• 24. un peu de sport

    Commentez sans retenue mes photos et mes aventures. C'est important pour me donner envie de continuer a vous raconter mes infidélités.

    Le seul sport que je pratique est la natation et encore, de temps en temps. J’en faisait beaucoup plus étant jeune mais de temps en temps, surtout le dimanche matin, j’y retourne. La piscine est ouverte à 9h00 et à cette heure là, il n’est pas rare que je sois seule dans l’eau. C’est très agréable une grande piscine pour moi toute seule. C’est seulement vers 10h30 que les jeunes et les enfants arrivent ce qui rend l’ambiance bien plus bruyante. Ce dimanche n’enfreins pas la règle. Il est 9h05 quand j’arrive au bord de l’eau et j’y suis seule a part un maître nageur qui me regarde m’approcher les yeux rivé sur mes seins. Il faut dire que mon maillot est à l’égal des tenues que je porte en général, sexy voir même provocant. C’est un deux pièces avec en bas, non pas un string car dans la piscine c’est interdit mais une culotte quand même extrêmement mini puisque attachée avec des ficelles sur les côté et le triangle devant et derrière ne cache que le minimum. Quand au dessus, il est lui aussi tout rikiki, voir même trop petit pour mettre en valeur mes seins qui ne sont pas énorme mais d’une taille juste respectable. Le tout est noir et blanc ce qui fait parfaitement ressortir mon bronzage encore présent. Quand je suis dans l’eau, en nageant, je regarde le maitre nageur marcher vers le petit bureau vitré qui se trouve dans un coin. 

    Après une ou deux longueurs, un homme s’approche du bord de l’eau. Il a une bonne trentaine d’année, l’allure sportive cheveux long. Il m’observe dans l’eau avant d’y entrer dans un plongeon digne d’un grand champion. Il s’enfonce dans l’eau pour en ressortir quelques mètres plus loin et entamer lui aussi une longueur. Je le regarde le dos appuyé et les bras posés sur le bord du bassin. Apres quelques minutes, il s’approche de moi et se présente : 

    •   -  « Bonjour, je suis Christian. »
    •   -  « Enchantée, moi, c’est Sonia. »
      On se serrent la main avant que le nageur ne reprenne la parole

    •   -  « C’est la première fois que je vous vois ici. »
    •   -  « Je viens assez rarement mais quand je viens c’est toujours à cette heure ci. »
    •   -  « Moi, je ne viens jamais à cette heure ci en réalité. »
      Il s’en suit quelque banalité pendant les quelles Christian s’approche de plus en plus de moi pour presque me toucher. En sentant cette approche, j'avance ma cuisse gauche doucement pour la passer entre les jambes de l’homme qui les plie légèrement pour que son sexe touche ma chaire au travers du fin tissus de son maillot. Lors de se contacte, je sens qu’il bande bien dur alors j’approche ma main qui remplace ma cuisses dans le contacte avec la queue du nageur. Doucement je lui masse la queue par- dessus le petit short de bain moulant. Il se penche vers moi pour me susurrer à l’oreille :
    •   -  « Et si on sortait de l’eau ? »
    •   -  « Ce serait peut être mieux car je suis incapable de te la sucer au fond de l’eau. »
      En terminant ma phrase, je pousse sur les bras pour m’extirper hors de l’eau et vais vers la douche des femmes sous le regard de celui avec qui je discutais.
      Christian sort lui aussi de l’eau et file dans la douche des hommes pour me retrouver avant que je ne me rende dans ma cabine. Quand il sort, il constate que c’est moi qui l’attend pour l’emmener dans cette minuscule pièce ou on passe de vêtements à maillot et inversement. Les gens commencent à arriver, des hommes, des femmes, des enfants, des familles circulent librement en maillot. Des portes claquent, des cris et des rires joyeux s’élèvent dans chaque coin des vestiaires. nous savons qu’il faudra être discret. 

    Dès qu’on se trouvent enfermé dans la minuscule pièce, Christian colle ses lèvres aux mienne, nos langues se caressent, nos salives se mélangent. Les mains du jeune homme s’attardent sur mes seins qu’il sort sans difficulté du maillot. Il les tripote longuement avant de finir par en sucer les tétons sensuellement. Je me laisse faire, profite du moment présent puis me dégage de l’étreinte de cet homme pour m’asseoir sur le petit banc rabattable qui sert aussi de fermeture de porte. Je me trouve maintenant à la bonne hauteur et peut sortir ce sexe qui ne demande que ça. J’abaisse le maillot avant de lécher cette tige dressée. ma langue la parcoure de bas en haut puis de haut en bas en déposant de la salive sur chaque centimètre carré de chaire. Ensuite c’est sur les testicules que je m’attarde pour les gober et branlant d’une main cette grosse bite. Christian se laisse faire en me touchant les cheveux de temps en temps. Il tente de se contrôler pour ne pas gémir, pour ne pas crier des cochonneries. C’est au moment ou j’enfourne sa pine au fond de ma gorge qu’il a le plus de mal à se retenir, quand je le pompe de plus en plus rapidement il sent qu’avec ce traitement, il ne va pas tarder à jouir. D’un coup, il se retire, je comprend qu’il ne veut pas jouir maintenant, qu’il veut me baiser alors je me redresse, lui tourne le dos et me cambre pour qu’il me prenne par derrière. Dans un endroit aussi petit, c’est presque la seule solution puis c’est aussi une des positions que je préfère. Il abaisse doucement ma culotte de maillot puis place son nœud à l’entrée de ma chatte avant de me murmurer à l’oreille : 

    - « Je vais te baiser. »
    Je sens la colonne de chair entrer en moi centimètre par centimètre très lentement jusqu'à la garde puis ressortir et entrer à nouveau mais plus rapidement. Christian prend mes seins dans ses mains et fait rouler les bouts entre ses doigts. Les coups de reins sont de plus en plus fort, de plus en plus rapides. J’ ai envie de gémir, de gueuler qu’il ait plus vite, qu’il soit plus fort. Comme si mon partenaire le sentait, ces mouvements s’accélèrent encore jusqu'à ce qu’il se crispe d’un coup, qu’il ne bouge plus, qu’il reste au fond de mon sexe pour jouir. C’est quand je sens cette explosion de foutre en moi que je jouis à mon tours.
    Après un long baisé langoureux, Christian quitte la petite cabine pour récupérer ses habits dans son casier pendant que je reste assise en pensant que j’aimerais garder ce sperme en moi jusqu'à mon retours à la maison puis me faire lécher par mon mari mais malheureusement ce n’est pas envisageable. Peut être une autre fois avec un autre amant.
    Le reste de mon dimanche, je le passe en compagnie de mon mari, un déjeuner en tête à tête à la maison suivit d’une belle balade la main dans la main dans les rues du village. 

    24. un peu de sport

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