-
21 : Le directeur de la troupe antillaise
En raison de leur collaboration avec une entreprise antillaise, l’entreprise qui m’a demandé d’organiser une soirée spectacle veut qu’elle soit marquée par des danses provenant de cette région. C’est donc tout naturellement que je cherche des groupes capables d’offrir ce spectacle aux invités. C’est dans ce but que je prend contacte avec une troupe de spectacle folklorique et prend rendez-vous avec son responsable.
Je suis occupée à lire un mail torride que m’a envoyé un copain. A ce mail, il joint des photos de moi qu’il avait prise et sur les quelles il avait jouis. C’est le genre de truc qui m’excite énormément et en regardant cet envoie, je me sens déjà trempée entre mes jambes. Je suis interrompue dans ma lecture par trois petits coups sur la porte :
- - « entrez. »
- - « Bonjour madame, je suis Richard, responsable de la troupe de danse folklorique Antillaise. »
C’était un grand Antillais d’une trentaine d’année que je trouve sexy et excitant. L’entrée du jeune homme n’a pas arrangé l’état trempé de ma chatte. Je le fais s’asseoir puis discute des origines du groupe et de ce que l’on attend d’eux lors de cette soirée. Pendant la discussion, très excitée, j’écarte les cuisses, je sais que de la ou il se trouve, le représentant de la troupe ne sait rien voir alors j’en profite. Je glisse ma main droite sous mon bureau et me caresse le sexe en écoutant le jeune homme. Je m’enfonce un doigt puis deux en évitant tout signe distinctif sur mon visage qui pourrait trahir ce que je suis entrain de faire. Tout en regardant l’antillais dans les yeux, je prend discrètement un gros gode dans le tiroir de mon bureau. J’en ai toujours un qui traine au cas où une envie trop pressante comme aujourd’hui se ferait sentir. Je l’amène discrètement sous le bureau et me touche l’intérieur des cuisses. La sensation de froid sur mes jambes me fait un peu tressaillir mais c’est imperceptible pour celui qui se trouve en face de moi. Le gode remonte lentement et arrive à l’entrée de mon sexe dans le quel je l’enfonce - précautionneusement. Centimètre par centimètre, ce gros bout de caoutchouc me pénètre. Pendant que le responsable de la troupe m’explique le spectacle en montrant des photos, je le regarde en me léchant les lèvres et entame un mouvement de vas et vient avec le vibro-masseur dans ma foufoune de plus en plus mouillée d’excitation. Soudain, au beau milieu d’une phrase, le jeune homme comprend que quelque chose se passe sous le bureau. Il se lève calmement et passe de l’autre côté. Il me voit, les cuisses grande ouverte, un pieu planté au fond de mon intimité. Je le regarde sans aucune gêne alors il attrape le dossier du fauteuil dans le quel je suis assise et le fait tourner pour l’avoir face à lui. Il s’agenouille et retire le gode pour y poser sa langue. Je m’abandonne entièrement à ces caresses buccales. La langue du jeune Antillais s’insinue entre mes lèvres gonflées puis remonte vers mon clitos avant de redescendre à nouveau et de s’enfoncer le plus loin possible dans ma grotte d’amour qui lui est offerte. Tout en me fourrant deux doigts dans le minou, il me suce le clito. Il fait durer le plaisir plusieurs minutes a mon grand bonheur des je gémis doucement à chaque coup de langue que je reçois. Quand il s’arrête et se redresse, je l’observe. Il détache son pantalon et en sort une belle grosse queue dressée et décalottée. Je regarde cette belle bite qu’il me met devant les yeux et doucement avance la main droite pour la touchée. Elle est douce et très agréable a tripotée. Je descend maintenant vers ces couilles rasée que je pelote et sous-pèse avec la paume de ma main. Ensuite j’approche la bouche de ce dard et l’embrasse, le lèche. ma langue parcourt la hampe virile du jeune homme avant de s’attarder sur sa belle paire de burnes pleines de liquide chaud. Après l’avoir parcouru avec ma langue, je prend la pine dans ma bouche pour la sucer. Je le gratifie d’une pipe d’enfer à la quelle il n’est vraiment pas insensible. Quand je lève vers lui mes yeux de salope, il me regarde en gémissant et en jetant parfois sa tête en arrière de plaisir. Je lui bouffe la queue pendant quelque minute avant de me lever de mon siège et de prendre place à même le bureau en ouvrant au plus grand les cuisses couverte par des bas. L’antillais vient mettre sa queue à l’entrée de ma chatte et la pénètre très lentement. Je vois cette grosse bite entrer en moi jusqu’aux couilles. Il se retire au point d’être complètement sortis de mon sexe avant d’y entrer à nouveau puis d’une fois de plus se retirer. A chaque pénétration, sa vigueur augmente, il donne l’impression d’aller plus loin. Quand il n’en ressort plus, les mouvements s’accélèrent, il transpire, des gouttes de sueur perlent sur son front. Il me regarde dans les yeux, il me défonce de plus en plus vite, je sens ces grosses burnes taper contre mes fesses. A ce rythme là, je ne vais pas tarder à jouir. Il le sent, il le sait alors il met les bouchées doubles. Je suis parcourue par un orgasme énorme que je ne peux laisser paraître au travers de cris ou de gémissements trop forts. Dans mon excitation et ma jouissance, je fais comprendre à mon amant de l’instant qu’il doit se retirer avant de décharger. Je veux qu’il me jouisse sur le visage alors je reprend ma place initiale sur mon siège et reprend la grosse pine dans la bouche. Je le suce à nouveau avec frénésie puis quand je sens qu’il va se vider, je me retire et le branle en plaçant mon visage quelques centimètres à peine de cette colonne de chaire qui vient de me faire tant de bien. Je le regarde avec des yeux de salope assoiffée et ce regard à pour effet de faire éjaculer immédiatement le jeune homme. De grosses saccades de foutres viennent s’étaler sur mon visage. j’en ai sur tout le visage et même jusque dans les cheveux tellement les jets étaient puissants et fournis. Je reprend la bite du jeune Antillais dans la bouche pour bien lui nettoyer la pine. Quand j’en ai terminé avec lui, je me lève et part vers le lavabo qui se trouve dans une toute petite pièce qui donne dans le bureau. Quand je reviens, le responsable de la troupe m’attend patiemment assis devant le bureau. Je le regarde avec le sourire avant de lui dire :
- « C’est parfait, vous êtes engagé, je fais préparer les contrats et je vous les fait parvenir. »
Le jeune homme me salue en me remerciant avant de quitter le bureau.
Quand il est partit, je reste assise derrière mon bureau, pensive. Je me dit que si toute la troupe est comme leur responsable, ça pourrait être intéressant. -
-
Comments
-