• J’avais prolongé mon week-end d’un jour car c’était le jour de retours de mon mari. Je ne savais pas l’heure exacte mais je savais qu’il devait rentrer dans le courant de l’après midi. Vers 9h00, je sors faire quelques courses pour préparer un petit repas sympa. je fais mes achats et lorsque je rentre vers 10h30, je remarque une camionnette stationnée dans l’allée de la maison. Le véhicule porte les marques d’une entreprise de jardinage que je connaîs bien. Je me souvient que son mari m’ avais dit les avoir contacté pour certains petits travaux d’aménagement mais je ne savais pas que c’était prévu pour ce jour précis. Le jardin étant accessible sans passer dans l’habitation, il n’était pas vraiment surprenant qu’ils se soient mis au boulot sans ma présence ou celle de Patric. 

    Je fais le tour de la maison et voit dans le fond du jardin, un homme qui travail seul accroupis. Il remplace des dalles cassées dans un des sentiers. Je m’approche doucement de lui, c’est un métisse qui doit avoir me semble t il une petite trentaine d’année. La température étant encore estival à cette heure de la journée, le jeune homme travail torse nu et je détaille sa musculature qui travail lorsqu’il fait un petit effort. J’avance toujours lentement vers lui et quand je suis à sa hauteur je lui dis : 

    •   -  « Bonjour, je suis Sonia. C’est mon mari qui vous a demandé de venir travailler ici ? »
    •   -  « Bonjour madame, je suppose car c’est mon patron qui m’envoie. »
    •   -  « Il fait chaud, vous ne voulez pas boire quelque chose ? »
    •   -  « C’est vrais, ce serait avec plaisir, merci. »
      Je
      lui fait signe de me suivre et pendant le trajet qui nous emmène dans la cuisine, je le complimente sur son travail. La propriété est assez grande et cela nécessite beaucoup de temps pour l’entretenir. Malheureusement, moi et Patric n’en avons pas énormément et quand nous en avons, nous préfèront le passer ensemble dans une activité de divertissement.
      Arrivé dans la cuisine, je propose au jardinier de s’installer sur une chaise pendant que je prend une boisson fraîche dans le réfrigérateur. Je prend la bouteille qui se trouve le plus bas possible dans le frigo et en profite pour lui exhiber mon cul parfaitement moulé dans une petite mini jupe sexy. L’ouvrier me regarde me pencher en avant et ne perd pas une miette du spectacle qui lui est offert. Je lui sers une citronnade et lui propose une glace. Le jeune homme refuse mais j’en ai très envie alors je vais dans le congélateur me chercher un glaçon long et rond qui a presque la forme d’une grosse queue. Après avoir échangé quelque mot, je déballe la friandise glacée et la lèche, la suce comme si c’était le sexe d’un homme. Je lançe en même temps des regards vicieux au jardinier qui me regarde sans rien dire. Je constate dans ces yeux une excitation naissante et pas seulement dans ces yeux. En baissant le regard vers son entre jambe, je vois une belle bosse déformé son pantalon de travail. En voyant l’effet que je produit sur mon invité, j’écarte lentement les cuisses pour lui dévoiler ma petite chatte nue sous ma mini jupe. Les yeux de l’ouvrier se pose immédiatement sur ce sexe offert alors je frotte doucement mon glaçon sur mon clitos ce qui a pour effet de lui donner de l’ampleur immédiatement sous l’effet du froid et de l’excitation de m’exhiber de la sorte. Le type me regarde et n’en crois visiblement pas ces yeux qu’il n’arrive pas à décoller de mon sexe. Je le regarde souriante avant de lui dire :

    - « Pour être franche, je préfère quelque chose de plus chaud. »
    L’homme se redresse alors d’un bon et détache son pantalon pour en sortir une belle bite tendue avec le gland turgescent qu’il me montre : 

    - « Alors, c’est ça que tu veux ? »
    je regarde cette belle queue brandie devant mes yeux et sans attendre plus longtemps la prend dans ma bouche pour la sucer doucement et avec application. Je soupèse une belle paire de grosses couilles visiblement bien pleine pendant que mes lèvres entourent parfaitement la tige qui m’est offerte. Je prodigue ce moment de plaisir depuis quelques minutes quand mon portable sonne. Je m’arrête, le prend en main et constate que c’est mon mari qui m’appelle. Je me redresse et m’installe sur ma chaise les cuisses grandes ouvertes pour que l’ouvrier ne perde rien du spectacle pendant que je répond à mon mari. J’ étais en pleine conversation téléphonique quand ce salopard de métisse s’agenouille et enfuit sa tête entre mes cuisses. Il me lèche et enfonce sa longue langue le plus loin possible dans mon sexe béant. Je pense que ce petit fumier tente de me faire jouir pendant que je parle au téléphone avec mon mari. Celui-ci lui explique d’ailleurs qu’il devrait être de retours à la maison dans 30 minutes. Je dépose le portable après avoir raccroché et dit : 

    - « Baise-moi vite, on manque de temps. »
    L’ouvrier se redresse et présente sa grosse pine à l’entrée de ma chatte. Il l’enfonce doucement avant de me donner de grand coup de rein de plus en plus rapide. Tout en me baisant, il approche sa bouche de la mienne et m’embrasse. Il me roule une pelle magistrale, je goute encore la saveur de ma chatte que le jeune homme avait léché quelques minutes avant. Maintenant il me défonce littéralement, les pieds de la chaise crissent sur le sol chaque fois qu’il recule en raison des coups de butoir brutaux que me donne le jardinier. D’un coup, il se retire pour éjaculer sur mon sexe alors que moi aussi je venais de jouir. Maintenant c’est la course, il ne me reste que quelques minutes pour me laver et me changer avant de retours de Patric.
    Je descend l’escalier lorsque j’ entend la clef tourner dans la serrure de la porte de devant. je me suis changée et j’ai eu le temps de nettoyer les traces de la jouissance de l’ouvrier. Je m’approche de mon mari dans le hall et l’ambrasse sensuellement sur la bouche. Nos langues se caressent dans la bouche de l’un puis de l’autre. 

    •   -  « Tu m’as manqué tu sais. »
    •   -  « Toi aussi ma chérie tu m’as beaucoup manqué. »
      Dans le jardin, le jeune métisse était accroupis, en plein travail de restauration. Je m’approche de lui, main dans la main avec Patric pour lui montrer son travail. Nous nous embrassons à nouveau puis repartons dans la maison ou nous allons ensemble défaire les bagages puis se cuisiner un petit repas que nous prendrons en amoureux ce soir. 

    Histoire vrais 9

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  • Le football, voila un sport qui est autant capable de rapprocher les gens que de les diviser. Je ne suis pas une fan de ce sport même si parfois je le regarde à la télé ou encore me rend au stade avec Patric quand il y est invité.
    Ce week-end, je suis seule car mon mari est parti pour son travail pendant quelques jours en Espagne. Chacun son tour, parfois c’est moi qui m’en vais pour m’occuper de l’organisation de certain voyage d’entreprise, parfois comme cette fois ci, c’est mon homme qui part à l’étranger pour travailler. je m’était plein à un de mes collègues la veille d’être seule pour un samedi soir en lui disant que je n’avais pas vraiment envie de sortir alors celui-ci m’ avais proposé de venir passer la soirée chez lui. Même si c’était pour voir un match de foot à la télé avec deux autres copains, au moins je ne serais pas seule.J’ avais accepté faute d’autre chose et m’étais même proposée d’apporter quelques petits amuses gueules.
    Pendant une partie de la journée, je prépare des petits toasts maison et différentes petites bouchées pour passer la soirée en compagnie de ces trois fans de foot. Je décide de faire attention à ne pas être trop provocante pour qu’ils passent plus de temps à regarder le match qu’a me mater et à avoir des envies cochonnes. Je connaîs les hommes mieux que personne. Je décide malgré tout de mettre une mini jupe mi cuisses et un top décolleté mais raisonnablement même si on voit le galbe de mes seins. Ce qui est sage pour moi serait déjà extrêmement sexy pour beaucoup d’autre femme. Il faut aussi avouer que je ne savais pas si je serais la seule présence féminine a cette soirée alors même si  j’aime provoquer les autres femmes, pour ce soir, il valait mieux la jouer relativement cool.
    Quand je sonne à la porte, c’est Ivan, le collègue qui m’avait invitée qui vient  m’ouvrir. Il me regarde de la tête aux pieds et me complimente sur ma tenue ce qui me fait penser que tout compte fait, je ne dois pas être si sobre que cela. Il me fait entrer dans le salon et présente André et Jaques, deux copains venu voir le foot eux aussi. 

    •  -  « Tu seras la seule femme présente, j’espère que ca ne te dérange pas ? »
    •  -  « Pas du tout, j’ai d’ailleurs préparé deux ou trois choses à grignoter. »
      Je tend un sachet à Ivan qui part dans la cuisine pour disposer ce qu’il y a à l’intérieur sur des assiettes avant de tout apporter à table sous les commentaires de satisfaction des deux copains visiblement amateur de bonne chaire.
      Avant que le match ne commence les hommes parlent foot en me demandant de temps à autre mon avis. Je me rend compte que mon opinions les importe peut mais que c’est un prétexte pour tourner leur regard vers moi et pouvoir me mater sans retenue. Pendant le match, je les observe et je constate qu’ils me regardent chacun leurs tours régulièrement et ne me laissent jamais sans une petite attention. Voila qui me réjouis car j’aime plaire avant tout et je constate que même soft à mes propre yeux, j’attire l’attention.
      A la mi-temps je m’adresse au maître de maison pour lui demander ou sont les toilettes. Il se lève et me demande de le suivre, qu’il va me montrer ou elle se trouve. Les WC se trouvent à l’étage et mon envie était bien autre que de m’y rendre. j’étais été assez excitée par toutes ces attentions envers moi et quelques réflexions coquines. Lorsque je me trouve dans le hall de nuit en compagnie d’Ivan qui me montre le petit endroit, je pointe le doigt vers une autre porte : 

    - « Et derrière cette porte ? » 

    - « C’est ma chambre. »
    Sans dire un mot, j’avance et l’ouvre pour y entrer. C’est une grande chambre avec un mobilier et une décoration très moderne. Ce qui m’étonne, c’est l’ordre qui règne dans cette pièce. Souvent les chambres de célibataires sont assez bordéliques mais ici ce n’est pas du tout le cas. Au centre de la pièce, il y a un grand lit recouvert d’une couverture de couleur assez vive. Je m’en approche puis m’y installe à genoux, le cul tourné vers mon collègue qui m’observe sans rien dire. je tortille un peu du cul avant de prendre ma jupe d’une main et de la remonter lentement le long de mes fesses. Le tissu sur cette partie de mon anatomie me prodiguait une caresse particulière qui augmentait encore mon excitation. J’entend un petit « ouf » d’excitation quand ma jupe est suffisamment remonté haut et que Ivan peut remarquer que je ne porte pas le moindre sous vêtement. C’est ce moment précis que je choisis pour lui dire : 

    - « Baise-moi. »
    L’homme s’approche de moi et pose ces mains sur mon cul et il me caresse et me malaxe les fesses avec excitation alors je répète : 

    - « Baise-moi. »
    En réalité, depuis mon arrivée, j’avais envie de me faire mettre et j’ étais même maintenant persuadée qu’en acceptant l’invitation, j’avais déjà inconsciemment envie de me faire baisée.
    Ivan défait son pantalon et amène son gland à l’entrée de mon sexe avant de me pénétrée lentement, centimètre par centimètre. Je le sens s’insinuer en moi doucement et profite de chaque seconde de plaisir. Quand il est bien au fond, il se retire toujours aussi lentement avant d’y retourner mais cette fois plus vite et plus vigoureusement. La vitesse à la quelle il me lime s’accélère de plus en plus inspiré par l’excitation qui grandit a chaque coup de queue qu’il donne. Je le sens de plus en plus chaud, il va de plus en plus loin, il me baise de plus en plus profondément et c’est ce que j’aime. Il souffle, il gémit puis d’un coup se retire et éjacule sur mon derrière offert.Je sens couler ce liquide chaud par saccades. Je l’étale d’une main sur mes fesses comme une huile bienfaisante.
    Quand je me retourne enfin, je vois Jaques et André adossés au mur. Ils venaient de se branler et de jouir en me regardant me faire défoncée par leur copain.
    Je me redresse et tire sur ma jupe sans m’occupé du foutre étalé sur mon postérieur puis me place devant Ivan pour lui rouler une pelle d’enfer. Je m’approche ensuite de ces deux copains footeux, pose chacune de mes mains sur leurs couilles respective et les tripotent en les embrassant à pleine bouche à tour de rôle. mes lèvres se posent sur celle d’André avant que ma langue ne pénètre la bouche de cet homme puis je fais de même avec Jaques en gardant bien leurs burnes dans mes mains. Ivan m’observe embrasser ses deux potes en leur palpant les parties intimes. Il se certainement dit que sa collègue est vraiment une belle salope.
    Quand je remonte dans ma voiture après avoir quitté les trois hommes pour les laisser regarder en paix le fin de la deuxième mi-temps, je me dis que j’aurais peut-être du rester pour les refaire bander et qu’ils me baisent ensemble. Ce sera pour une autre fois certainement. Maintenant, il est l’heure de rentrer car Patric risque de téléphoner et il serait dommage qu’il le fasse pendant que je me fait prendre. 

    Histoire vrais 8

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  • Je profite souvent de ma pause de midi que je n’hésite pas à prolonger pour faire quelques courses en grande surface. J’aime ce moment pour faire les achats ménagés car il fait souvent calme et ça me permet de déambuler dans les rayons sans être bousculée et de regarder ce qui m’intéresse à mon aise. C’est aussi à ce moment qu’il y a le plus d’homme seul dans ce genre de magasin et comme j’aime être matée, on peut dire que ça tombe plutôt bien d’autant plus que la tenue que je porte ne les laisse visiblement pas indifférent. Il faut bien avouer que la longueur de ma jupe moulante est très audacieuse et la profondeur de mon décolleté attirant pour le regard des mâles. Je remarque que beaucoup d’hommes se retournent sur mon passage et me regarde jusqu'à ce que je disparaisse au coin d’un présentoir. Il y en a même qui me suivent pour profiter de la vue plus longtemps mais cela ne me gêne pas, bien au contraire, on peut dire que ca m’excite. Pendant ma petite balade au fil des rayonnages, je passe dans celui des chaussures. J’aime les chaussures et je remarque une paire de botte avec de très haut talon qui me plaise beaucoup. Je cherche ma pointure et après avoir fouillé dans l’étalage désordonné, j’en trouve une. Je m’assied sur le petit banc fixé à un pilier au milieu de l’allée et regarde autours de moi. Je vois un homme d’une cinquantaine d’année en costume cravate qui m’observe à quelques mètres. Je ne sait pas depuis combien de temps il est entrain de me regarder. En voyant que je lève les yeux sur lui, il me sourit sympathiquement. Je répond au sourire de cet inconnu par un large sourire et je décide de me laisser aller à mes penchant légèrement exhibitionniste. Je me place parfaitement face à lui pour enfiler les bottes en prenant soin d’ouvrir suffisamment mes jambes pour que cet inconnu se rende compte que je ne porte rien sous ma mini jupe et ainsi lui montré mon sexe parfaitement épilé. Je fais ce petit manège négligemment pendant que le type me découvre avec grand plaisir en s’approchant doucement de moi. Quand j’ai enfilé la deuxième botte, je vois deux pieds planté devant moi alors je lève les yeux et constate qu’il s’agit du gars du bout de l’allée. Il était là, planté devant moi en me regardant de haut. Il parait plus grand a mes yeux maintenant. Cette position lui donne un air de supériorité, de domination ce qui n’est pas vraiment pour me déplaire. Cet homme avait son sexe juste devant mon nez alors je regarde autours de moi si personne ne se profile à l’horizon puis je lève doucement une main pour la posé par-dessus son pantalon sur le sexe raide de ce voyeur. Je lève à nouveau le regard vers lui avec mes yeux de salope soumise. C’est ce moment qu’il choisit pour prendre la parole pour la première fois d’une voix grave et autoritaire : 

    - « Tu la veux conasse ? »
    C’est de cette manière que j’aime qu’on me parle et c’est ce genre de parole qui m’excite alors je lui fait un signe « oui » de la tête avant de me lever en lui disant : 

    - « Il y a des cabine là bas. »
    Le mec me suit vers ces fameuses cabines d’essayages en matant mon cul bien moulé dans une jupe qui m’arrive quand même au ras des fesses. Je m’engouffre à l’intérieur de l’une d’entre elle et m’assied sur un petit tabouret dans un coin. Le mateur y entre à son tour et se plante devant moi sans rien dire en me laissant prendre les initiatives. Je pose une fois de plus ma main sur la queue de cet inconnu avant de détacher son pantalon pour en sortir une queue bien raide que je me met à sucer immédiatement. Je le pompe avidement en levant de temps en temps les yeux pour voir l’expression de son visage. Sa queue est vraiment raide et de petits bruits de succion rompent un silence imposé par une discrétion obligatoire. Le type ferme les yeux régulièrement ce qui témoigne de son plaisir.  J’en profite pour sortir un préservatif de mon sac et je lui enfile avec dextérité en continuant mes caresses buccales pour être certaine qu’il ne débande pas. Cette précaution prise, je me redresse et pose deux mains contre la paroi de la cabine en me cambrant bien en arrière. Je le sent venir placer son sexe à l’entrée de ma chatte puis d’un coup sec, il me pénètre en lâchant un petit souffle de plaisir discret. Il m'agrippe par les hanches et débute un mouvement de vas et vient qui se fait de plus en plus rapide au fils des secondes qui passent. Nous entendions tout les deux passer les gens qui venaient essayer des vêtements sans se douter de ce qui se passait dans cette cabine. C’était encore plus excitant de savoir qu’ils peuvent être découverts à tout moment. J’espérait même que dans ce cas là, mon inconnu baiseur ne s’arrêterait pas. Pour l’instant, il me pilonne toujours vigoureusement mais je veux encore autre chose. je prend appuis d’une seule main en cherchant l’équilibre puis de l’autre, j’écarte une de mes fesses pour faire comprendre à ce mec que je veux sa grosse queue dans mon cul. Quand il voit ce petit manège, sans hésiter il se retire pour la fourrée brutalement dans mon petit trou. Les coups de rein étaient encore plus violent et je devais me tenir à deux main pour amortir les choques et évité de me retrouver assommée sur la paroi de la cabine. Il me tient fermement et me défonce de plus en plus violement puis d’un coup, il se plante au fond de mon cul pour jouir en soufflant très fort. Après s’être vidé les couilles, il se retire, enlève le préservatif, ajuste sa tenue puis quitte la minuscule pièce témoin de nos ébats sans me dire le moindre mot. J’aime être traitée de la sorte, me sentir utilisée. J’ajuste moi aussi ma tenue avant de faire maintenant réellement mes courses de ménage. Pendant l’après midi passé au boulot, je repense souvent à cette baise dans une grande surface et je me dit qu’il faudra remettre cela un de ces jours. 

    7 eme infidélité à commenter sans retenue...histoire toujours vrais

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  • Un des employés de l’immeuble ou je travail avait organisé une petite réception chez lui à l’occasion de son anniversaire. Il voulait que cela se passe le vrai jour comme on le dit communément. Etant né le premier septembre, c’est un mardi soir que furent convié les collègues et amis à se rendre chez lui. Je fais partie des invités. Je m’y rend seule car mon mari est en réunion. Arrivée sur place, je constate que la plus part des invités présent sont des collègues avec parfois leur conjoint et quelques amis de Luc, l’homme fêté ce soir. En raison de ma fonction d’organisatrice d’évènements pour les entreprises de l’immeuble, j'ai l’habitude de dialoguer avec beaucoup de gens. Je me sens à l’aise aussi bien dans les soirées mondaines que dans les soirées d’anniversaires comme celle-ci. D’autant plus que les hommes m’abordent facilement et m’apportent régulièrement un verre pour être en ma compagnie quelques minutes et ainsi pouvoir se rincer l’œil. Il est vrai qu’aujourd’hui encore je porte une tenue faite pour attirer le regard des hommes et provoquer la jalousie de leur femme. Avec mes petites bottes à haut talon, ma mini jupe noir très courte qui dévoile mes  jambes bronzées et mon top profondément décolleté qui dévoile une petite poitrine aussi bronzée et sans la moindre marque de maillot, j’attire toutes les attentions et les commentaires. 

    Je passe d’un petit groupe à l’autre au fur et à mesure que les gens m’accostent. Je discute de tout et de rien, de choses sans importance le plus souvent. Comme souvent dans ce genre de soirée organisée dans une habitation, il y a des groupes d’invités dispersé dans toutes les pièces de la maison. Je déambule du salon à la salle à manger puis la véranda, le hall et même dans les chambres qui sont elles aussi occupées par des invités occupé à blaguer. Je n’hésite pas à jouer de mes charmes pour allumer l’un ou l’autre de ces messieurs. 

    Au cours de la soirée, je remarque que Luc, célibataire de 32 ans, s’affère à ramasser les verres vides déposés sur les tables, les accoudoirs et les appuis de fenêtres. Je me dirige vers lui avec un plateau vide que j’avais ramassé sur une table en passant et lui propose mon aide. Je remplis le plateau de verre vide et suis Luc dans la cuisine ou je le dépose sur le plan de travail. Pendant que mon collègue remplis le lave vaisselle, je ferme la porte de la cuisine et m’assied sur la petite table de bois placée contre le mur juste en face de la machine. j’observe Luc placer les verres avec minutie pour évité qu’ils ne se cassent ou ne s’entre choc pendant le programme de lavage. L’homme se sentant observé se retourne d’un coup vers moi d’un air interrogateur. J’en profite pour décroiser les jambes et les recroiser dans l’autre sens en donnant suffisamment d’ampleur à mon geste pour qu’il voie que je ne porte rien sous ma mini jupe. Luc reste alors le regard fixe sur mon entre jambe, il n’en revient pas de ce qu’il découvre. Voila le genre de chose qui m’excite alors j’ouvre les cuisses et me touche la chatte sans retenue devant ces yeux ébahis. J’étais trempée d’excitation et lui bandait comme un porc. 

    - « Sors ta queue, tu as bien droit à ton cadeau d’anniversaire. »
    Sans dire un mot, l’homme s’est redressé, a détaché son pantalon et a sortit son sexe. je suis descendue de la table et je me suis accroupie pour prendre immédiatement cette queue raide dans la bouche. Je la suce quelques courtes minutes car j’ai trop envie de me faire baisée. Ensuite je m’assied à nouveau sur la table en ouvrant mes guiboles au maximum et je lui a fais signe de venir me prendre. La porte de la cuisine était fermée mais pas à clef et nous savions tout les deux que quelqu’un pouvait entrer à n’importe quelle moment et cela augmentait encore l’excitation. J’observe la grosse pine de Luc pénétrer dans ma chatte humide et commencer un mouvement de vas et vient. L’homme retenait ses gémissements quand à moi, je me mordait les lèvres pour rester silencieuse. On entendait au travers de la porte, la musique et les éclats de rires des invités qui étaient loin de se douter de ce qui se passait dans la cuisine juste à coté d’eux. Luc allait de plus en plus vite, il me limait en me fixant dans les yeux, je faisais de même et nous pouvions lire tout deux notre excitations respectives ainsi que la jouissance qui montait préambule à une explosion de plaisir qui allait arriver sans tarder. En effet, d’un coup le type se retire et des jets de liquides chauds viennent s’écraser sur mon sexe et mon ventre. Je regarde ce spectacle après avoir moi-même jouit. D’une main, j’étale ce miel visqueux sur ma chatte et sur mon corps. mon collègue me regarde me caresser avant de se pencher vers moi pour m’embrassée. Il me donne un long baiser sensuel avant de se redressé et de me dire : 

    - « C’est certainement le plus beau cadeau d’anniversaire que j’ai reçu aujourd’hui. » je lui souris puis me redresse pour aller vers l’évier.
    Quand je rejoins les autres invités, personne n’a remarqué notre absence, pas de commentaires et c’est très bien comme ça. La suite de la soirée a elle aussi été excellente plaine de rire et de joie. 

    Vers 2h00 du matin, je décide de rentrer. Patric est déjà à la maison, il regarde la télévision. Je monte immédiatement dans la salle de bain pour me changer et mettre un peignoir avant de redescendre dans les bras de mon mari. 

    •   -  « Tu t’es déjà changée ? »
    •   -  « Oui, je suis crevée pourquoi ? »
    •   -  « J’avais envie de voir ce que tu portais ce soir. »
    •   -  « Rien d’extraordinaire tu sais. »
    •   -  « Et la soirée d’anniversaire ?
    •   -  « C’était chouette, il était très content de ces cadeaux »
      nous
      sommes ensuite montés tout les deux, main dans la main et je me suis endormie dans les bras de mon mari. 6 âme infidélités à commenter sans retenue et la photo aussi
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  • Samedi, 10h00 du matin, je me prépare pour aller faire un peu de shopping. Patric est absent en raison de son boulot comme la plus part des samedis. Il est vrai que ce n’est pas toujours la journée idéale pour faire les boutiques car il y a du monde mais il y a des moments ou j’ aime être dans la cohue des courses ménagère. C’est toujours moins désagréable de se retrouver dans ce genre de masse humaine quand on n’a justement pas vraiment de courses à faire. Ce genre d’achat, je les fait souvent pendant ma pause de midi ou pendant un moment libre lors d’une journée de travail plus calme. Aujourd’hui, ce sera vraiment balade et achat éventuel d’un truc ou l’autre qui me plait. Ce qui me plait aussi lors de ces journées, c’est le regard que posent les hommes qui accompagnent leur femme sur moi. J’aime entendre des bribes de conversations pendant les quelles leur chère et tendre épouse leur reproche de me mater. j’entend même parfois des mots assez grossiers ou des insultes envers moi et paradoxalement, ça m’excite beaucoup. Je ne me prive d’ailleurs pas pour mettre des tenues très sexy pour ce genre de sortie diurne. aujourd’hui j’ai opté pour une petite robe blanche très courte et moulante zippée sur le devant et des chaussures à très haut talon. Je sais que dans cette tenue, Je ne laisserai probablement aucun mari indifférent.
    C’est au moment ou je m’apprête à sortir que la sonnette de la porte d’entrée retentit. Je vais ouvrir et devant moi se tient Jean, le fils de Pierre, un ami de longue date. Le gamin à 19 ans, il est grand blond, de beaux yeux bleu, sportif, bien bâtit, en quelque sorte, on peu le qualifier de beau mec. 

    •  -  « Jean, comment vas-tu ? Que me vaut l’honneur de ta visite ? » 
    •  -  « Bonjour, je viens voir si mon père est ici, il ne répond pas sur son portable. » 
    •  -  « Non il n’est pas là mais entre, je t’en prie. »
      Le jeune homme détaille ma tenue avant d’entrer. Il n’est pas insensible à mon style. Il entre enfin et je le dirige vers le salon ou je lui montre le grand fauteuil devant la porte fenêtre pour qu’il s’y installe. Il à l’air assez tendu, son jeune âge le rend encore très timide et c’est un peu normal, il faut l’avouer. Pour le détendre je lui parle de banalités de la vie et de ces études. En discutant, je m’installe juste en face de lui, bien installée dans le fond d’un fauteuil et je croise mes jambes bien haut. Je sais que d’où il se trouve, il doit quasiment pouvoir mater mon cul tellement ma robe est courte. Jean qui est vêtu d’un training blanc m’explique qu’il devait le retrouver pour faire un tennis. Pendant qu’il m’expliquait cela, je remarque que le jeune homme pose régulièrement ces yeux sur mes cuisses largement offerte. Je pose également mon regard sur la partie intime de l’anatomie de mon invité surprise et constate une belle bosse sous son pantalon de sport qu’il a beaucoup de mal a dissimuler. 
    •  -  « Veux-tu boire quelque chose ? » 
    •  -  « Heu oui, avec plaisir. »
      Je me lève pour aller à la cuisine chercher un verre et une bouteille de coca cola. Quand je reviens, je pose le verre sur la table basse et me penche très fort en avant pour vider le liquide à l’intérieur. Jean en profite pour jeter un œil dans mon décolleté et ne peut plus s’en détacher. Il doit voir presque entièrement mes seins nu sous ma robe blanche des plus sexy. Il faut dire qu’un zip se règle comme on veut et je n’avait pas fait les choses à moitié, l’ouverture était à la limite indécente. 

    - « Alors jeune homme, on mate ? »
    Le garçon reste bouche bée devant mon audace. Il est pétrifié par sa propre timidité et ne sait quoi répondre. Il était pris la main dans le sac et cela le mettait mal à l’aise. Devant le malaise du jeune homme, je décide d’aller encore plus loin alors en montrant son entre jambe, je lui dis : 

    - « Et il me semble qu’on bande aussi ? »
    Je voyait juste, il bandait comme un âne. Je voulais en voir plus, en toucher plus alors je me suis accroupie devant Jean et lui ai abaissé son training d’un coup sec. Il n’a pas émis la moindre résistance et j’ai découvert une belle queue tendue pointant vers le ciel. J ‘ai a posé ma main dessus et l’ai caressée en regardant l’homme dans les yeux. Il me laissait faire en me regardant le branler et lui palper les couilles sans rien dire.Je me suis alors penchée sur cette tige pour la prendre dans ma bouche et la sucer lentement. C’est a cet instant précis qu’il est sortit de la bouche de mon invité un premier râle de plaisir. Moi, avide de ce genre de chose le suce, le lèche en lui tripotant les burnes sans arrêt. Je savais qu’il ne pourrait pas subir ce traitement bien longtemps avant de jouir mais je voulais me faire mettre. Je savais aussi que la timidité de ce jeune homme l’empêcherait de prendre toute forme d’initiative alors c’est moi qui devait prendre les devant.
    Je m’arrête de le sucer, me redresse et monte moi-même dessus. Je place sa queue à l’entrée de mon sexe et redescend lentement pour sentir cette queue entrer tout au fond de moi. J’ entame alors un mouvement de bas en haut de plus en plus rapide. La bite du jeune homme entre et ressort de ma grotte d’amour avec une grande facilité. Jean regardait mes seins se balancer au rythme des pénétrations malgré le fait qu’il soit toujours dans ma robe moulante. Je ne m’étais même pas déshabillée pour me faire baisée. Je regarde le visage du garçon qui se remplissait de jouissance. Je comprend qu’il ne va pas tarder à jouir alors je m’adresse à lui : 

    - « Ou veux tu te vider les couilles ? »
    Jean était encore plus excité en m’entendent lui parler vulgairement mais sa timidité encore une fois l’empêchait de dire ce qu’il pensait vraiment. 

    - « Alors dit moi ou tu veux te vider les couilles bordel ? »
    Je prononçait ces paroles en soufflant et en gémissant presque entre chaque syllabe. Lui ne répondait pas, il fermait les yeux de plaisir en gémissant de plus en plus fort. Sa respiration s’accélérait. Je sentait qu’il allait jouir alors je me redresse en lui disant d’un ton excité : 

    - « Je veux que tu décharge sur ma gueule. »
    Je m’allonge alors sur le divan, le jeune homme se lève et vient se masturber juste au dessus de ma figure. Je suis la allongée, la bouche ouverte, la langue sortie, occupée a m’agiter avec les deux doigts que je me suis fourrer dans la chatte pour me faire jouir en attendant de me prendre le foutre de Jean sur la face et dans la bouche. Je me lèche les lèvres en gémissant ce qui provoque chez le garçon une jouissance rapide. Des jets de sperme viennent s’étaler sur mon visage et dans ma bouche. Je tourne la langue pour ramasser et avaler le plus que je peux. En même temps je jouis moi aussi dans un cri de plaisir sensuel et cochon.
    Quand je reviens dans le salon après m’être nettoyer le visage, le jeune homme n’est plus la, il est partit certainement plus léger que quand il est arrivé.
    Je me demande aussi s’il en parlera à son père et je sais que si c’est le cas, celui-ci voudra certainement le même traitement que son fils. Ce que je sais par contre, c’est que je n’en parlera pas à mon mari.

    5eme infidélité. Commentez sans retenue

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