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15 : un nouveau canapé pour le salon
J’ en ai marre de voir ce vieux canapé dans le salon. Il a déjà quelques années et il devient de plus en plus râper. Quand j’en parle à Patric, celui-ci me répond d’aller voir après un nouveau, que je peux le choisir et que ce que je choisirai sera parfait pour lui. Pas besoin de le lui dire deux fois. mon mari étant absent ce samedi, je vais en profité pour faire les magasins de meuble et trouver ce qui pourra me convenir puisque j’ai le feu vert avec la recommandation malgré tout de ne pas exagérer dans les dépenses. En effet, quand quelque chose me plait, je ne regarde pas trop au prix car nous pouvons nous le permettre par contre, mon mari est plus prudent et économe. Je me dit que si quelque chose me plait vraiment, dans le domaine du salon en cuir, il est encore relativement aisé de négocier une ristourne d’autant plus que les vendeurs sont souvent des hommes. La seule chose qu’il faut faire, c’est de se mettre en valeur.
Quand Patric est partit, j’ouvre ma garde robe pour faire mon choix. Le temps étant pluvieux, les bas peuvent être ressorti, ce qui apporte encore un peu plus de sensualité à la tenue que j’ai l’intention de porter aujourd’hui. mon choix s’oriente vers bien sur des bas autos portants, une mini jupe très courte et en plus fendue sur le coté et un chemisier que je veillerai à ne pas trop attaché. Des cuissardes à hauts talons terminent mon look vestimentaire. Un beau maquillage et des lèvres bien rouges ajoutent encore à l’inspiration du désir.
Quand j’entre dans le magasin de meuble, je ne sais pas encore vraiment le genre de divan que je cherche, j’espère qu’il y en aura un qui me tapera dans l’œil. Je regarde depuis quelques minutes quand un vendeur vient vers moi. Je lui explique le genre d’intérieur dont je dispose et le style de meuble que j’aime. Après avoir reçu ces explications, le vendeur m’emmène dans une partie bien précise de la boutique et là, je vois immédiatement le canapé de mes désirs. Je m’en approche en le frôlant de la main avant de dire au vendeur :
- - « J’adore celui-ci, puis je m’y installer ? »
- - « Mais bien entendu, je vous en prie. »
Lorsque je m’y installe, ma jupe remonte un peu et grâce à la petite fente qui se trouve sur le coté, le vendeur peut voir la fin des bas et de début de mes cuisses nues. Il ne se gêne d’ailleurs pas pour mater avec le sourire. Je le regarde de mon air le plus coquin et lui dit d’une voix suave en montrant la petite étiquette qui se trouve sur le bord du divan :
- - «C’estleprix?»
- - « Oui madame. »
- - « Une petite ristourne serait elle envisageable ? »
Le vendeur me regarde de la tête au pied en s’attardant sur les parties les plus visibles de mon anatomie en souriant puis me dit :
- « Je pourrais vous faire 30%. »
Je décroise les cuisses lentement pour les croiser dans l’autre sens ce qui fait remonter encore un peu ma jupe et dévoile un peu plus le haut de mes jambes au type qui me regarde intensément.- « Elle me parait minime cette ristourne, vous ne pouvez vraiment pas faire un effort ? »
En prononçant cette phrase, je pose ses yeux sur le sexe du vendeur et constate avec plaisir qu’il est entrain de bander. Le type visiblement mal à l’aise d’être repéré tente de cacher son érection avec un catalogue. Voyant cela, je profite de son trouble pour ajouter :
- « Vous n’avez pas un endroit plus discret pour négocier ? »
En entendant ces paroles, l’attitude du marchand de meuble change, il retire le catalogue qui cachait son sexe tendu sous son pantalon et montre une porte à quelque mètre d’où il se trouve avant de dire :- « par là. »
Je me lève et me dirige immédiatement vers la porte en question. J’y entre et constate qu’il s’agit visiblement de l’entrepôt de stockage. L’homme me suit et verrouille la porte derrière lui puis s’avance vers moi et me dit :- « Si vous voulez négocier, alors on va négocier. »
En le regardant droit dans les yeux, je pose la main sur la bite du vendeur pas dessus son pantalon et la lui caresse au travers du tissu tendu. L’homme approche son visage et m’embrasse à pleine bouche. Je lui rend son baiser et on se roulent tout les deux une pelle magistrale en se tripotant mutuellement. Après ce baiser fougueux, c’est lui qui prend la parole :- « Alors 40% si tu me la suce, 50% si je te baise et 70% si en plus, je t’encule. » je me lèche les lèvres, m’abaisse lentement et sort la queue du vendeur avant de lui dire en le branlant doucement :
- « On va faire tout ce qu’il faut pour les 70%. »
J’aime la manière dont cet homme me dit les choses, il avait une expression vicieuse et cochonne de me proposer ce deal. Je le suce avec application en lui lançant de temps à autre un regard de salope. Je voulais qu’il voie le plaisir que j’ai de le pomper de la sorte. Les vas et vient buccaux sont de plus en plus rapide alors avant de jouir, il me repousse. Sachant maintenant ce qu’il veut, je sors un préservatif de mon sac et lui enfile avec dextérité avant d’aller m’agenouillée sur un canapé qui se trouve quelques mètres plus loin. Quand j’y suis installée, je tire sur ma jupe pour la relevé et entend le type crier :- « HO PUTAIN, MAIS T’A MEME PAS DE CULOTTE. »
j’ étais surprise qu’il ne s’en etait pas encore aperçu. Il s’approche, se positionne à l’entrée de ma chatte et d’un coup sec me pénètre. Son vas et vient rapide et brutal en me tenant par les hanche me fait jouir très vite puis il se retire pour se placer à l’entrée du petit trou en disant :- « Maintenant on passe au 70% salope. »
Sa phrase terminée, il donne un grand coup de rein pour m’enfoncer sa pine dans le cul jusqu'à la garde. Il me bourre le derrière de plus en plus vite. Je prend mon pied, je gémis de plus en plus fort, mes cris de jouissance résonne dans le hall.- « On sent que tu aime te faire enculée grosse salope. »
Ces paroles augmentent encore mon excitation et mon plaisir alors je crie de plus en plus fort ce qui ne plait pas au vendeur. Il m’attrape par les cheveux et tire ma tête en arrière pour me dire à l’oreille d’une voix rauque :- « Ferme ta gueule, on va nous entendre connasse. »
Il est maintenant carrément entrain de me défoncer le cul en s’agrippant à ma chevelure. Il me pilonne de plus en plus fort, je sens ces couilles taper contre mes fesses. Ma tête est tirée en arrière pour que je me cambre au maximum puis d’un coup, il reste bien au fond pour jouir et se vider les couilles dans la capote que je lui avais enfilée. Quand il se retire, il me regarde pour me dire :- « Tu me l’a enfilée, maintenant, tu me retire cette capote toi-même. »
Je m’exécute et retire délicatement le morceau de caoutchouc souillé puis le laisse tomber sur le sol. Assise dans le canapé dans le quelle je viens de me faire mettre, je regarde le vendeur attacher son pantalon.- « On peut établir le contrat maintenant ? »
Lorsqu’il a fini d’ajuster sa cravate, il me demande de le suivre dans son bureau pour établir les documents relatifs à la vente et connaître l’adresse de livraison. Les 70% me sont accordé comme prévu et quand je rentre chez moi, je me trouve satisfaite à tout point de vue. Il faut maintenant espérer que le divan plaira à mon mari et qu’il ne se posera pas la question de savoir comment un canapé de cette qualité peut être vendu à un prix aussi bas. - - « J’adore celui-ci, puis je m’y installer ? »
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