• Il est 14h00 quand j’entre dans le bureau d’André avec qui j’ai rendez-vous pour lui exposé mon rapport sur la visite que j’ai effectuée en début de semaine. Il est un des actionnaires principal de la société pour la quelle j’organise cette petite escapade. Il est aussi responsable des relations publiques et c’est pour cela que c’est à lui que je dois faire mon rapport. C’est un homme d’une quarantaine d’année, marié, plutôt grand, châtain, toujours tiré à quatre épingles. Il a quand même le regard assez vicieux et cochon quand il me regarde et ce n’est pas pour me déplaire. 

    Je suis assise devant le bureau d’André qui tout en me posant des questions relatives à ma visite détaille ma tenue sans discrétion. Il faut reconnaître qu’avec mes bottes, ma jupe super courte et mon top des plus décolleté je pense être désirable. Pendant que nous discutons, le responsable se lève et passe de l’autre côté de son bureau pour se placer derrière moi. Je comprend immédiatement que d’où il se trouve maintenant, il doit avoir une vue parfaite sur ma poitrine qu’il peut mater dans vergogne. Je continue néanmoins mon exposé sans la moindre gêne. L’homme attentif pose maintenant ces mains sur mes épaules, il les masse doucement. Ce n’est pas désagréable, bien au contraire, je trouve cela relaxant. Ne voyant aucune réaction négative de ma part, il continue mais cette fois passe les mains dans mon cou avant de descendre sur ma gorge et de continuer lentement plus bas. Il entre doucement dans mon décolleté à la limite de mes seins. Je ne bouge toujours pas et discute comme s’il ne se passait rien alors il descend encore et passe sa main sur mes petites pointes tendues. Plus le moindre doute maintenant, il se rend compte que j’aime ça. Ce traitement ne m’étonne pas vraiment car il est déjà arrivé plus d’une fois à André de me mettre la main au cul mais ca n’avait jamais été plus loin. Pendant qu’il tripote et fait tourner mes tétons entre ses doigts, le téléphone sonne subitement et la, d’un coup, le type retire sa main et passe rapidement de l’autre côté de son bureau pour décrocher le combiné. Il s’assied sérieusement à son bureau comme si la personne à l’autre bout du fil pouvait voir sa position. Il décroche et en posant un doigt sur sa bouche me fait signe de ne pas faire de bruit. En fait, c’est sa femme qui lui téléphone pour lui dicter une petite liste de courses à effectuer avant de rentrer à la maison. Quand je comprend qui est au bout du fil, un souvenir me revient en tête, celle du jardinier et avec ce souvenir, une envie irrésistible. Je plonge sous le bureau d’André qui me regarde stupéfait disparaître. Je m’approche lentement puis pose une main sur la queue du quadragénaire et le caresse doucement par- dessus son pantalon. Ensuite j’attrape la ceinture et la détache avant de s’attaquer au bouton puis à la braguette du pantalon du responsable de la communication. De son coté, il tente tant bien que mal de m’empêcher d’arriver à mes fin mais il n’est pas vraiment en position de force étant donné sa conversation téléphonique avec sa moitié. Je fini quand même par lui sortir le sexe et commence lentement à le sucer en touchant du bout des doigts les couilles que j’ai aussi réussi à dégager de l’emprise du caleçon. Quand à lui, André, mal à l’aise déploie toute son énergie à tenter de garder son sang froid. C’est visiblement difficile pour lui et sa femme s’en rend compte car il est obligé de se justifier en lui disant qu’il a des crampes au ventre. Il réussit quand même à garder son sérieux jusqu'à ce que la conversation avec son épouse soit terminée mais dès qu’il raccroche le combiné, il s’adresse à moi : 

    - « Espèce de grosse salope, tu n’es vraiment qu’une pouffiasse. »
    Il gémissait en prononçant ces paroles et son excitation augmentait tout comme la mienne que ce genre de discourt excite au plus haut point. Je m’active de plus belle sur cette queue tendue et gonflée à bloc. André m’attrape par les cheveux et imprime lui- même le rythme de la fellation et tirant et en poussant sur ma tête brutalement. 

    - « C’est ca que tu veux salope, espèce de pute, je vais tout te foutre dans la gueule. » Il me tenait tellement fermement que j’en avait mal, il me tirait par les cheveux pour que je remonte ma tête puis la poussait vers le bas pour que sa queue s’enfonce de plus belle dans ma bouche de suceuse. Après m’avoir fait subir ce mouvement quelques courtes minutes, il me pousse une dernière fois vers le bas pour planter sa queue bien au fond de ma gorge pour jouir. 

    - « Tiens, prend ca salope, avale sale putain, avale tout, AVALE. »
    Il crie en m’obligeant à tout avaler. Je prenait plaisir à tenter de ne rien laisser mais il y en avait tellement que du sperme s’écoulait malgré tout le long de la grosse tige que j’avait dans la bouche. Je pensais « les couilles de ce porc étaient bien pleine ». J’aime me sentir humiliée de la sorte, utilisée même si c’est moi qui en ai pris l’initiative. Après ce petit intermède, nous reprenons tout deux le travail et quand je quitte le bureau d’André, celui-ci lui demande s’il pourra quand même me baisée un de ces jours. En lui souriant, je lui dis que ce n’est pas exclu, peut être même un jour devant sa femme. Cette réflexion ne fait rire que moi et le responsable en communication me regarde quitter son bureau d’un air perplexe. 

    Histoire vraie 14 (N'hésitez pas a lâcher vos coms)

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  •  

    Je ne suis qu’a quelque kilomètre de chez moi quand j’aperçois sur le bord de la route un jeune homme, pouce levé. Il est déjà 19h00 et je ne veut pas le laisser comme ça, n’écoutant que mon cœur, je m’arrête à sa hauteur. Je baisse la vitre côté passager pour lui demander où il se rend. Le jeune homme cite le nom d’un patelin que je ne connaît pas. L’auto- stoppeur m’explique que c’est un petit village qui se situe une quarantaine de kilomètres plus loin. Ce n’était pas du tout ma route mais tant pis, je le conduirais jusqu'à sa destination. Le garçon pose son sac sur la banquette arrière et monte dans la voiture côté passager. Je redémarre et entame le dialogue. Il m’explique qu’il vient d’avoir 18 ans et qu’il rentre seulement d’un week-end passé avec des copains pour fêter ça. Pendant qu’il me parle, j’observe mon interlocuteur du coin de l’œil sans en avoir l’air. Je remarque qu’il a souvent ces yeux plongé dans mon décolleté. Il faut dire que d’où il est, il doit certainement voir presque toute ma poitrine tellement l’ouverture de mon chemisier est profonde. Quand ce ne sont pas mes seins qu’il matte, c’est mes cuisses également offerte en raison de la longueur restreinte de la mini jupe que je porte. me faire mater de la sorte me donne des idées et des envies alors je me tourne vers mon passager pour lui dire : 

    •  -  « Tu aime ce que tu matte ? »
    •  -  «Pardon?»
    •  -  « Je vous que tu me matte et je voulais savoir si ca te plaisait. »
      Le garçon devient tout rouge et ne répond pas. Il se contente de regarder devant lui, extrêmement gêné. Je n’ai malgré tout pas l’intention de le laissé s’en tirer comme ça. J’ai très envie de savoir l’effet que je peux encore faire à un jeune homme comme lui. Tout en conduisant, j’écarte les jambes, je sais que maintenant, il pourra voir sans problème sous ma jupe et surtout se rendre compte que je suis nue dessous. L’auto-stoppeur ne peut s’empêcher de regarder mon intimité
    •  -  « Je me posais une question ? »
    •  -  «Oui?»
    •  -  « Les jeunes filles de ton âges s’habille comme moi ? »
    •  -  « Non, en tout cas, pas celle que je connais. »
    •  -  « Et ça t’excite ce genre de tenue ? »
    •  -  « Oui, beaucoup. »
    •  -  « Montre le moi. »
    •  -  «Pardon?»
    •  -  « Montre moi comme tu es excité, sors ton sexe. »

    Sans rien répondre, le jeune homme détache avec hésitation son pantalon et en sors une belle queue fièrement dressée. Cette vue m’excite et j’attrape la main de mon passager et l’amène vers mon seins. Il ne se fait pas prier et pelote ce que je lui propose sans la moindre retenue. Il se laisse enfin aller, et après quelques minutes de caresses sur mes seins, il descend beaucoup plus bas avec sa main droite et la pose sur ma chatte avant de m’enfoncer deux doigts. Je me laisse faire et me contente de gémir en restant malgré tout le plus possible concentrée sur la route. Il me branle avec de plus en plus de frénésie ce qui me fait penser « il va finir par me faire jouir ce petit con. »
    Par prudence, je s’arrête sur le côté, me tourne vers lui pour lui offrir une vue parfaite sur mon sexe épilé et lui dit : 

    • « Branle toi, je veux te regarder te branler. »
      Le jeune homme prend sa queue dans la main droite et commence à s’astiquer en regardant ma chatte et mes seins. Je me caresse les cuisses puis remonte vers ma vulve que je tripote avant de m’enfoncer deux puis trois doigts dans ma foufoune que je branle vigoureusement. En voyant ce que je fais, le type accélère encore le mouvement pendant que de sa main gauche, il se touche les couilles. J’ai très envie de la voir jouir, de le voir éjaculer, de voir couler le foutre pour me prouver si c’était nécessaire que j’excite même les petits jeunes. Je sors par moment les doigts de ma chatte pour les lécher, les sucer pour ils reprennent immédiatement leur place au chaud. Je prend mon regard le plus cochon et gémis de plus en plus fort en observant mon passager qui d’un coup se met à jouir lui aussi. Il serre le bout de sa queue pour ne pas laisser jaillir la précieuse semence. Ces muscles se raidissent, tout son corps se contracte et lorsqu’il relâche son sexe, un liquide épais coule en abondance le long de sa tige. Cette vision me ravi et je suis fier de moi, fier d’avoir, rien que par mon exhibition, fait jouir un jeune homme de 18 ans, je suis fière de plaire à un jeune mec de cet âge là.
      Pendant qu’il s’essuye avec des mouchoirs en papier trouvés dans la boite à gant, je reprend la route. Le reste du trajet fût plutôt silencieux à part quelques banalités d’usage. 
    • histoire vraie 13 (j'aimerais vos commentaires)
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  • Sur la route qui me conduit vers le sud, je repense au week-end que j’ai passé avec mon mari. La semaine précédente avant été tellement chargée que j’étais vraiment contente qu’on se retrouver deux jours en tête à tête avec Patric.
    Maintenant je roulais en direction du sud pour visiter un site sport et nature. La plus grosse entreprise de l’immeuble pour la quelle je travaille dans l’organisation d’évènement voulait emmener une partie de son personnel pour trois jours dans un parc sport et détente pour maintenir voir augmenter la complicité et l’esprit d’équipe entre les membres du personnel. L’organisation m’ avait été confiée et comme la boite ne regarde pas vraiment à la dépense, je suis dans l’obligation de vérifier que tout sera parfait et correspond à l’attente du patron de cette entreprise. Pour cela, une seule solution, se rendre sur place. Le site se trouve à 350km de chez moi alors pour éviter de faire 700 bornes sur la journée, j’ai dit à mon mari que je trouverais certainement un hôtel sur place et que je me remettrait en route le lendemain matin. 

    Il est assez habituel que je parte pour plusieurs jours pour des organisations voir même pour accompagner le groupe pour le quel j’organise un voyage d’entreprise et Patric n’y voit jamais aucun inconvénient.
    Après quatre heures de route, j’arrive enfin devant l’entrée du domaine dans le quel j’ai rendez vous avec le responsable des activités qui me ferait visiter les installations et m’ expliquerait ce qu’il organise lors de ce genre de séjour. Si la visite s’avère concluante, je prendrai une option de réservation de 10 jours, le temps de présenter le tout au boss de l’entreprise et d’avoir son aval pour confirmer définitivement la réservation. 

    Un homme d’une cinquantaine d’année vient vers moi quand je sors de ma voiture et se présente. Il se prénomme Vincent, il a l’air encore en bonne forme pour son âge, il faut dire que le sport et la vie dans la nature préserve. Il me fait visiter les chambres pour commencer qui sans être luxueuse sont vraiment très confortable. Le site en lui-même est magnifique, les points de vue superbes et les installations sportives sont vraiment impeccables. Assis à la table du restaurent du domaine, le responsable m’explique les différentes activités possible en buvant un café. Je l’écoute attentivement en prenant des notes. Je sais que cette organisation est très importante pour l’entreprise qui m’emploie donc pour moi aussi. Les choses doivent donc se faire très sérieusement. 

    Quand j’ai eu toute les explications que je désire, je demande au responsable s’il connaît un petit hôtel ou je pourrais passer la nuit.
    Lorsque j’arrive dans le hall de l’établissement que Vincent m’ a renseigné, je vois un type d’une bonne cinquantaine d’année avec une grosse moustache et bedonnant qui me regarde m’approcher de lui. Pas un sourire, pas un bonjour, il ressemble plus à un ours à l’entrée de sa caverne qu’a un réceptionniste. 

    •  -  « Bonjour monsieur, c’est Vincent, le responsable du centre de loisir qui m’envoie. Auriez-vous une chambre de libre pour la nuit ? »
    •  -  « Oui j’en ai une, vous réglé par carte ou en liquide ? »

    Je trifouille dans mon sac et j’en sors une carte de crédit que je tend à l’ours. Celui-ci la prend et la débite immédiatement du montant de la chambre pour une nuit. Il se retourne prend une clef dans un casier et me la tend en disant : 

    - « Chambre 10 au premier étage. »
    Je monte l’escalier de bois recouvert au milieu par une moquette usée jusqu'à la corde à certains endroits. Arrivée au premier, je découvre un couloir avec 5 portes numérotée par deux. La cinquième étant la bonne. j’ouvre et allume la lumière. Je découvre un lit couvert d’un drap bleu, la moquette est bleue elle aussi. Contre le mur de droite, il y a un petit secrétaire sur le quel est posé du papier à lettre, des enveloppes et un stylo. Au dessus du secrétaire, un grand miroir style ancien est fixé au mur de manière à ce qu’on puisse se voir entièrement à l’intérieur. Dans le coin, une porte donne sur une salle de bain sobre et sans chichi mais très propre comme le reste de la chambre. Deux tables de nuit disposées de chaque côté du lit termine le mobilier.
    Je me couche un instant avant de me changer pour aller dîner dans un petit resto que j’ avais repérer en arrivant. Le lit est très confortable et me rappelle celui de chez mes grands parents ou je passais une partie de mes vacances d’été quand j’ étais jeune. Après une demi- heure, je vais dans la salle de bain ou je prend un bon bain chaud pour me détendre.
    Je suis maintenant presque prête à sortir, j’ ai enfilé la mini jupe moulante que j’ai emportée avec moi et un top lui aussi moulant et joliment décolleté. Je me maquille les yeux puis les lèvres que je couvre d’un rouge assez provocant. Je sors de la salle de bain et machinalement ouvre un des tiroirs du secrétaire. J’y découvre en autre dépliant touristique une petite carte de snacks qu’on peut visiblement se faire livrer dans la chambre. En découvrant cette petite carte, l’envie que j’ai de sortir disparaît presque instantanément. Maintenant, c’est l’envie de rester dans la chambre qui prédomine alors je prend le téléphone et fait le numéro de la réception. 

    •  -  « Excusez moi monsieur, je suis dans la chambre 10, est il encore possible d’avoir quelque chose à grignoter ? »
    •  -  « Oui, que désirez-vous ? »
      La voix était toujours aussi froide et rustre qu’a mon arrivée mais cela provoque chez moi une certaine excitation. J’aime aussi ce genre de mec.

    •  -  « Un sandwich jambon fromage et crudités s’il vous plait. »
    •  -  « Je vous apporte ça dans vôtre chambre dans 15 minutes. »
      Sans même attendre un merci, l’hôtelier raccroche le téléphone. En attendant mon repas, je m’installe sur la chaise devant le secrétaire et face à la porte de la chambre que j’ai laissée entre-ouverte. j’ouvre les cuisses et me caresse la chatte lentement. j’ai très envie d’y mettre deux doigts pour me faire jouir mais il n’en est pas question maintenant. Un quart d’heure plus tard, on frappe à la porte. C’est le type de la réception qui apporte la baguette garnies posée sur une assiette blanche. Dès son entrée il pose le regard sur mes jambes que je viens de croisées avant qu’il n’entre. Je sens monter en moi une envie de plus en plus grande au fil des secondes. Je me place face à ce mec et en écartant doucement les cuisses lui lance :

    - « Le service s’arrête là ou vous proposé d’autres choses ? »
    Le réceptionniste pose son regard sur mon entre-jambes et constate que je ne porte rien sous ma mini jupe vraiment très courte à ses yeux. Il s’approche de moi lentement et tout en sortant sa grosse queue de son pantalon me demande : 

    - « C’est ce genre de service que vous voulez ? »
    Je n’hésite pas une seule seconde, je prend cette grosse queue épaisse dans ma bouche et le pompe vigoureusement avec des petits temps d’arrêt pendant les quelle je donne de petit coup de langue sur le bout de son gland. La bite du type grossissait encore entre mes lèvres serrées. Lui, me regarde, les mains sur les hanches sans rien dire en se contentant de souffler. Après l’avoir sucé, je me redresse et vais m’agenouiller sur le lit en remontant ma jupe sur mon cul comme je l’avait fait la semaine précédente devant mon collègue à la mi-temps du match de foot. L’ours de la réception s’est approché, il a placé sa grosse pine à l’entrée de ma chatte et m’a pénétrée doucement. Il entame un mouvement de vas et vient soutenu en massant du pousse mon petit trou offert. L’excitation et les caresses dilataient ma rondelle qui devenait de plus en plus ouverte et accueillante. Le réceptionniste, en voyant cela, se retire et se présente à l’entrée de mon anus qu’il pénètre lentement. Il regardait sa queue entrer et sortir de mon cul .J’ai eu un peu mal pendant cette pénétration mais l’excitation était plus forte que la douleur et maintenant je sens son ventre frapper contre mes fesses et mon dos touché par les mains potelées de mon enculeur qui me défonce le cul de plus en plus vite. j’ entend son bide claquer contre mon cul, les doigts s’agrippent à mes hanches plus fermement puis d’un coup, il se plante au fond de mon derrière et je le sens se répandre dans mes entrailles. Il m’ éjacule au plus profond de mon cul en me maintenant dans cette position jusqu'à la fin de sa jouissance. Je gueule de plaisir jusqu'à ce qu’il se retire pour essuyer son gland sur mes fesses sans dire un mot. Quand je me retourne vers lui souriante, il me regarde, presque gêné par ce qui viens de se produire. Je pense alors que cet ours est bien plus sensible qu’il n’en a l’air, comme la plus part des hommes qui ont le même style que lui d’ailleurs. 

    • « C’était bon, voila ce que j’appelle du service. »
      Le réceptionniste s’est détendu en entendant ces quelques paroles puis a quitté la chambre après m’avoir souhaité un excellent appétit . Le lendemain matin quand je passe par la réception pour payer mes consommations de la veille, le tenancier me dit que c’est offert par la maison et qu’il espère bien me revoir dans son hôtel une autre fois. je me suis contentée de lui sourire en le remerciant encore pour le service puis j’ai repris la route pour rentrer chez moi et retrouver mon mari. 

    Histoire vraie 12 (commentez sans retenue, j'aime ca)

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  • Patric était à peine rentré depuis trois jours qu’il était déjà obligé de m’abandonner pour une soirée. Il avait en effet un repas d’affaire qui faisait justement suite à son voyage et comme souvent dans ces cas là, il rentrerait certainement encore très tard.
    Moi qui adore les vieux films car je leur trouve un charme tout particulier ai décidé en l’absence de mon mari de me faire plaisir. Je cherche sur internet une séance de cinéma pour ce soir qui diffuserait un film ancien pour passer une chouette soirée cinématographique seule. Je trouve un petit cinéma spécialisé dans ce genre de diffusion et qui projette le soir même le film « Sur les quais » avec Marlon Brando. Ce film me convient parfaitement et je me prépare pour sortir. Un joli top noir largement décolleté, une mini jupe en velours blanc et des petites bottines à hauts talons composent ma tenue. 

    Quand j’arrive dans la salle un peu avant 20h00, il n’y a qu’une dizaine de personnes présentes. Ce genre de projection n’attire plus les foules malheureusement et c’est souvent la mort de ces petits cinémas de quartier. Je regarde plus précisément les spectateurs présents et voit dans le fond un homme seul assis au beau milieu de la rangée. Je monte les marches qui m’emmènent vers le fond de la salle et m’installe deux sièges avant celui de cet homme que j’ai repéré d’en bas. Quand je suis assise, je remarque que le cinéphile qu’il doit être pose souvent son regard sur mes jambes nues et bronzées. Le film va commencer et très vite la salle n’est plus éclairée que par la luminosité de la projection et celle des petites lumières qui balisent les directions qui conduisent aux sorties de secours. Quelques minutes plus tard, je me lève pour venir m’installer cette fois juste à coté de ce spectateur solitaire. C’est un homme d’une bonne quarantaine d’année vêtu d’un pantalon de costume et d’une chemise blanche. Poussée par cette même envie qui inconsciemment m’a amenée au cinéma, puis m’a poussée à m’asseoir la ou je suis, je pose ma main sur la cuisse de celui qui est maintenant mon voisin de siège. Celui-ci a pour commencer un mouvement de recul du à la surprise mais très vite il se détend et se laisse aller. je le sens et lentement monte le long de sa cuisse pour arriver à son sexe que je masse immédiatement. je sens durcir ce membre viril sous mes mouvements de doigts au travers du tissu. Lhomme n’est visiblement pas insensible aux caresses que je lui fait subir. je me penche alors vers lui et lui glisse à l’oreille : 

    - « Sors-la. »
    je n’ai pas du lui répéter ma demande deux fois. Immédiatement l’homme s’affère sur son pantalon pour le détacher et en sortir une queue grosse et raide comme du bois que je prend immédiatement en main. Je le branle doucement sans brusquer les choses. ma paume monte et descend sur cette queue tiède. Après cette petite branlette de quelque minute, je me penche vers la queue de mon voisin pour donner quelque coup de langue sur son gland puis le lécher doucement. Je sens la main du spectateur se posé sur ma tête et la pousser vers le bas pour que sa queue entre dans ma bouche. Sans me retenir le moins du monde, je laisse entre ce membre tendu dans ma bouche et entame une lente fellation en serrant bien les lèvres. Le type agrippe mes cheveux et me pousse encore plus bas pour que sa queue entre entièrement dans ma bouche.J’accélère le mouvement de ma pipe, le gland m’arrive presque dans la gorge, j’étouffe quasiment à chaque fois que cette queue est au fond de mon orifice buccal. Je sens l’excitation de ce cinéphile monter au fur et à mesure que je le suce. Il relâche son étreinte alors je relève un peu la tête pour le finir en le branlant rapidement. Je garde mon visage à quelque centimètre du gland de mon voisin pendant que je le masturbe. Soudain, il m’attrape de nouveau par les cheveux mais cette fois beaucoup plus fermement et il pousse ma tête vers le bas pour me foutre sa queue dans la bouche presque de force. Il m’oblige à sucer en tirant et poussant ma tête aussi vite qu’il le peut puis d’un coup c’est l’explosion. Je sens le foutre se répandre dans ma bouche par saccade. L’homme me tient toujours fermement pour garder sa queue bien au chaud dans ma bouche. Je suis très excitée car j’aime ce genre de traitement et je mouille comme une folle quand on me brutalise un peu de la sorte. Quand il a bien fini de se vider les couilles dans ma gueule, il me redresse sans ménagement toujours en me tenant par les cheveux et amène mon visage près du siens pour me dire avec une rage excitée : 

    - « Alors, c’est ca que tu voulais salope ? »
    Je lui fait signe oui de la tête alors il me repousse sur le côté comme s’il jetait un simple mouchoir. Je me lève et quitte immédiatement le cinéma sans avoir vu la moindre image du film.
    De retours chez moi, j’ai pris un gode pour me masturbée, j’étais trop excitée par ce que je venais de vivre, j’ étais trop impatiente de jouir que pour attendre le retour de mon mari alors c’est cet objet de silicone qui me ferait jouir une dernière fois ce soir. 

    histoire vrais 11

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  • En raison de mon congé de lundi, j’arrive très tôt au boulot le mardi car je pensais bien avoir du boulot en retard. J’arrive dans mon bureau à 6h00, ouvre mon ordinateur mais constate que contrairement à ce que je pensais, la journée de lundi avait été calme et aucune demande des entreprises pour les quelle je travail dans l’immeuble n’était urgente si bien qu’une demi-heure plus tard, j’ avais déjà du temps libre en attendant l’ouverture des bureaux. En voyant le beau soleil matinal qui se lève, je décide d’aller faire une petite balade dans le parc qui se trouve à quelques centaines de mètres de mon boulot. J’ arrive dans ce petit coin de verdure en pleine ville et même si ma tenue n’est pas vraiment prévue pour une balade en raison de mes hauts talons principalement, je décide quand même de me promener dans les allées qui s’engouffrent parmi les arbres. Je prends un petit sentier ombragé et en raison de la brise du matin, on voit parfaitement pointer mes seins au travers du tissu très fin de mon chemisier. Pendant ma petite promenade, je vois s’approcher devant moi un homme qui fait son jogging. Il est assez grand, vêtu d’un petit short et torse nu. Il est assez musclé et me fait un peu penser dans sa morphologie à l’ouvrier qui travaillait dans mon jardin la veille sauf que celui-ci était blanc et un peu plus âgé. En passant à côté de moi, il me salue d’un grand sourire que je lui retourne gentiment. Quelques minutes plus tard, des pas de courses se font à nouveau entendre derrière moi. C’est à nouveau le même homme mais cette fois il s’arrête à ma hauteur pour s’adresser à moi : 

    - « Bonjours mademoiselle, que faites vous dans le parc aussi tôt, je ne vous y ai jamais vu pourtant, je viens courir tout les jours. » 

    Cette approche de drague bien classique ne me surprend pas du tout, j’en a l’habitude alors instinctivement, je lui répond quelque chose que je n’avait pas préparé et qui quelque part m’a un peu surprise moi-même : 

    - « En réalité, j’avais rendez vous avec un copain pour qu’il me baise dans les bois mais il n’est pas là. » 

    Le joggeur un peu surpris par cette réponse devient tout rouge et met quelques secondes avant de reprendre ses esprit alors contre toute attente il me répond sans trop de conviction : 

    - « Je peux peut-être le remplacer si vous le désirez ? »
    Sans dire un mot, je quitte le sentier et vais m’appuyer contre un arbre avant de lui faire signe de venir vers moi. Quand il s’approche, je vois qu’il est déjà en érection alors je m’accroupis devant lui et tire sur l’élastique de son petit short pour en sortir sa queue tendue que je porte immédiatement à ma bouche. Je le suce doucement avant de ressortir sa queue de ma bouche et de faire tourner ma langue autour de son gland rougis par le désir. Quand je me retire, de petit fil de salive s’étire de la tige tendu jusqu'à mes lèvres mouillées comme des toiles d’araignées couverte de rosée. J’engouffre ensuite de nouveau toute cette pine dans ma bouche dans un bruit de sucions humide. Le coureur me redresse doucement en me prenant par les bras puis approche son visage du mien avant de poser un doux baiser sur mes lèvres. Il s’ensuit un échange de caresses entre nos deux langues de plus en plus avides. Les bouches sont collées l’une à l’autre et les visages se penchent alternativement sur la gauche puis sur la droite. D’une main il tripote mes seins tandis que l’autre main s’occupe de mon cul qu’il pelote sans la moindre retenue pendant que je le branle 

    délicatement. Son gros sexe tient parfaitement dans la paume de ma main et j’ai de plus en plus envie de la sentir ailleurs que dans ma main. Il profite d’un instant d’inspiration pour me dire : 

    - « Tu es vraiment bonne et tu m’excite. »
    je sais qu’il est excité, je le sens, j’ ai quand même un peu d’expérience dans le domaine et je sais ce que ressentent les hommes quand je m’occupe d’eux. Je me retourne, prend appuis sur l’arbre et me cambre au maximum. Je sens la colonne de chaire chaude se présenter à l’entrée de ma chatte trempée puis la pénétrer lentement. Centimètre par centimètre, je sens le sexe tendu de cet homme entrer en moi. Je préfère plus de brutalité voir même de violence mais je me contente de ce qu’on m’offre surtout quand c’est inattendu comme ce matin. Le joggeur me lime de plus en plus vite en me répétant sans cesse que je suis bonne. Je sens la jouissance monter alors j’ accélère moi-même et imprime le rythme en bougeant mon bassin d’avant en arrière. Je sens que l’éjaculation de mon amant est proche alors dans un mouvement vers l’avant plus ample, je l’oblige à sortir. Je me retourne face à lui, m’abaisse très vite en ouvrant la bouche et en me léchant les lèvres pour qu’il comprenne que je veux qu’il jouisse sur mon visage et dans ma bouche. La queue à la main il me regarde dans les yeux en se branlant pour se finir. Il ne faut pas plus d’un ou deux vas et vient avant qu’un premier jet ne vienne s’écraser sur mon visage. Les jets suivant moins puissant tombent sur mes lèvres et dans ma bouche. Je me délecte de ce merveilleux nectar que j’ apprécie vraiment. Je répète souvent qu’aucun sperme n’a le même goût. Il n’y a qu’a mon mari, évidement que je ne tiens pas ce genre de discourt. Le type frotte bien sa queue sur mon visage avant que je ne me redresse et ne prenne un mouchoir dans mon sac pour me nettoyer le visage. Pendant ce temps, l’homme me demande : 

    - « Tu fais ca souvent ? »
    Je me contente de lui sourire en ajustant ma tenue. Je lui donne un baiser sur les lèvres et juste avant de partir lui dit : 

    - « Je dois y aller maintenant, je vais être en retard pour le boulot. »
    Le type me regarde m’éloignée et quitter le parc. Il n’a pas eu de réponse à sa question mais il venait de vivre, peut être, un véritable rêve. 

    Histoire vrais 10

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