• Commentez sans retenue mes photos et mes aventures. C'est important pour me donner envie de continuer a vous raconter mes infidélités.

    Le seul sport que je pratique est la natation et encore, de temps en temps. J’en faisait beaucoup plus étant jeune mais de temps en temps, surtout le dimanche matin, j’y retourne. La piscine est ouverte à 9h00 et à cette heure là, il n’est pas rare que je sois seule dans l’eau. C’est très agréable une grande piscine pour moi toute seule. C’est seulement vers 10h30 que les jeunes et les enfants arrivent ce qui rend l’ambiance bien plus bruyante. Ce dimanche n’enfreins pas la règle. Il est 9h05 quand j’arrive au bord de l’eau et j’y suis seule a part un maître nageur qui me regarde m’approcher les yeux rivé sur mes seins. Il faut dire que mon maillot est à l’égal des tenues que je porte en général, sexy voir même provocant. C’est un deux pièces avec en bas, non pas un string car dans la piscine c’est interdit mais une culotte quand même extrêmement mini puisque attachée avec des ficelles sur les côté et le triangle devant et derrière ne cache que le minimum. Quand au dessus, il est lui aussi tout rikiki, voir même trop petit pour mettre en valeur mes seins qui ne sont pas énorme mais d’une taille juste respectable. Le tout est noir et blanc ce qui fait parfaitement ressortir mon bronzage encore présent. Quand je suis dans l’eau, en nageant, je regarde le maitre nageur marcher vers le petit bureau vitré qui se trouve dans un coin. 

    Après une ou deux longueurs, un homme s’approche du bord de l’eau. Il a une bonne trentaine d’année, l’allure sportive cheveux long. Il m’observe dans l’eau avant d’y entrer dans un plongeon digne d’un grand champion. Il s’enfonce dans l’eau pour en ressortir quelques mètres plus loin et entamer lui aussi une longueur. Je le regarde le dos appuyé et les bras posés sur le bord du bassin. Apres quelques minutes, il s’approche de moi et se présente : 

    •   -  « Bonjour, je suis Christian. »
    •   -  « Enchantée, moi, c’est Sonia. »
      On se serrent la main avant que le nageur ne reprenne la parole

    •   -  « C’est la première fois que je vous vois ici. »
    •   -  « Je viens assez rarement mais quand je viens c’est toujours à cette heure ci. »
    •   -  « Moi, je ne viens jamais à cette heure ci en réalité. »
      Il s’en suit quelque banalité pendant les quelles Christian s’approche de plus en plus de moi pour presque me toucher. En sentant cette approche, j'avance ma cuisse gauche doucement pour la passer entre les jambes de l’homme qui les plie légèrement pour que son sexe touche ma chaire au travers du fin tissus de son maillot. Lors de se contacte, je sens qu’il bande bien dur alors j’approche ma main qui remplace ma cuisses dans le contacte avec la queue du nageur. Doucement je lui masse la queue par- dessus le petit short de bain moulant. Il se penche vers moi pour me susurrer à l’oreille :
    •   -  « Et si on sortait de l’eau ? »
    •   -  « Ce serait peut être mieux car je suis incapable de te la sucer au fond de l’eau. »
      En terminant ma phrase, je pousse sur les bras pour m’extirper hors de l’eau et vais vers la douche des femmes sous le regard de celui avec qui je discutais.
      Christian sort lui aussi de l’eau et file dans la douche des hommes pour me retrouver avant que je ne me rende dans ma cabine. Quand il sort, il constate que c’est moi qui l’attend pour l’emmener dans cette minuscule pièce ou on passe de vêtements à maillot et inversement. Les gens commencent à arriver, des hommes, des femmes, des enfants, des familles circulent librement en maillot. Des portes claquent, des cris et des rires joyeux s’élèvent dans chaque coin des vestiaires. nous savons qu’il faudra être discret. 

    Dès qu’on se trouvent enfermé dans la minuscule pièce, Christian colle ses lèvres aux mienne, nos langues se caressent, nos salives se mélangent. Les mains du jeune homme s’attardent sur mes seins qu’il sort sans difficulté du maillot. Il les tripote longuement avant de finir par en sucer les tétons sensuellement. Je me laisse faire, profite du moment présent puis me dégage de l’étreinte de cet homme pour m’asseoir sur le petit banc rabattable qui sert aussi de fermeture de porte. Je me trouve maintenant à la bonne hauteur et peut sortir ce sexe qui ne demande que ça. J’abaisse le maillot avant de lécher cette tige dressée. ma langue la parcoure de bas en haut puis de haut en bas en déposant de la salive sur chaque centimètre carré de chaire. Ensuite c’est sur les testicules que je m’attarde pour les gober et branlant d’une main cette grosse bite. Christian se laisse faire en me touchant les cheveux de temps en temps. Il tente de se contrôler pour ne pas gémir, pour ne pas crier des cochonneries. C’est au moment ou j’enfourne sa pine au fond de ma gorge qu’il a le plus de mal à se retenir, quand je le pompe de plus en plus rapidement il sent qu’avec ce traitement, il ne va pas tarder à jouir. D’un coup, il se retire, je comprend qu’il ne veut pas jouir maintenant, qu’il veut me baiser alors je me redresse, lui tourne le dos et me cambre pour qu’il me prenne par derrière. Dans un endroit aussi petit, c’est presque la seule solution puis c’est aussi une des positions que je préfère. Il abaisse doucement ma culotte de maillot puis place son nœud à l’entrée de ma chatte avant de me murmurer à l’oreille : 

    - « Je vais te baiser. »
    Je sens la colonne de chair entrer en moi centimètre par centimètre très lentement jusqu'à la garde puis ressortir et entrer à nouveau mais plus rapidement. Christian prend mes seins dans ses mains et fait rouler les bouts entre ses doigts. Les coups de reins sont de plus en plus fort, de plus en plus rapides. J’ ai envie de gémir, de gueuler qu’il ait plus vite, qu’il soit plus fort. Comme si mon partenaire le sentait, ces mouvements s’accélèrent encore jusqu'à ce qu’il se crispe d’un coup, qu’il ne bouge plus, qu’il reste au fond de mon sexe pour jouir. C’est quand je sens cette explosion de foutre en moi que je jouis à mon tours.
    Après un long baisé langoureux, Christian quitte la petite cabine pour récupérer ses habits dans son casier pendant que je reste assise en pensant que j’aimerais garder ce sperme en moi jusqu'à mon retours à la maison puis me faire lécher par mon mari mais malheureusement ce n’est pas envisageable. Peut être une autre fois avec un autre amant.
    Le reste de mon dimanche, je le passe en compagnie de mon mari, un déjeuner en tête à tête à la maison suivit d’une belle balade la main dans la main dans les rues du village. 

    24. un peu de sport

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  • Un collègue de longue date m’avait invité chez lui pour prendre un verre. Bien entendu j’avais accepté avec plaisir et je savais l’idée qu’il avait derrière la tête puisque je l’avais sucé quelques semaines plus tôt et oui avait promis qu’un jour il me baiserait s’il en avait envie. Je pense que le jour est venu et comme on dit : une promesse est une promesse puis j’aime tellement cela que même si je m’y attends je ne refuse jamais une occasion de m’envoyer en l’air.

    J’arrive chez lui vers 16h00 dans une tenue sexy bien évidement. Il m’accueille avec un grand sourire, me propose un verre et me fait visiter son appartement. Il habite au premier étage dans un immeuble en carré avec une cours intérieur assez sympa. Tout les appartement ont la chance d’avoir deux balcons, un vers l’extérieur de l’immeuble et l’autre donnant sur cette petite cours. C’est une chance car de ce coté, il y a toujours de l’ombre et cela doit être bien agréable lors de journée bien chaude. Il y a d’ailleurs quelques bancs situé dans la cours témoins des bien fait de son emplacement. Je suppose qu’en plein été il doit y avoir du monde sur ces bancs. 

    Après avoir fait le tours de son appartement par ailleurs magnifique c’est sur le balcon intérieur qu’on prend notre verre calmement. Je regarde autours de moi, étant au premier étage, je ne vois pas grand choses des autres balcons pourtant pas bien éloigner les un des autres. Ceux d’en face doivent être à une trentaine de mettre tout au plus. 

    Soudain, je sens Bernard, c’est le prénom de mon collègue, venir derrière moi et doucement il m’embrasse dans le cou. Je me retourne vers lui, le regarde dans les yeux et très naturellement je lui dit : 

    « je me doutais que tu m’avais invitée pour me baisée »

    « tu n’en as pas envie? »

    « J’ai toujours envie de me faire baisée tu le sais »

    Il me prend par le main et me dit : 

    « suis moi on va dans la chambre »

    « hummmm non, ici, sur ce balcon ce sera mieux »

    Il lève les yeux et regarde l’intégralité de l’immeuble de peur être vu certainement puis il me dit en montrant du doigt

    « non, regarde au troisième juste en face il y a trois jeunes garçons qui discutent en fumant leur clope »

    Evidement je les avais vu et c’est bien pour cette raison que je voulais qu’il me baise ici sur le balcon, je voulais que ces jeunes me matent alors je lui répond : 

    « ils sont plongé dans leur discutions, ils ne se rendront compte de rien »

    Alors j’embrasse longuement et goulûment Bernard en posant ma main sur sa queue par dessus son froc. tout en l’embrassant, je le caresse, le masse et je sens qu’il bande de plus en plus fort alors je détache son pantalon, je l’abaisse et je lèche sa queue longuement. Je lèche aussi ses couilles toutes lisses puis remonte et lèche à nouveau sa grosse bite. Ensuite je commence à le sucer. J’entends ces gémissements de plaisir alors je continue de sucer et sucer encore. En même temps, je jette un regard vers les jeunes du troisième, ils n’ont toujours rien remarqué et discute entre eux. Ca me frustre un peu je l’avoue alors je me place dos contre la rambarde, je pose un pied sur celle ci ce qui a pour effet écarté tres fort mes cuisses et je dis d’une voix assez forte à Bernard : 

    « Lèche ma chatte »

    En raison de son excitation, il ne pense plus aux jeunes du troisième mais quand je me tourne vers eux, je constate qu’ils m’ont enfin entendue et qu’ils matent sans vergogne. Je ne les quitte pas des yeux et je gémis sous les coup de langue de Bernard en me léchant les lèvres de manière sensuelle pour exciter les jeunes qui regardent. Pendant plusieurs minutes Bernard me lèche et me fourre un doigt dans la chatte, je prend mon pied, c’est vraiment bon. Maintenant, je veux qu’il me prenne. Il le sent et me fait me tourner appuyée contre la rambarde. 

    « Non plutôt la »

    et lui montre le coté du balcon. Je m’y appuie, les deux main a plat et le cul bien cambré, la chatte offerte. Je remonte bien ma jupe au dessus de mon cul puis le lui dit avant qu’il ne me pénètre : 

    « les jeunes auront une meilleur vue si tu me baise comme ca »

    Il ne me répond même pas et enfonce sa queue dans ma chatte immédiatement. il commence à me baisé de plus en plus fort, moi je tourne ma tête vers les trois jeunes qui regardent sans en perdre une miette. Je les regarde sans arrêt, ca m’excite de les voir me regarder me faire baisée de la sorte. 

    Bernard accélère et accélère encore, il me baise de plus en plus fort en me répétant : 

    « t’es bonne, t’es trop bonne »

    Il me défonce vraiment maintenant, je suis entrain de jouir alors je gémis de plus en plus fort en poussant des petit cris et des « oui » de plaisir de plus en plus fort. Nous finissons par jouir ensemble, au moment ou je sens son foutre se répandre dans mon ventre, je jouis encore plus fort et toujours en regardant droit vers les trois jeunes qui a mon avis bandent comme des porcs. 

    Quand Bernard se retire, je sens le trop plein de foutre couler le long de mes cuisses. Je lui demande si je peux prendre une douche. Il accepte bien évidement. Apres cette bonne douche, je bois un dernier verre avec mon collègue avant de le quitter et de rentrer à la maison encore bien satisfaite.

    23. de jeunes voyeurs

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    N'hésitez pas a faire vos commentaires sur mes infidélités ou mes photos

    Le samedi matin quand Patric quitte la maison pour aller une fois de plus travailler un jour de week-end, Il était de mauvaise humeur et triste de me laisser une fois de plus seule un jour de week-end d’autant plus que nous avions prévu d’aller faire du shopping ensemble. 

    Quand il est parti, je monte dans la salle de bain et me prépare pour aller faire du shopping seul dans une ville voisine.Je n’ai pas très envie de rencontrer des gens que je connais. Après une bonne douche vient le choix de la tenue. Comme d’habitude, elle est très courte et décolletée avec des bas-auto portants et une paire de botte. Je termine de me préparer en me maquillant de manière provocante avec un rouge à lèvre qui me donne une bouche pulpeuse à souhait. Quand je suis prête, j'enfile un long manteau et prend la route. Comme j’ai tout mon temps, je prend les petites départementales pour me balader car même s’il ne fait pas très chaud en ce début d’octobre, le soleil est présent et c’est agréable de rouler sur des petites routes faiblement fréquentées. 

    Au bout de quelques kilomètres, un bruit strident retentit dans la voiture et une lumière rouge en plein milieu du tableau de bord s’allume puis c’est un message sur l’ordinateur de bord qui apparaît en stipulant qu’il faut s’arrêter dans le garage le plus proche.N’y connaissant pas grand-chose je m’arrête et décide de téléphoner à mon mari. Il me dit que la meilleur chose à faire est de me rendre dans un garage le plus proche possible du lieu ou je me trouve. C’est certainement la chose la plus prudente en effet alors je me met à la recherche d’un garagiste. 

    Le navigateur m’indique un village un peu plus loin, j’espère bien y trouver un atelier de mécanique automobile ouvert le samedi. Quand j’entre dans le village, il est presque 13h00 et je vois une vieille enseigne rouillée qui témoigne de la présence de l’objet de mes recherches. Je m’arrête dans la court, devant un grand volet sur le quelle une petite affichette précise les heures d’ouvertures. Manque de chance, le garage est fermé à midi. Je sors de ma voiture et me dirige vers la grande porte métallique sur la quelle je tambourine. Au bout de quelques secondes, j’entend une voix qui s’élève à l’intérieur : 

    - « Ouais, ça va, j’arrive. »
    Une petite porte s’ouvre sur le côté et un grand type bedonnant d’une cinquantaine d’année apparaît. 

    •  -  « Je suis désolé ma petite dame mais c’est fermé. »
    •  -  « Je sais monsieur mais ma voiture a un problème et je n’ose pas continuer à rouler. » j’ai pris ma voix la plus câline, la plus suave et la plus sexy possible pour mettre tout les atouts de mon côté.

    - « Ok, ok, j’ouvre le volet, entré votre voiture, je vais regarder. » 

    Sans me laisser le temps de répondre, il se retourne et rentre immédiatement en claquant la porte. Le volet se lève ensuite dans un grincement métallique de film d’horreur. Le garagiste apparaît et me fait signe d’entrer ma voiture. A peine suis je à l’intérieur que le grincement recommence. Je sors alors de ma voiture pendant que l’homme me regarde en me souriant pour la première fois. 

    •  -  « Je ne voudrais pas que vous tombiez en panne en pleine campagne. »
    •  -  « Je vous remercie, c’est très gentil de votre part. »
      Il faisait une chaleur apaisante dans l’atelier. Deux gros poeles se trouvaient de chaque côté et une soufflerie d’air chaud au centre. Le tout avait fonctionné probablement toute la matinée ce qui apportait cette douce chaleur à cet endroit vieillot.

    •  -  « Alors, quel est le problème ? »
    •  -  « Je ne sais pas, un voyant est allumé et une indication me demande de trouver un garage dans les plus bref délais. »
      Le garagiste s’installe au volant, met le contacte pour voir ce qui se passe et me dit immédiatement :

    - « Juste de l’huile, il manque de l’huile dans le moteur, rien de catastrophique tant qu’on en remet, vous avez bien fait de vous arrêter. » 

    Il ouvre le capot de la voiture et file dans le fond de l’atelier. Pendant ce temps, profitant de la douce chaleur de l’atelier, je détache mon long manteau. Pour la première fois en revenait une cruche à la main, le mécanicien peut voir ma tenue. Par l’expression qu’il a dans les yeux et le petit souffle à peine retenu sortit de sa bouche, je constate qu’il n’est pas du tout indifférent à ce qu’il découvre. Tout en vidant l’huile dans le moteur il prend la parole : 

    - « Cela aurait été scandaleux de refuser de l’aide à une femme aussi jolie. »
    Je ne répond pas à ce compliment mais l’apprécie beaucoup. J’aime plaire aux hommes et leur faire de l’effet.
    Après avoir terminé et vérifié que tout est en ordre, le garagiste part se laver les mains. J’attend son retour pour lui demander : 

    - « Je vous remercie, combien vous dois je ? »
    Il s’approche de moi et pose ces mains sur mes épaules par-dessous mon manteau et me dit : 

    •  -  « Il n’y a pas d’autre moyen de paiement que l’argent ? »
    •  -  « Je n’ai jamais parlé d’argent. »
      J’ai très envie de baiser alors pourquoi s’en priver. Après tout, j’ai là une belle opportunité de prendre mon pied.
      Le mécanicien retire mon imperméable et le pose sur le siège conducteur par la portière de la voiture restée ouverte. Sans ménagement, il fourre immédiatement sa main sous ma jupe. Son excitation est a son comble quand il se rend compte que je ne porte pas de tissus pour entraver le contacte avec ma chatte toute lisse. Je pose ma main sur la queue du garagiste par-dessus sa salopette. Je la sens raide et grosse, prête à l’emploie. L’homme détache fiévreusement les boutons pour dévoiler son torse nu puis son sexe dressé. Je sors de mon sac un préservatif que je lui tend et qu’il déballe en tremblant d’excitation. Il m’attrape et me soulève comme une poupée pour me posée assise sur le capot de la voiture. Il m’écarte les cuisses, ce qui fait remonter automatiquement ma jupe puis approche sa queue qu’il enfonce sans ménagement dans ma chatte trempée de désir. Je laisse aller ma tête en arrière, je prend un plaisir énorme à me faire baisée de la sorte. Après quelques vas et vient rapides, le type attrape mon visage entre ses mains pour que je le regarde quand il me dit :

    - « J’ai envie de te la carrer dans le cul. » 

    Il a à peine terminé sa phrase que je bascule en arrière, il me tire vers lui, remonte mes jambes le plus haut possible pour me dégager le cul qu’il caresse avec son pouce. Sans le moindre ménagement, il présente son braquemart à l’entrée de mon anus et me pénètre d’un coup sec. 

    • « Ho putain de salope, prend ca. »
      Il me défonce le cul à grand coup de bite de plus en plus rapide jusqu'à ce que dans un râle de plaisir, il se mette à jouir. Quand il se retire, je regarde cette queue se ramollir doucement avec ce préservatif poisseux qui pend. Je descend de mon capot, m’accroupis pour le retirer puis donne quelque coup de langue à cette bite maintenant toute molle. C’est quand je soulève cette pine pour avoir accès aux couilles que je lèche, que j’aspire et que je gobe qu’il se remet à bander comme un âne. Je prend ce sexe à nouveau bandé dans ma bouche et le suce doucement mais le mécano m’attrape par les cheveux et me l’enfonce au fond de la gorge en me disant : 

    - « tu en veux encore grosse salope ? »
    Il rebande tellement fort que ça en est jouissif pour moi. Il me baise la bouche de plus en plus fort, de plus en plus vite en s’agrippant à ma chevelure. A chaque coup de rein, j’ai envie de vomir tellement il va loin mais ce traitement m’excite. je ne subis cette baise buccale que quelques minutes avant qu’il ne décharge à nouveau en me disant : 

    - « Tu vas t’en prendre plein la gueule sale pute. »
    Je sens le liquide visqueux se répandre dans ma bouche et couler dans le fond de ma gorge pourtant c’est déjà sa deuxième éjaculation en peu de temps. J’avale tout consciencieusement avant de me redressée pour faire face au mécano qui me dit : 

    •  -  « Tu sais que tu viens de réaliser un de mes plus grand fantasme. »
    •  -  « J’en suis ravie. »
      Je pose un baiser sur la bouche du garagiste avant de remettre mon manteau, de remonter dans ma voiture et de quitter le garage pour rentrer chez moi sans faire la moindre course.
      Lorsque Patric rentre à la maison, il me trouve sexy qui l’attend alors il me baise. Il m’avoue qu’il trouve que j’ai le cul bien dilaté. Je lui répond que j’ai eu envie de lui toute la journée et que s’en est la conséquence. Il m’a baisée une bonne partie de la nuit dans tout les sens. Je prend encore mon pied et de temps en temps repense à ce mécano qui m’a défoncée dans la journée. j’aime mon mari mais le cocufier m’excite tellement.
    • 22. La panne de voiture
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  • En raison de leur collaboration avec une entreprise antillaise, l’entreprise qui m’a demandé d’organiser une soirée spectacle veut qu’elle soit marquée par des danses provenant de cette région. C’est donc tout naturellement que je cherche des groupes capables d’offrir ce spectacle aux invités. C’est dans ce but que je prend contacte avec une troupe de spectacle folklorique et prend rendez-vous avec son responsable. 

    Je suis occupée à lire un mail torride que m’a envoyé un copain. A ce mail, il  joint des photos de moi qu’il avait prise et sur les quelles il avait jouis. C’est le genre de truc qui m’excite énormément et en regardant cet envoie, je me sens déjà trempée entre mes jambes. Je suis interrompue dans ma lecture par trois petits coups sur la porte : 

    •  -  « entrez. » 
    •  -  « Bonjour madame, je suis Richard, responsable de la troupe de danse folklorique  Antillaise. »
      C’était un grand Antillais d’une trentaine d’année que je trouve sexy et excitant. L’entrée du jeune homme n’a pas arrangé l’état trempé de ma chatte. Je le fais s’asseoir puis discute des origines du groupe et de ce que l’on attend d’eux lors de cette soirée. Pendant la discussion, très excitée, j’écarte les cuisses, je sais que de la ou il se trouve, le représentant de la troupe ne sait rien voir alors j’en profite. Je glisse ma main droite sous mon bureau et me caresse le sexe en écoutant le jeune homme. Je m’enfonce un doigt puis deux en évitant tout signe distinctif sur mon visage qui pourrait trahir ce que je suis entrain de faire. Tout en regardant l’antillais dans les yeux, je prend discrètement un gros gode dans le tiroir de mon bureau. J’en ai toujours un qui traine au cas où une envie trop pressante comme aujourd’hui se ferait sentir. Je l’amène discrètement sous le bureau et me touche l’intérieur des cuisses. La sensation de froid sur mes jambes me fait un peu tressaillir mais c’est imperceptible pour celui qui se trouve en face de moi. Le gode remonte lentement et arrive à l’entrée de mon sexe dans le quel je l’enfonce
    • précautionneusement. Centimètre par centimètre, ce gros bout de caoutchouc me pénètre. Pendant que le responsable de la troupe m’explique le spectacle en montrant des photos, je le regarde en me léchant les lèvres et entame un mouvement de vas et vient avec le vibro-masseur dans ma foufoune de plus en plus mouillée d’excitation. Soudain, au beau milieu d’une phrase, le jeune homme comprend que quelque chose se passe sous le bureau. Il se lève calmement et passe de l’autre côté. Il me voit, les cuisses grande ouverte, un pieu planté au fond de mon intimité. Je le regarde sans aucune gêne alors il attrape le dossier du fauteuil dans le quel je suis assise et le fait tourner pour l’avoir face à lui. Il s’agenouille et retire le gode pour y poser sa langue. Je m’abandonne entièrement à ces caresses buccales. La langue du jeune Antillais s’insinue entre mes lèvres gonflées puis remonte vers mon clitos avant de redescendre à nouveau et de s’enfoncer le plus loin possible dans ma grotte d’amour qui lui est offerte. Tout en me fourrant deux doigts dans le minou, il me suce le clito. Il fait durer le plaisir plusieurs minutes a mon grand bonheur des je gémis doucement à chaque coup de langue que je reçois. Quand il s’arrête et se redresse, je l’observe. Il détache son pantalon et en sort une belle grosse queue dressée et décalottée. Je regarde cette belle bite qu’il me met devant les yeux et doucement avance la main droite pour la touchée. Elle est douce et très agréable a tripotée. Je descend maintenant vers ces couilles rasée que je pelote et sous-pèse avec la paume de ma main. Ensuite j’approche la bouche de ce dard et l’embrasse, le lèche. ma langue parcourt la hampe virile du jeune homme avant de s’attarder sur sa belle paire de burnes pleines de liquide chaud. Après l’avoir parcouru avec ma langue, je prend la pine dans ma bouche pour la sucer. Je le gratifie d’une pipe d’enfer à la quelle il n’est vraiment pas insensible. Quand je lève vers lui mes yeux de salope, il me regarde en gémissant et en jetant parfois sa tête en arrière de plaisir. Je lui bouffe la queue pendant quelque minute avant de me lever de mon siège et de prendre place à même le bureau en ouvrant au plus grand les cuisses couverte par des bas. L’antillais vient mettre sa queue à l’entrée de ma chatte et la pénètre très lentement. Je vois cette grosse bite entrer en moi jusqu’aux couilles. Il se retire au point d’être complètement sortis de mon sexe avant d’y entrer à nouveau puis d’une fois de plus se retirer. A chaque pénétration, sa vigueur augmente, il donne l’impression d’aller plus loin. Quand il n’en ressort plus, les mouvements s’accélèrent, il transpire, des gouttes de sueur perlent sur son front. Il me regarde dans les yeux, il me défonce de plus en plus vite, je sens ces grosses burnes taper contre mes fesses. A ce rythme là, je ne vais pas tarder à jouir. Il le sent, il le sait alors il met les bouchées doubles. Je suis parcourue par un orgasme énorme que je ne peux laisser paraître au travers de cris ou de gémissements trop forts. Dans mon excitation et ma jouissance, je fais comprendre à mon amant de l’instant qu’il doit se retirer avant de décharger. Je veux qu’il me jouisse sur le visage alors je reprend ma place initiale sur mon siège et reprend la grosse pine dans la bouche. Je le suce à nouveau avec frénésie puis quand je sens qu’il va se vider, je me retire et le branle en plaçant mon visage quelques centimètres à peine de cette colonne de chaire qui vient de me faire tant de bien. Je le regarde avec des yeux de salope assoiffée et ce regard à pour effet de faire éjaculer immédiatement le jeune homme. De grosses saccades de foutres viennent s’étaler sur mon visage. j’en ai sur tout le visage et même jusque dans les cheveux tellement les jets étaient puissants et fournis. Je reprend la bite du jeune Antillais dans la bouche pour bien lui nettoyer la pine. Quand j’en ai terminé avec lui, je me lève et part vers le lavabo qui se trouve dans une toute petite pièce qui donne dans le bureau. Quand je reviens, le responsable de la troupe m’attend patiemment assis devant le bureau. Je le regarde avec le sourire avant de lui dire : 

    - « C’est parfait, vous êtes engagé, je fais préparer les contrats et je vous les fait parvenir. » 

    Le jeune homme me salue en me remerciant avant de quitter le bureau.
    Quand il est partit, je reste assise derrière mon bureau, pensive. Je me dit que si toute la troupe est comme leur responsable, ça pourrait être intéressant. 

    21 : Le directeur de la troupe antillaise

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  • Quand j’ai voulu garer ma voiture dans le parking de l’immeuble pour aller travailler, l’entrée de celui-ci était barrée par un camion de livraison qui faisait ces manœuvres. J’ai attendu une dizaine de minutes et en voyant que rien ne bougeait, j’ai décidé de chercher une place dans une des rues avoisinantes. J’ai fini par en trouver une dans une petite ruelle assez sombre bordée d’immeuble abritant des appartements au loyer probablement assez modeste. 

    Vers 18h00 je quitte mon boulot et me dirige vers la rue dans la quelle je suis stationnée. Le temps était légèrement pluvieux et il n’y avait pas un chat sur les trottoirs. N’ayant pas de parapluie, mon chemisier dévoile de plus en plus ma poitrine au fur et à mesure que j’avance dans la pluie. A quelque mètre de ma voiture, je vois un homme appuyé dans une entrée d’immeuble qui me regarde m’approcher. C’est un homme de taille moyenne, mince, les cheveux courts et une barbe de trois jours. Il est en jeans troué à hauteur de ces cuisses et en chemise ouverte sur un torse velu. Plus je m’approche de lui et plus je le trouve sexy et je me sens habitée par un désir brulant. Quand j’arrive à un mètre de lui, je m’arrête et pose les yeux sur son entre jambe. Le type comprend immédiatement ce que je regarde et sans se tourné ouvre la porte de l’immeuble et se laisse glissé dans le couloir. Je le suit immédiatement et le découvre adossé aux boites aux lettres de l’immeuble. Je m’approche de lui sans dire un mot et je lui mets immédiatement la main au panier. Je sens que le sexe de cet homme est raide comme du bois. Je m’accroupis et détache le pantalon pour en sortir une belle grosse pine raidie par la vue de mes seins au travers du tissu mouillé. Je donne quelque coup de langue au gland violacé que j’ai devant mon nez avant de lécher la tige sur toute sa hauteur plusieurs fois puis de m’attarder sur les couilles que je gobe avec plaisir. Je remonte ensuite vers le sommet de cette verge que j’engouffre d’un coup au plus profond de ma bouche. J’entame des mouvements de vas et vient de plus en plus rapide pendant que l’homme se laisse faire sans prendre la moindre initiative. j’ai très envie de me faire baiser par cette grosse queue alors je m’arrête avant qu’il ne jouisse et me redresse en lui demandant : 

    •   -  « Tu habite l’immeuble ?
    •   -  « oui au troisième. »
    •   -  « alors on y va. »
      Sans attendre la réponse du mec, je vai vers les escaliers et commence à monter. L’inconnu me suit, les yeux rivé sur mon cul que je dandine avec provocation. Il pose une main sur l’intérieur de mes cuisses et me caresse en montant les marches qui nous amènent à son appartement. Quand on arrive devant la porte de l’appartement, il m’ouvre et à peine sommes nous à l’intérieur qu’il m’attrape par le poignet pour m’amener dans sa chambre et me jeter sur le lit en disant :

    - « Tu veux de la bite, tu vas en avoir. »
    je suis ravie de cette réaction enfin masculine. Il se jette sur moi et me fou à poil en quelques secondes. J’ouvre les cuisses tellement largement que cela en est terriblement indécentes. Il parcourt mon corps entier avec sa bouche avant d’amener sa queue à l’entrée de mon sexe. D’un coup, il me pénètre tout en m’embrassant dans le cou. Pendant qu’il me baise, je caresse les fesses de ce mec, je les lui écarte et trouve son anus dans le quelle j’enfonce d’un coup un doigt. Ce traitement a pour effet de faire jouir immédiatement le type dans ma chatte et je sens le liquide chaud se répandre en moi comme la lave d’un volcan. Il se retire et me regarde totalement nue offerte les cuisses largement ouvertes. Le liquide qui s’écoule de ma chatte inondée se répand sur les draps. En regardant l’homme qui m’observe avec mes yeux de salope, je me touche le minou, y récolte un peu de jus coulant et l’amène à ma bouche. Je suce mes doigts en gémissant ce qui a pour effet de refaire bander mon hôte. Il approche son sexe poisseux de ma bouche et je n’attend pas une seconde avant de le sucer avec acharnement. L’excitation de l’inconnu grandit et cette fois, il prend les choses en main. Il attrape ma tête pour imprimer lui-même le rythme. Je me laisse faire, j’aime ça. Je serre les lèvres autours de sa tige qui durcit de plus en plus. Je sens qu’il va se répandre dans le fond de ma gorge. Le rythme s’accélère encore jusqu'à ce que d’un coup il s’arrête et jouit à nouveau mais cette fois dans ma bouche et j’avale le peu qu’il décharge. Il s’effondre ensuite sur le lit visiblement repus. Quand je me redresse, il me regarde en disant : 

    •   -  « Je ne sais même pas comment tu t’appelle. »
    •   -  « Sonia. »
    •   -  « Tu fais ça souvent Sonia ? »
    •   -  « De quoi parles-tu ? Me faire baisée par des mecs que je ne connais pas ? »
    •   -  «Oui»
    •   -  « Disons simplement que ça m’arrive »
      Je m’habille en discutant avec cet homme qui me regarde. Quand je suis prête, je me penche sur la queue de mon hôte et y dépose un dernier baiser en disant :

    - « Elle a été efficace mais un peu plus de brutalité n’aurait pas été de refus. »
    Puis je me tourne pour sortir et quitter la chambre. J’entend malgré tout au loin le type crier : 

    - « La prochaine fois, revient et je t’en donnerai de la brutalité. »
    En descendant l’escalier, cette dernière phrase m’a émoustillée. je me  dit qu’après une réponse pareille, je reviendrait peut être dans quelques temps. Dans une semaine ou dans un mois, peut-être même dans un an ou jamais… 

    20 : un inconnu dans la rue

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