• 29. Visite à l'hôpital

    Quand Denis m’a contactée pour me dire qu’il n’avait pas beaucoup le moral et qu’il est inquiet quand à l’opération qu’il doit subir dans trois jours, je lui ai dit que je terminerait plus tôt pour lui rendre une petite visite et tenter de lui remonter le moral et de lui faire oublier tout cela pendant quelques minutes. 

    Il est 14h30 quand je rentre chez moi pour me changer avant d’aller à la clinique. J’ai promis à mon copain de lui remonter le moral et je sais très bien par ou cela passe chez un homme. J’enfile une mini jupe moulante très courte et un chemisier légèrement transparent ainsi que des bottes à très hauts talons. Un long imperméable complète ma tenue. 

    Quand j’arrive dans la chambre de Denis, je constate que c’est une chambre double mais mon ami y est seul. Il m’accueille avec un grand sourire déjà ravi de ma présence pour lui tenir un peu compagnie. 

    •   -  « Tu es seul dans cette chambre ? »
    •   -  « Non, il y a un jeune gars de 19 ans qui est arrivé hier à cause d’un accident de moto. »
    •   -  « Ou est il ? »
    •   -  « Il est parti faire des radios, je pense qu’il ne devrait pas tarder à revenir. »
      Je
      décide d’attendre son retour pour enlever mon manteau. Je sais qu’après l’avoir ramené, les infirmières ne viendront probablement plus dans la chambre avant un certain temps. Pendant ce temps, je discute de tout et de rien avec Denis, assise sur une chaise juste à côté de son lit. Je constate que mon copain regarde régulièrement mes jambes dévoilée par une petite fente dans l’imperméable. Au bout d’une dizaine de minutes de discutions, le jeune motard revient accompagné d’une infirmière. Celle-ci en profite pour demander aux deux patients s’ils n’ont besoin de rien. Suite à leurs réponses négatives, elle leur dit qu’ils sont tranquille jusqu’au diner. C’est exactement la nouvelle que j’attendais pour retirer mon manteau, ce que je fais dès que l’infirmière sort de la chambre. Les deux hommes me regardent et je pense un moment que le motocycliste va faire une attaque en voyant ma tenue vestimentaire. Ces yeux sortent de leurs orbites, on aurait dit le loup de Tex Avery. Richard, lui, a déjà la main sur sa queue et au mouvement du drap, je me rend compte qu’il se branle déjà doucement en me regardant. je suis assez fière de provoquer un tel émoi chez les deux hommes qui restent sans voix en m’observant. Après avoir posé mon imper sur le siège, je prend quand même la parole en tournant sur moi-même : 
      •   -  « Alors messieurs, ça vous plait. »
      •   -  « Ho putain, tu m’étonne que ça nous plait. »
        Le jeune motocycliste, lui, ne répond rien, il se contente de ne pas détourner les yeux de mon corps. Je retire le drap qui recouvre richard pour lui caresser moi- même la queue. Je me contente pour commencer de le branler doucement de la main gauche pendant que de la droite, je lui caresse délicatement les couilles. Denis a très envie de se faire sucer alors il appuie doucement sur ma tête pour me le faire comprendre. je comble de désir et après lui avoir donné quelques coups de langue sur le gland enfourne la bite entière de mon copain dans ma bouche. Je commence une pipe du tonner en regardant le jeune voisin de chambre qui maintenant se branle lui aussi sous son drap en regardant opérer cette inconnue pour lui. En le voyant faire, Je m’arrête pour lui dire : 

    - « Surtout, ne jouit pas, après, je m’occupe de toi. »
    Cette réflexion a pour effet d’augmenter l’excitation de Denis qui pousse sur ma tête pour que je reprenne la fellation. Je replonge sur cette pine dressée avec le plus grand plaisir et accélère le mouvement en malaxant les burnes de mon ami. Il ne faut pas attendre longtemps avant qu’un liquide chaud et gluant ne vienne se déverser dans ma bouche. Je serre les lèvres sans avaler pour que rien ne s’échappe puis passe entre les deux lits, retire le drap qui recouvre le jeune motard et découvre une grosse queue, plus grosse que celle de mon copain fièrement tendue qui n’attend que moi pour s’en occuper. Je me penche au dessus et laisse coulé sur la bite du jeune homme le sperme que Denis venait de me déverser dans la bouche. Ensuite en branlant cette pine gluante, j’approche mon visage de celui du motocycliste pour l’embrasser. Le jeune homme hésitant au début m’attrape quand même par la nuque pour m’attirer contre lui et me roule une pelle d’enfer. Denis nous regarde puis pose ses yeux sur mon cul. ma jupe est tellement courte que quand je suis abaissée de la sorte, on voit le bas de mon derrière et ma chatte nue sous ma jupe. En tant que proche, il est un peu frustré de voir que ce jeune inconnu a plus d’attention que lui ma part. Lui au moins, il a un baiser langoureux et ça énerve quelque peu Denis mais peut être moins que ce que ça l’excite. Sans hésiter, il colle sa main sur ma chatte qu’il tripote un peu avant de me coller d’un coup deux doigts en me disant : 

    - « Suce le maintenant salope, il n’attend que ça. »
    En sentant ces deux doigts me fouiller le sexe, je me tortille un peu d’excitation puis plonge sur le sexe du jeune inconnu que je pompe frénétiquement. Voila qui a pour effet, non seulement d’exciter encore plus si nécessaire le jeune motard mais également de provoquer mon copain qui maintenant me fourre trois doigts et s’agite de plus en plus vite pour me faire jouir. Je prend moi aussi mon pied en me rendant compte de l’excitation de mon ami, en subissant ces assauts manuels et en entendant ces commentaires graveleux : 

    - « Vas y grosse pute, fais le jouir. »
    Je sens que le jeune homme ne va pas tarder à se vider les boules dans ma bouche alors je redouble d’application et accélère encore le mouvement. ma tête monte et descend pendant que mon copain lui aussi va de plus en plus vite et me fait jouir. D’un coup dans un râle de plaisir et de jouissance le jeune motocycliste déverse sa semence dans ma bouche sans que je ne me retire. J’avale chaque saccade avec un plaisir non dissimulé. Ce foutre est plus sucré que celui de mon ami, il est aussi plus important si bien qu’a la troisième saccade j’en laisse un peu couler le long de la hampe du jeune homme. Après que tout le monde ait bien jouit, je me redresse pour ajuster ma tenue. 

    •   -  « Maintenant messieurs, il faut que j’y aille. »
    •   -  « Merci de ta visite Sonia, tu nous a vraiment remonté le moral. »
      Après avoir déposé un doux baiser sur les lèvres de chacun d’eux en me faisant une nouvelle fois tripotée, je quitte la chambre pour rentrer chez moi.
      Il suffit parfois d’un peu de disponibilité pour remonter le moral d’un ami mais dans notre société, je ne suis peut être pas un exemple et pourtant je ne fais que le bien autour de moi. 

    29. Visite à l'hôpital

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