• Patric, mon mari a une vieille montre qu’il a héritée de son grand père. Cette montre ne fonctionnait plus et lorsque j’en ai parlé au boulot, un collègue m’a dit que son frère est horloger. Il m’a aussi dit qu’il le voie le week-end suivant et que si je le veux, je peux lui apporter la montre, qu’il la lui remettra lorsqu’il se verrait. 

    quelques jours plus tard, Marc entre dans mon bureau pour m’annoncer que la montre est réparée et que je peux la récupérer quand je le veut chez son frère. Marc en profite pour détailler ma tenue qui se compose d’une jupe très courte, de chaussure a haut talon et d’un chemisier largement ouvert qui de certains angles doit dévoiler le galbe de mes seins. Avant de quitter le bureau, il me donne l’adresse de la bijouterie et le numéro de téléphone. 

    A peine est il sortit que je prend le combiné pour appeler le bijoutier et lui demander si je peux passer chercher la montre juste avant midi. L’homme à l’autre bout du fil me répond très aimablement que cela ne pause aucun problème et qu’il m’attendrait.
    Il est 11h30 quand je quitte mon bureau pour aller chercher la montre de mon mari. Je monte dans ma voiture et programme l’adresse exacte sur le GPS pour ne pas a devoir chercher et par la même occasion faire attendre le commerçant outre mesure. 

    Une petite demi-heure plus tard je me trouve devant une petite bijouterie dans un immeuble ancien. Deux vitrines de taille moyenne sont séparées par une porte d’entrée en verre dépolis. Les bijoux et les montres exposées ont l’air d’être de très bonne qualité. Après m’être attardé sur la vitrine deux petites minutes, j’entre dans la boutique. Dès l’ouverture de la porte une sonnerie retentit à l’intérieur et s’arrête dès sa fermeture. L’intérieur de la bijouterie est composé de grande vitrine bien éclairée sur la droite, parfaitement achalandées et décorée avec goût. Sur la gauche il y a un long comptoir en bois peint sur le quel sont disposé des présentoirs de bijoux Pandora, des boucles d’oreilles fantaisies et des bracelets de cuirs. Un homme d’une cinquantaine d’année me regarde entrer en me souriant. Arrivée devant lui, je me présente en lui disant que c’est moi qui ai téléphoné plutôt dans la journée. Il m’observe de la tête aux pieds avant de me dire en quittant la pièce pour se diriger vers l’arrière de la boutique : 

    - « Mon frère m’a parlé de vous. »
    Je me demandait ce que Marc avait bien pu lui raconter à mon sujet alors quand il revient je lui pose la question directement : 

    •   -  « Vous me dites que Marc vous a parlé de moi ? J’espère que c’est en bien ? »
    •   -  « Evidement, ne vous inquiétez pas. »
      En me répondant, le commerçant dépose la montre sur le comptoir. Je l’admire car elle est plus belle que ce qu’elle avait imaginé. Elle était parfaitement nettoyée et brillait sous l’abondant éclairage de la boutique.

    •   -  « Magnifique, vous avez fait de l’excellent travail. »
    •   -  « Merci Madame, c’est vraiment une très belle montre vous savez. »
    •   -  « J’aimerais quand même savoir ce que vôtre frère à bien pu raconter sur moi. »
    •   -  « Il m’a dit que vous n’hésitiez pas à payer de vôtre personne. »

    Il me parle de la sorte sans la moindre gêne convaincu qu’il est de ne pas du tout me choquer. De mon côté, je ne suis pas vraiment étonnée que Marc tienne ce genre de discourt car il me connait malgré tout depuis pas mal de temps. Je me dit que s’il se fie au discourt de son frère, le bijoutier s’attend certainement à être payé avec une autre méthode que de l’argent. Le commerçant regarde dans mon décolleté en attendant une réaction de ma part. Je plonge mes yeux dans les siens et avec un regard des plus cochons et je lui dis : 

    •   -  « Si tu as envie que je te suce la queue, tu n’as qu’as le dire. »
    •   -  « Ho putain, il avait ainsi raison le frangin, alors, viens ici, viens sucer ma grosse queue »
      Le temps pour moi de faire le tour du comptoir et le type est déjà la queue raide à la main et les couilles sorties. Il a une grosse bite bien épaisse comme je les aime et une bonne paire de burnes bien grosses. En voyant cela, je m’abaisse immédiatement et lui palpe les burnes avant de le branler doucement. Je lui donne ensuite quelques coups de langues sur le gland avant de le prendre en bouche en lui palpant les couilles. Je commence alors à le sucer goulument en faisant monter en moi une excitation qui me faisait baver de plaisir. Le mec regarde mes nibards qui ballotaient nu sous mon chemisier profondément décolleté.

    • « Merde, tu suce vraiment comme une pute. »
      Voila exactement le discourt qui m’excite encore plus. Je m’active de plus en plus sur le chibre de cet homme en lui touchant les couilles. Le type passe sa main dans mes cheveux. nous savons tout les deux que la jouissance ne tardera certainement pas alors quand il la sent venir, le frère de marc poigne dans mes cheveux pour me foutre sa queue profondément dans ma gorge avant de se vider en moi en me disant dans un râle de plaisir : 

    - « prend ça salope, avale pouffiasse. »
    Je sens alors le sperme de ce mec se déversé en trois saccades dans le fond de ma gorge. j’avale consciencieusement le liquide chaud qui se déverse et garde la bite de ce bijoutier bien au fond de ma bouche jusqu'à ce qu’elle se ramollisse. Il ne faut que quelques secondes pour que le sexe de l’homme ne soit redevenu d’une taille moins imposante. Je me redresse, prend la montre sur le comptoir puis en faisant le tour de celui-ci, je m’adresse au frère de Marc en lui disant : 

    •   -  « Je pense que tout est en ordre ? »
    •   -  « Bien sur Madame, vous pouvez revenir pour des problèmes de montres quand vous voulez. »
      Le soir venu, Je rend la montre à mon mari. Patric trouvait l’objet magnifique, et tout comme moi, il ne s’imaginait pas que cette montre pouvait être aussi belle alors il me demande :

    •   -  « Ca n’a pas couté trop chère cette réparation ? »
    •   -  « Tu sais bien que c’est le frère d’un collègue, il m’a fait un excellent prix. » Je souris en lui répondant car j’ai  encore dans son esprit la manière dont j’ai traité l’horloger. J’en était encore excitée et c’est mon mari qui ce soir allait en profiter.

    4eme infidélité

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  • Il n’y avait que quelques semaines que mon bureau avait été totalement remis à neuf. C’est moi qui avait choisi la couleur des murs et de la moquette qu’ils ont posé sur le sol. je suis restée très sobre dans mes choix ce qui tranche avec les tenues vestimentaires que je porte la plus part du temps qui elles n’ont rien de sobre ou de sage. Après quelque semaine, un petit gondolement est apparu dans le tapis juste en face de mon bureau alors j’ai fait appel à la firme et le patron lui-même s’est déplacé pour constater le problème. Il m’a dit qu’il enverrait un ouvrier en me demandant si le jeudi 27 août me conviendrait. 

    je suis dans mon bureau, occupée à faire des rechercher pour une journée sportive qu’une des entreprises a l’intention d’organiser pour son personnel quand on frappe à la porte. Je me lève comme d’habitude pour aller ouvrir et découvre un jeune homme qui ne doit pas avoir plus de 25 ans. Il est assez grand, cheveux noir, des yeux brun qui respirent une certaine timidité. 

    - « Bonjour Madame, je suis Thierry, je viens m’occuper de ce petit problème » Du doigt, il désigne l’emplacement ou la moquette gondole devant mon bureau. 

    • « Bonjour Thierry, je suis Sonia, entrez, je vous en prie. »
      Le garçon entre et s’agenouille immédiatement pour tâter le tapis.  quand à moi, je reprend place derrière mon bureau et continue mes recherches. De temps en temps, je regarde discrètement le jeune homme faire son travail et constate qu’il a régulièrement le regard fixé sous mon bureau. Je comprend qu’il est entrain de mater mes cuisses par-dessous le meuble. 
    • Je décroise alors les jambes lentement pour les recroiser en sens inverse très sensuellement pour offrir à ce jeune ouvrier le spectacle qu’il désire certainement. Je constate qu’il transpire de plus en plus en travaillant. Je me sens de plus en plus excitée d’être reluquée de la sorte alors après avoir fait ce petit jeu pendant quelques minutes, j’ouvre les cuisses sans les refermées pour que ce mec ait une vue imprenable sur le tout petit string blanc que je porte sous ma mini jupe. L’ouvrier n’en peut visiblement  plus, je vois qu’il bande comme un âne en matant. 
    • C’est quand il voit que je commence à me caresser qu’il ne tient plus et file sous le bureau pour s’en occupé lui-même avec sa langue. Je m’avance sur le bord de mon fauteuil en ouvrant largement mes jambes pour lui laisser un accès facile. Je sens la langue de ce type s’insinuer entre mes lèvres chaudes et trempée de désir avant de s’enfoncer aussi loin qu’il peut dans mon sexe. Je passe mes mains dans ces cheveux, les agrippe parfois pour tirer sa tête encore plus entre mes cuisses et qu’il aie encore plus loin avec sa langue. Je le laisse faire jusqu'à ce que je jouisse puis je le repousse avant de lui dire : 
    •   -  « Maintenant tu vas me baisée. »
    •   -  « Oui madame. »
    •  Le jeune homme me répond comme un enfant qui répond a sa maitresse d’école en me regardant timidement dans les yeux. Moi qui suis de nature soumise, je suis un instant désemparée car je me sens dominatrice avec ce jeune homme. Ce n’est pas pour me déplaire car le jeu, j’aime ça et je sais me comporter contre nature pour mon plaisir et celui de l’autre quand c’est nécessaire. Je me lève et vient m’asseoir sur le devant de mon bureau, les cuisses encore une fois grande ouverte dans l’attente de la queue de ce jeune ouvrier. Lui, de son côté, il se redresse devant moi en détachent fébrilement son pantalon qui tombe sur ses chevilles avec son caleçon. Je découvre alors une belle grosse queue tendue qui ne demande qu’a pénétrer dans ma grotte d’amour. Je fixe ce beau sexe puis regarde le jeune homme avant de lui dire : 
    • « Alors tu viens me la mettre, et tu as intérêt à me baiser convenablement petit con. » 
    • Après avoir prononcé ces paroles, J’ai l’impression que le sexe de l’ouvrier prend encore du volume. Visiblement il aime être traité de la sorte et insulté. Je lui tens un préservatif qui se trouve dans un petit pot sur mon bureau. 

    - « Allez, enfile ca et tronche moi connard. »
    Le jeune homme enfile la capote avec dextérité puis plante sa bite d’un coup dans ma chatte. Les mouvements de vas et vient lui tire de petit râle de plaisir. Comme j’aime la provocation je le regarde dans les yeux et lui dit : 

    - « Alors c’est tout ce que tu peux faire petite bite ? »
    Je vois dans son regard que je l’ai touché dans son amour propre et que maintenant, il va mettre la gomme. Les coups de rein son de plus en plus puissant. Il commence carrément à me défoncer maintenant. Heureusement qu’il me tient par les cuisses aussi non il m’enverrait valdinguer de l’autre côté du bureau tellement ces coup de queues sont puissant. A chaque coup, ma jouissance est accompagnée de petit « oui » d’excitation. Je sens que je ne vais pas tarder jouir puis d’un coup, il se plante au plus profond de mon sexe et dans un râle de plaisir dit : 

    - « Ho putain c’est bon. »
    J’attend qu’il se retire avant de me redressée et de rajuster ma jupe et le reste de ma tenue quelque peut malmenée par ce qui vient de se passer. Le jeune ouvrier quand à lui, remonte son pantalon en me regardant me diriger vers la porte de mon bureau que j’ouvre pour sortir. Je me retourne une dernière fois vers lui avant de sortir et lui dit : 

    • « J’espère que à mon retours vous aurez fini votre travail. » 

    troisième infidélité a commenter

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  • N'hésitez pas à commenter mes infidélités sans retenue

    voici une image de moi en attendant le récit d'une autre infidélité

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  • Il y a plusieurs années de cela, c’est pour l’accueil que j’ai été engagée dans cet immeuble de bureau mais petit à petit, à force de faire mes preuves lors de petites organisations qu’on me demandait de temps en temps, mon activité principale au sein de l’immeuble à changée. Maintenant, je suis surtout l’organisatrice officielle de tous les évènements officiels ou moins officiels des entreprises qui occupent l’immeuble. Cela ne m’empêche pas de temps à autres de retourner derrière ce comptoir que j’ai occupé pendant des années dans le hall d’entrée. Quand j’arrive au boulot vers 8h00, je passe d’abord dans mon bureau pour y déposer mon sac puis je vais dans le hall de l’immeuble pour diriger et renseigner les différents visiteurs parfois perdu devant les immenses panneaux renseignant l’étage des entreprises ainsi que les bureaux des différentes fonctions. Il est vrai que dans l’état actuel de l’économie, les noms et les attributions changent relativement régulièrement.
    Que je sois à ce poste ou dans mon bureau, je suis toujours habillée de manière sexy, c’est dans ma nature. Même si certain me trouve trop provocante, nonante pour cent de mes collègues comme je les appelle ou des visiteurs me trouve très agréable et si je garde ce poste depuis si longtemps c’est que je convient parfaitement en tout point.
    Aujourd’hui je suis toute de blanche vêtue. Des chaussures a très haut talon, une mini jupe que certain appelle même micro jupe au vu de sa longueur ou plutôt de son manque de longueur et un top blanc lui aussi, moulant et profondément décolleté. Quand je me regarde dans le miroir, il n’est pas rare que je me dise que j’ai l’air d’une vraie petite salope mais j’aime ça.
    Installée derrière mon ordinateur, je vérifie s’il n’y a pas de changement depuis la semaine dernière quand un type grand, mince, élégant en costume cravate se présente devant moi. C’était la première fois qu’il se présentait dans l’immeuble et vu la taille de celui-ci, il voulait des renseignements pour se rendre auprès de l’acheteur avec qui il avait rendez vous. Il était en effet délégué commercial d’une grosse entreprise.
    Pendant qu’il me parle je le regarde droit dans les yeux. j’avais un crayon à la main que je le porte à ma bouche pour le lécher et le sucer comme si c’était un sexe d’homme. j’adore allumer les mecs de cette manière et tenter de leur faire perdre leur moyen. Je remarque immédiatement que le délégué qui ne devait pas avoir plus de 35 ans, n’est pas insensible à mon petit manège et au fond de moi, j’en étais très excitée. Après l’avoir écouté attentivement, de ma voix la plus suave et sensuelle je lui donne tout les renseignements qu’il veut. 

    •   -  « vous serez toujours à votre poste après mon rendez vous ? »
    •   -  « Tout dépend de la durée de votre rendez vous mais je pense que oui.
      Le type repartis avec un grand sourire et en me faisant un petit clin d’œil.
      Quand il redescend toujours le sourire aux lèvres, il vient immédiatement dans ma direction

    •   -  « Alors votre rendez vous c’est bien passé ? »
    •   -  « Oui vraiment bien, très productif. »

    Je le regarde d’un air coquin voir même cochon. Je sais avoir le regard d’une véritable salope quand je le veux. Le délégué prend la parole timidement. 

    •   -  « Puis je me permettre de vous inviter à déjeuner ? »
    •   -  « Je vais être très franche avec vous. »
      Ces premières paroles ont pour effet de stressé et de désemparer quelque peu cet homme apparemment très sur le lui en temps normal mais Je poursuis :

      - « Les seules rencards que j’accepte sont ceux qu’on me fixe dans les toilettes du sous sol. »
      - « Dans ce cas, je vous en fixe un dans trois minutes ? »

      Sans me laisser le temps de répondre, il se dirige immédiatement vers cet endroit de soulagement guidé par les petits panneaux fixé aux murs.
      Très excitée par cette réaction, une minute plus tard, je lui emboite le pas. Lorsque j’arrive au sous sol, je le vois appuyé contre le chambranle de la porte des WC pour homme. je m’approche de lui lentement. Dès que je suis en face de lui, le type m’attrape par la nuque pour tirer mon visage vers lui et il me roule une pelle d’enfer. Nos langues se touchent et se caressent dans un savant mélange de salive qui a le gout du désir. Pendant que nous nous embrassont, je descend ma main jusqu'à l’entre jambe du délégué et lui touche la queue, la caresse, la masse, la presse au travers de son pantalon de costume. Il bande très fort et je ne lâche pas prise.

      je le pousse ensuite à l’intérieur des toilettes et je m’accroupis devant lui. C’est là, quand j’ouvre les jambes en m’accroupissant qu’il remarque que je ne porte rien sous ma jupe ce qui l’excite encore plus. Lentement je défais sa ceinture, détache le bouton avant d’abaisser sa braguette puis descend son pantalon ainsi que son boxer sur ces chevilles. Je découvre une queue fièrement dressée devant mon nez. Je la prend dans ma main droite pour le branler doucement pendant que de la main gauche, je lui palpe les couilles.
      Je
      sort ensuite ma langue de ma bouche pour lécher le gland doucement avant de prendre sa queue entière dans ma bouche et de commencer des mouvements de vas et vient qui sont au fil du temps de plus en plus rapide. Pendant que je le suce, je ne cesse de lui tripoter les couilles que je sent de plus en plus grosses. De temps en temps, je lève les yeux pour lui lancer un regard de chienne assoiffée avant de reprendre mon vas et vient de plus belle avec ma bouche gourmande. Grâce à la position dans la quelle je me trouve, il peut mater mes seins nu dans la profondeur de mon décolleté.

    - « Ho putain, c’est bon, t’arrête pas salope. »
    C’est le genre de commentaires qui m'excitent et qui me pousse à m’activé de plus belle sur cette bite de plus en plus grosse. Parfois je m’arrête de sucer pour le masturbé vigoureusement puis d’un coup je le reprend encore plus profondément dans ma bouche pulpeuse. Il passe sa main dans mes cheveux en s’y agrippant parfois. 

    - « Tu suce bien salope, t’arrête pas, c’est bon. »

    Je n’avais pas envie de stopper c’est certain, je voulais qu’il jouisse alors mes mouvements s’accélèrent encore jusqu'à ce que ce que j’ attend arrive enfin. Dans un râle de plaisir à peine contenu, le liquide chaud se déverse dans ma bouche. Je continue quand même, Je ne veux pas en perdre une goutte, je veux l’intégralité du contenu de ces bourses au fond de ma gorge. j’ avale avec application chaque goute de ce liquide précieux qui se déverse dans ma bouche. Je garde la queue dans ma bouche pour la nettoyer convenablement et c’est seulement après que je la laissera ressortir. J’aime le sperme et ce type s’en est maintenant parfaitement rendu compte. Lorsque je me redresse et pendant qu’il remonte son pantalon, il me dit : 

    - « J’aimerais te revoir »

    Voila une petite phrase qui a le don de me faire sourir, un sourire plus emprunt de tendresse qu’autre chose. 

    - « Pour le prochain rendez vous que tu auras ici, je serai probablement présente » 

    C’était une réponse claire, un refus de rester en contacte avec lui dit poliment. Je n’aime pas avoir d’amant fixe, c’est une source de problème.

    récit d'une deuxième infidélité

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  • Cette image de moi était à la base une photo qu'un copain avait prise derrière chez lui.

    Dans le jardin d'un copain

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