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25. un amant de jeunesse
Je suis ravie d’avoir reçu le coup de téléphone de Denis, un amant de jeunesse qui viens une petite semaine dans la région. Par chance mon mari travaille le samedi matin alors je dis a mon copain de venir a ce moment. je sais que je passerai du bon temps.
Quand j’ouvre la porte 10 minutes après le départ de Patric, Denis se trouve devant moi. Je l’aurais reconnu même 15 ans plus tard. Il est toujours aussi grand, des yeux d’un bleu profond et la même coupe de cheveux qu’a l’époque. En fait, il n’a pas tellement changé a part quelques rides apparues au fil du temps. Je ne me suis même pas habillée pour sa venue, j’ai juste enfilé un peignoir complètement transparent et je suis totalement nue dessous. mon copain n’a pas tardé à comprendre le genre de moment que je veux revivre alors il me prend dans ses bras avant même de dire un mot et me roule une pelle dans le hall d’entrée de la maison. Nous nous étreignons quelques minutes avant de décoller nos lèvre et enfin se dire bonjour.- - « Tu es ravissante, tu n’a pas changée......et de caractère non plus visiblement. »
- - « J’aime toujours autant le sexe, c’est vrais même si je suis mariée. »
En prononçant ces paroles, je pose la main sur le sexe de mon ami par-dessus son pantalon. Les hostilités étaient déjà lancée et je sais aussi qu’il ne faut pas trainer, on a que la matinée pour se faire plaisir. Sans lui proposer de prendre un verre, je l’emmène à l’étage, dans ma chambre. Denis me prend à nouveau dans ses bras pour m’embrassée mais cette fois ces mains sont bien plus baladeuse. Elles remontent le peignoir qui ne cache rien de mon anatomie. Il me caresse en commençant par mon cul qu’il pelote sans vergogne. Il me malaxe les fesses en les écartant. je ne suis pas en reste, je pose ma main sur la queue de mon amant que je masse et que je serre entre mes doigts au travers du tissus tendu. Ensuite, je m’abaisse pour détacher ce pantalon et en sortir une colonne de chair que ne demande qu’a être sucer. Je lèche doucement les couilles de Denis avant de m’attaquer à sa pine que je suce goulument après l’avoir humidifiée de ma langue avide. Je le pompe de plus en plus rapidement en lui malaxant les burnes jusqu’à ce qu’il se retire de ma bouche pour me pousser sur le lit et se jeter sur ma chatte trempée. Il m’ouvre les grandes lèvres pour pousser sa langue dans mon sexe. Il me suce le clito doucement en me mettant un doigt. la tête en arrière je gémis et me trémousse de plaisir quand j'entend une voiture qui s’arrête dans l’allée. Je lui demande de s’arrêter pour écouter plus attentivement et on entend tout les deux la porte d’entrée s’ouvrir. Un vent de panique souffle dans la chambre. Je fais signe à mon amant en silence de se cacher dans l’énorme penderie qui se trouve contre le mur de la chambre. J’entend la voix de mon mari qui m’appelle en me disant qu’il a oublié son portefeuille dans la chambre. J’attrape en vitesse un gode dans la table de nuit et me l’enfile comme si je n’avait pas entendu mon mari arrivé. Quand il ouvre la porte de la chambre, il me découvre couchée nue sur le lit, un vibro dans la grotte de plaisir, occupée à me faire jouir :
- - « Hum alors on joue sans moi ? »
- - « Ho, mais qu’est ce que tu fais là ? »
En jouant la femmes surprise, je retire le sexe toys de son emplacement et ferme les cuisses que j’avais grande ouverte quelques secondes avant. Patric me regarde en sourient et détache son pantalon :
- « J’ai oublié mon portefeuille mais je vais remplacer ce truc de caoutchouc avant de repartir. »
Quand il abaisse son pantalon et son caleçon, je constate qu’il bande comme un âne alors je lui fait signe de venir
- - « hum oui, vient vite me baiser avant de repartir, c’est a toi que je pensais. »
- - « Mais j’espère bien ma chérie. »
Il monte sur le lit, je l’attend, les cuisses grandes ouvertes. Il se place et me pénètre d’un coup sec avant d’entamer des mouvements de vas et vient très rapide. Pendant qu’il me baise je gémis très fort et très bruyamment.
- « Vas y, baise moi, défonce moi, j’aime ça, oui plus vite. »
Je criais en prenant ma voix la plus chienne possible.
Denis, debout dans la placard m’écoute, la queue à la main, il bande et se branle en m’entendant me faire baisée par mon mari.
Patric donne des coups de butoir de plus en plus fort et de plus en plus loin puis d’un coup, il éjacule dans mes entrailles. Après m’avoir donné un tendre baiser, il prend son portefeuille et s’en va, me laissant couchée et offerte sur le lit, les cuisses toujours grandes ouvertes. C’est quand il entend la voiture démarrer que Denis sort de la penderie et me voit allongée sur le dos, la chatte dégoulinante du sperme de mon mari. Il est excité par cette vision et vient immédiatement, sans le moindre préambule planté sa queue dans ma moule grande ouverte. Il y entre sans la moindre difficulté et sens le foutre de l’autre homme sortir et couler sur ses couilles.- - « Tu le faisais exprès de gueuler pour m’exciter, salope va. »
- - « hum oui, a ton tour maintenant, baise moi. »
j’ai la voix excitée et chaude. Une voix d’envie rapide, de besoin même. J’ai jouit une première fois avec mon homme et j’en veux encore avec celui-ci. Je sens qu’il bande dur et j’aime me faire limer de la sorte, de plus en plus rapidement mais j’ai envie de jouir autrement :
- - « Tu veux m’enculée ? »
- - « hum tu la veux dans ton cul ? »
- - « Oui, fou la moi dans le derrière, j’adore. »
Denis se retire et je me retourne pour lui offrir une vue imprenable sur ma croupe. Je tortille du cul comme je sais si bien le faire. Il prend avec son doigt un peu de foutre qui s’écoule encore de cette chatte inondée et lubrifie le petit trou dans le quel il met un doigt. Il constate avec plaisir que je suis déjà bien ouverte et prête à encaisser. Il présente son gland à l’entrée de ma rondelle et d’un coup de rein s’enfonce en moi sans ménagement.
- - « Tu es encore plus salope qu’il y a 15 ans toi. »
- - « hum oui, défonce moi le cul, vas y. »
Sachant l’effet que produisent mes gémissements et mes commentaires sur mon copain, je ne me prive pas pour en faire et surtout pour gémir très fort. En me maintenant fermement par les hanches, il entre et sort partiellement de mon derrière accueillant. Le rythme s’accélère de plus en plus, lui aussi grogne de plus en plus fort témoignant ainsi de l’imminence de son éjaculation. D’un coup je sens le liquide chaud se répandre dans mes entrailles. Je touche les couilles de mon amant, je les sent plus molles maintenant. Quand il se retire, je m’affale sur le lit. Il ne tarde pas à me rejoindre. On s’observe un bref instant, tout deux comblé du moment de plaisir qu’on venait de passer. Maintenant, nous pouvons prendre un verre ensemble, on a tout notre temps car même si Denis est encore présent quand mon mari rentrera, je pourrai le présenter comme étant un ami de jeunesse, ce qui est parfaitement vrais. Il n’y aura plus à mentir et plus rien d’équivoque. Après avoir évoqué quelques souvenirs, mon copain tient quand même à quitter la maison avant le retour de mon mari. Quand il reviendra dans la région, il ne manquera pas de me contacter pour se retrouver une fois encore dans un moment de plaisir intense mais ailleurs cette fois pour ne plus être interrompu même si cet imprévu a apporté une source d’excitation supplémentaire et a contribué à une jouissance encore plus grande. Il est certain que les risques et le danger provoque une montée d’adrénaline et donne à la jouissance et au plaisir une dimension supplémentaire. C’est probablement le goût du risque en plus de l’amour du sexe qui me pousse dans les bras d’autres hommes régulièrement.
- - « Tu es ravissante, tu n’a pas changée......et de caractère non plus visiblement. »
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