• 28. Un stagiaire mécontent

    Il est très exactement midi quand on frappe à la porte de mon bureau. C’est Vincent, un stagiaire que j’ai eu quelques semaines plus tôt. Un jeune homme de vingt ans qui a plus l’aspect d’un loubard que d’un organisateur d’évènement. Je ne sais pas trop si je l’apprécie ou non mais ce que je sais c’est qu’il n’est pas fait pour ce boulot. Il manque d’organisation, de contact, de savoir vivre aussi. En fait, il n’a rien pour réussir dans ce genre d’emploi. Evidement, le rapport que j’ai rentré était lui aussi loin d’être élogieux. Quand Vincent entre dans le bureau comme une furie un sac à la main, je me lève et passe devant mon bureau pour lui faire face 

    •   -  « J’ai vu le rapport de stage que vous avez fait. »
    •   -  «Oui et alors?»
    •   -  « Vous me considérez comme une merde. »
    •   -  « Tu n’es pas fait pour ce boulot, c’est tout. »
    •   -  « Je vais perdre un an à cause de vous. »
    •   -  « Ce n’est pas mon problème mon gamin. »
      En l’appelant comme cela, je voulais l’humilier une fois pour toute et lui rendre la monnaie de sa pièce. Il m’avais un jour menacée et je ne l’avais pas oublié.
      Vincent qui se tient juste devant moi devient rouge. Il lève le bras et me balance une gifle.

    - « Espèce de salope, tout le monde te baise et moi je n’y ai jamais eu droit. » 

    Il s’avance vers moi et me couche dos sur mon bureau. Dans la position dans la quelle je me trouve, ma mini jupe remonté et il peut voir ma chatte offerte sans le moindre bout de tissu pour la dissimiler. 

    - « Tu ne porte toujours pas de culotte grosse pute. »
    Tout en me maintenant dans cette position, il prend dans son sac une espèce de matraque noire comme l’utilise les policiers. 

    •   -  « Mais qu’est ce que tu fais, tu es malade ou quoi ? »
    •   -  « Ferme ta gueule conasse ou je t’éclate la tête. »
      Je suis partagée entre peur et plaisir. Quelque part, ça m’excite d’être traitée de la sorte et je sens ma chatte devenir de plus en plus ruisselante. Vincent ne tarde pas à s’en rendre compte alors il prend la matraque qu’il tient dans la main droite et l’enfonce sans ménagement dans ma chatte. Il entame des mouvements de vas et vient avec le cet objet qui au départ n’est pas vraiment fait pour ça. Je sens la jouissance monter quand d’un coup, il la retire. Il m’attrape par les cheveux et me redresse. Je suis maintenant assise sur le bureau quand il me porte cette simulation de phallus à la bouche en me disant :

    - « Suce maintenant salope, pompe cette fausse queue. »
    Je ne me fais pas prié et je suce cette matraque au gout de cyprine qui vient de me baisée. Pendant ce temps, Vincent lâche son étreinte, il sait qu’il n’a plus besoin de me tenir, il faut juste qu’il m’oblige à faire ce qu’il veut. Pendant que je suce le bois noir, il sort sa queue dressée. Il m’attrape de nouveau par les cheveux et me tire sur le sol pour me mettre à genoux. 

    - « Suce ma bite maintenant salope. »
    Encore une fois, je ne traîne pas, j’attrape la queue du stagiaire dans ma bouche et le pompe avec frénésie. Je tourne ma langue autours de son gland, lui caresse les burnes. 

    - « Putain, t’aime ça en plus, ça se voit. »
    Je Gémis à chaque insulte ou parole dégradante. Je me trouve dans un état second, transportée par le plaisir que j’éprouve à être soumise. Vincent se retire puis frappe mon visage avec sa pine bandée. Je me laisse faire en gardant la bouche ouverte et en poussant des petits cris de plaisirs. D’un coup, il enfonce à nouveau son sexe entre mes lèvres ouvertes et cette fois en me tenant à deux mains, il baise ma bouche. j’ai parfois envie de vomir tellement il va loin, mes yeux coulent le long de mes joues, mon visage se déforme à chaque coup de rein. Quand il se retire, il m’ordonne : 

    - « Met toi à genoux sur cette chaise. »
    Je m’exécute, offrant ainsi la vision de mon cul, jupe troussée, offerte. Il s’approche et sans la moindre préparation, il enfonce sa pine entre mes fesses. Il me défonce immédiatement le cul en me tenant d’une main par les cheveux. Je suis balancée d’avant en arrière comme une vulgaire poupée. De l’autre main, il reprend la matraque qui trainait sur le bureau et m’ordonne de la sucer à nouveau. je m’occupe de l’engin comme si c’était une vraie queue pendant qu’il me pilonne le cul sans le moindre ménagement. Quand il sent qu’il va jouir, il se retire, reprend la fausse pine que je suce et me la care dans le fion à la place de sa biroute. Il me défonce comme cela jusqu'à ce que j’aie plusieurs orgasmes puis en laissant l’objet dans mon derrière, il passe devant moi pour se branler et me cracher tout son foutre sur le visage. De grosses saccades viennent s’écraser sur ma figure, sur ma bouche et dans mes cheveux.
    Après avoir jouit, Vincent me regarde et me dit : 

    • « Ce n’est que dans cette position que tu mérite être. Tu n’es qu’une vide couille. » 
    • Je ne répond pas, je me laisse aller sur le siège, repue de plaisir. J’ai vraiment pris mon pied, j’ai jouis comme une folle et ce moment me laissera un souvenir mémorable. Par contre, je ne peux laisser les choses comme cela. Je fini par me relever pour faire face au stagiaire. Je le regarde dans les yeux et je lui balance une gifle à la figure comme il n’en a certainement jamais reçu puis je lui dit : 
    • « Tu es une petite merde mais j’ai pris mon pied. »
    • Il me regarde incrédule, sans rien dire alors pour la deuxième fois, je lui colle une grande bafe dans sa tronche car après tout il n’est qu’un stagiaire et un mauvais en plus.
    • « maintenant tu dégage d’ici »

    Il avait carrément les larmes aux yeux ce petit con. Décidément ca veut jouer les vrais mec et ca chiale après deux gifles. Je suis ensuite allée dans la petite salle de bain de mon bureau pour regarder me regarder dans le miroir, j’étais juste un peu rouge sur la joue, dans quelques minutes ce sera partis. 

    Il n’empêche que j’ai quand même bien jouit avec ce crétin, j’ai pris mon pied car l’humiliation j’adore ca.

     

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