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22. La panne de voiture
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Le samedi matin quand Patric quitte la maison pour aller une fois de plus travailler un jour de week-end, Il était de mauvaise humeur et triste de me laisser une fois de plus seule un jour de week-end d’autant plus que nous avions prévu d’aller faire du shopping ensemble.
Quand il est parti, je monte dans la salle de bain et me prépare pour aller faire du shopping seul dans une ville voisine.Je n’ai pas très envie de rencontrer des gens que je connais. Après une bonne douche vient le choix de la tenue. Comme d’habitude, elle est très courte et décolletée avec des bas-auto portants et une paire de botte. Je termine de me préparer en me maquillant de manière provocante avec un rouge à lèvre qui me donne une bouche pulpeuse à souhait. Quand je suis prête, j'enfile un long manteau et prend la route. Comme j’ai tout mon temps, je prend les petites départementales pour me balader car même s’il ne fait pas très chaud en ce début d’octobre, le soleil est présent et c’est agréable de rouler sur des petites routes faiblement fréquentées.
Au bout de quelques kilomètres, un bruit strident retentit dans la voiture et une lumière rouge en plein milieu du tableau de bord s’allume puis c’est un message sur l’ordinateur de bord qui apparaît en stipulant qu’il faut s’arrêter dans le garage le plus proche.N’y connaissant pas grand-chose je m’arrête et décide de téléphoner à mon mari. Il me dit que la meilleur chose à faire est de me rendre dans un garage le plus proche possible du lieu ou je me trouve. C’est certainement la chose la plus prudente en effet alors je me met à la recherche d’un garagiste.
Le navigateur m’indique un village un peu plus loin, j’espère bien y trouver un atelier de mécanique automobile ouvert le samedi. Quand j’entre dans le village, il est presque 13h00 et je vois une vieille enseigne rouillée qui témoigne de la présence de l’objet de mes recherches. Je m’arrête dans la court, devant un grand volet sur le quelle une petite affichette précise les heures d’ouvertures. Manque de chance, le garage est fermé à midi. Je sors de ma voiture et me dirige vers la grande porte métallique sur la quelle je tambourine. Au bout de quelques secondes, j’entend une voix qui s’élève à l’intérieur :
- « Ouais, ça va, j’arrive. »
Une petite porte s’ouvre sur le côté et un grand type bedonnant d’une cinquantaine d’année apparaît.- - « Je suis désolé ma petite dame mais c’est fermé. »
- - « Je sais monsieur mais ma voiture a un problème et je n’ose pas continuer à rouler. » j’ai pris ma voix la plus câline, la plus suave et la plus sexy possible pour mettre tout les atouts de mon côté.
- « Ok, ok, j’ouvre le volet, entré votre voiture, je vais regarder. »
Sans me laisser le temps de répondre, il se retourne et rentre immédiatement en claquant la porte. Le volet se lève ensuite dans un grincement métallique de film d’horreur. Le garagiste apparaît et me fait signe d’entrer ma voiture. A peine suis je à l’intérieur que le grincement recommence. Je sors alors de ma voiture pendant que l’homme me regarde en me souriant pour la première fois.
- - « Je ne voudrais pas que vous tombiez en panne en pleine campagne. »
- - « Je vous remercie, c’est très gentil de votre part. »
Il faisait une chaleur apaisante dans l’atelier. Deux gros poeles se trouvaient de chaque côté et une soufflerie d’air chaud au centre. Le tout avait fonctionné probablement toute la matinée ce qui apportait cette douce chaleur à cet endroit vieillot.
- - « Alors, quel est le problème ? »
- - « Je ne sais pas, un voyant est allumé et une indication me demande de trouver un garage dans les plus bref délais. »
Le garagiste s’installe au volant, met le contacte pour voir ce qui se passe et me dit immédiatement :
- « Juste de l’huile, il manque de l’huile dans le moteur, rien de catastrophique tant qu’on en remet, vous avez bien fait de vous arrêter. »
Il ouvre le capot de la voiture et file dans le fond de l’atelier. Pendant ce temps, profitant de la douce chaleur de l’atelier, je détache mon long manteau. Pour la première fois en revenait une cruche à la main, le mécanicien peut voir ma tenue. Par l’expression qu’il a dans les yeux et le petit souffle à peine retenu sortit de sa bouche, je constate qu’il n’est pas du tout indifférent à ce qu’il découvre. Tout en vidant l’huile dans le moteur il prend la parole :
- « Cela aurait été scandaleux de refuser de l’aide à une femme aussi jolie. »
Je ne répond pas à ce compliment mais l’apprécie beaucoup. J’aime plaire aux hommes et leur faire de l’effet.
Après avoir terminé et vérifié que tout est en ordre, le garagiste part se laver les mains. J’attend son retour pour lui demander :- « Je vous remercie, combien vous dois je ? »
Il s’approche de moi et pose ces mains sur mes épaules par-dessous mon manteau et me dit :- - « Il n’y a pas d’autre moyen de paiement que l’argent ? »
- - « Je n’ai jamais parlé d’argent. »
J’ai très envie de baiser alors pourquoi s’en priver. Après tout, j’ai là une belle opportunité de prendre mon pied.
Le mécanicien retire mon imperméable et le pose sur le siège conducteur par la portière de la voiture restée ouverte. Sans ménagement, il fourre immédiatement sa main sous ma jupe. Son excitation est a son comble quand il se rend compte que je ne porte pas de tissus pour entraver le contacte avec ma chatte toute lisse. Je pose ma main sur la queue du garagiste par-dessus sa salopette. Je la sens raide et grosse, prête à l’emploie. L’homme détache fiévreusement les boutons pour dévoiler son torse nu puis son sexe dressé. Je sors de mon sac un préservatif que je lui tend et qu’il déballe en tremblant d’excitation. Il m’attrape et me soulève comme une poupée pour me posée assise sur le capot de la voiture. Il m’écarte les cuisses, ce qui fait remonter automatiquement ma jupe puis approche sa queue qu’il enfonce sans ménagement dans ma chatte trempée de désir. Je laisse aller ma tête en arrière, je prend un plaisir énorme à me faire baisée de la sorte. Après quelques vas et vient rapides, le type attrape mon visage entre ses mains pour que je le regarde quand il me dit :
- « J’ai envie de te la carrer dans le cul. »
Il a à peine terminé sa phrase que je bascule en arrière, il me tire vers lui, remonte mes jambes le plus haut possible pour me dégager le cul qu’il caresse avec son pouce. Sans le moindre ménagement, il présente son braquemart à l’entrée de mon anus et me pénètre d’un coup sec.
- « Ho putain de salope, prend ca. »
Il me défonce le cul à grand coup de bite de plus en plus rapide jusqu'à ce que dans un râle de plaisir, il se mette à jouir. Quand il se retire, je regarde cette queue se ramollir doucement avec ce préservatif poisseux qui pend. Je descend de mon capot, m’accroupis pour le retirer puis donne quelque coup de langue à cette bite maintenant toute molle. C’est quand je soulève cette pine pour avoir accès aux couilles que je lèche, que j’aspire et que je gobe qu’il se remet à bander comme un âne. Je prend ce sexe à nouveau bandé dans ma bouche et le suce doucement mais le mécano m’attrape par les cheveux et me l’enfonce au fond de la gorge en me disant :
- « tu en veux encore grosse salope ? »
Il rebande tellement fort que ça en est jouissif pour moi. Il me baise la bouche de plus en plus fort, de plus en plus vite en s’agrippant à ma chevelure. A chaque coup de rein, j’ai envie de vomir tellement il va loin mais ce traitement m’excite. je ne subis cette baise buccale que quelques minutes avant qu’il ne décharge à nouveau en me disant :- « Tu vas t’en prendre plein la gueule sale pute. »
Je sens le liquide visqueux se répandre dans ma bouche et couler dans le fond de ma gorge pourtant c’est déjà sa deuxième éjaculation en peu de temps. J’avale tout consciencieusement avant de me redressée pour faire face au mécano qui me dit :- - « Tu sais que tu viens de réaliser un de mes plus grand fantasme. »
- - « J’en suis ravie. »
Je pose un baiser sur la bouche du garagiste avant de remettre mon manteau, de remonter dans ma voiture et de quitter le garage pour rentrer chez moi sans faire la moindre course.
Lorsque Patric rentre à la maison, il me trouve sexy qui l’attend alors il me baise. Il m’avoue qu’il trouve que j’ai le cul bien dilaté. Je lui répond que j’ai eu envie de lui toute la journée et que s’en est la conséquence. Il m’a baisée une bonne partie de la nuit dans tout les sens. Je prend encore mon pied et de temps en temps repense à ce mécano qui m’a défoncée dans la journée. j’aime mon mari mais le cocufier m’excite tellement.
- - « Je suis désolé ma petite dame mais c’est fermé. »
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Comments
1harrycovertWednesday 24th June 2020 at 10:04
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