• 20 : un inconnu dans la rue

    Quand j’ai voulu garer ma voiture dans le parking de l’immeuble pour aller travailler, l’entrée de celui-ci était barrée par un camion de livraison qui faisait ces manœuvres. J’ai attendu une dizaine de minutes et en voyant que rien ne bougeait, j’ai décidé de chercher une place dans une des rues avoisinantes. J’ai fini par en trouver une dans une petite ruelle assez sombre bordée d’immeuble abritant des appartements au loyer probablement assez modeste. 

    Vers 18h00 je quitte mon boulot et me dirige vers la rue dans la quelle je suis stationnée. Le temps était légèrement pluvieux et il n’y avait pas un chat sur les trottoirs. N’ayant pas de parapluie, mon chemisier dévoile de plus en plus ma poitrine au fur et à mesure que j’avance dans la pluie. A quelque mètre de ma voiture, je vois un homme appuyé dans une entrée d’immeuble qui me regarde m’approcher. C’est un homme de taille moyenne, mince, les cheveux courts et une barbe de trois jours. Il est en jeans troué à hauteur de ces cuisses et en chemise ouverte sur un torse velu. Plus je m’approche de lui et plus je le trouve sexy et je me sens habitée par un désir brulant. Quand j’arrive à un mètre de lui, je m’arrête et pose les yeux sur son entre jambe. Le type comprend immédiatement ce que je regarde et sans se tourné ouvre la porte de l’immeuble et se laisse glissé dans le couloir. Je le suit immédiatement et le découvre adossé aux boites aux lettres de l’immeuble. Je m’approche de lui sans dire un mot et je lui mets immédiatement la main au panier. Je sens que le sexe de cet homme est raide comme du bois. Je m’accroupis et détache le pantalon pour en sortir une belle grosse pine raidie par la vue de mes seins au travers du tissu mouillé. Je donne quelque coup de langue au gland violacé que j’ai devant mon nez avant de lécher la tige sur toute sa hauteur plusieurs fois puis de m’attarder sur les couilles que je gobe avec plaisir. Je remonte ensuite vers le sommet de cette verge que j’engouffre d’un coup au plus profond de ma bouche. J’entame des mouvements de vas et vient de plus en plus rapide pendant que l’homme se laisse faire sans prendre la moindre initiative. j’ai très envie de me faire baiser par cette grosse queue alors je m’arrête avant qu’il ne jouisse et me redresse en lui demandant : 

    •   -  « Tu habite l’immeuble ?
    •   -  « oui au troisième. »
    •   -  « alors on y va. »
      Sans attendre la réponse du mec, je vai vers les escaliers et commence à monter. L’inconnu me suit, les yeux rivé sur mon cul que je dandine avec provocation. Il pose une main sur l’intérieur de mes cuisses et me caresse en montant les marches qui nous amènent à son appartement. Quand on arrive devant la porte de l’appartement, il m’ouvre et à peine sommes nous à l’intérieur qu’il m’attrape par le poignet pour m’amener dans sa chambre et me jeter sur le lit en disant :

    - « Tu veux de la bite, tu vas en avoir. »
    je suis ravie de cette réaction enfin masculine. Il se jette sur moi et me fou à poil en quelques secondes. J’ouvre les cuisses tellement largement que cela en est terriblement indécentes. Il parcourt mon corps entier avec sa bouche avant d’amener sa queue à l’entrée de mon sexe. D’un coup, il me pénètre tout en m’embrassant dans le cou. Pendant qu’il me baise, je caresse les fesses de ce mec, je les lui écarte et trouve son anus dans le quelle j’enfonce d’un coup un doigt. Ce traitement a pour effet de faire jouir immédiatement le type dans ma chatte et je sens le liquide chaud se répandre en moi comme la lave d’un volcan. Il se retire et me regarde totalement nue offerte les cuisses largement ouvertes. Le liquide qui s’écoule de ma chatte inondée se répand sur les draps. En regardant l’homme qui m’observe avec mes yeux de salope, je me touche le minou, y récolte un peu de jus coulant et l’amène à ma bouche. Je suce mes doigts en gémissant ce qui a pour effet de refaire bander mon hôte. Il approche son sexe poisseux de ma bouche et je n’attend pas une seconde avant de le sucer avec acharnement. L’excitation de l’inconnu grandit et cette fois, il prend les choses en main. Il attrape ma tête pour imprimer lui-même le rythme. Je me laisse faire, j’aime ça. Je serre les lèvres autours de sa tige qui durcit de plus en plus. Je sens qu’il va se répandre dans le fond de ma gorge. Le rythme s’accélère encore jusqu'à ce que d’un coup il s’arrête et jouit à nouveau mais cette fois dans ma bouche et j’avale le peu qu’il décharge. Il s’effondre ensuite sur le lit visiblement repus. Quand je me redresse, il me regarde en disant : 

    •   -  « Je ne sais même pas comment tu t’appelle. »
    •   -  « Sonia. »
    •   -  « Tu fais ça souvent Sonia ? »
    •   -  « De quoi parles-tu ? Me faire baisée par des mecs que je ne connais pas ? »
    •   -  «Oui»
    •   -  « Disons simplement que ça m’arrive »
      Je m’habille en discutant avec cet homme qui me regarde. Quand je suis prête, je me penche sur la queue de mon hôte et y dépose un dernier baiser en disant :

    - « Elle a été efficace mais un peu plus de brutalité n’aurait pas été de refus. »
    Puis je me tourne pour sortir et quitter la chambre. J’entend malgré tout au loin le type crier : 

    - « La prochaine fois, revient et je t’en donnerai de la brutalité. »
    En descendant l’escalier, cette dernière phrase m’a émoustillée. je me  dit qu’après une réponse pareille, je reviendrait peut être dans quelques temps. Dans une semaine ou dans un mois, peut-être même dans un an ou jamais… 

    20 : un inconnu dans la rue

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