et tire ma tête en arrière pour me dire à l’oreille d’une voix rauque : 

    - « Ferme ta gueule, on va nous entendre connasse. »
    Il est maintenant carrément entrain de me défoncer le cul en s’agrippant à ma chevelure. Il me pilonne de plus en plus fort, je sens ces couilles taper contre mes fesses. Ma tête est tirée en arrière pour que je me cambre au maximum puis d’un coup, il reste bien au fond pour jouir et se vider les couilles dans la capote que je lui avais enfilée. Quand il se retire, il me regarde pour me dire : 

    - « Tu me l’a enfilée, maintenant, tu me retire cette capote toi-même. »
    Je m’exécute et retire délicatement le morceau de caoutchouc souillé puis le laisse tomber sur le sol. Assise dans le canapé dans le quelle je viens de me faire mettre, je regarde le vendeur attacher son pantalon. 

    - « On peut établir le contrat maintenant ? »
    Lorsqu’il a fini d’ajuster sa cravate, il me demande de le suivre dans son bureau pour établir les documents relatifs à la vente et connaître l’adresse de livraison. Les 70% me sont accordé comme prévu et quand je rentre chez moi, je me trouve satisfaite à tout point de vue. Il faut maintenant espérer que le divan plaira à mon mari et qu’il ne se posera pas la question de savoir comment un canapé de cette qualité peut être vendu à un prix aussi bas. 

    15 : un nouveau canapé pour le salon

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