• troisième infidélité a commenter

    Il n’y avait que quelques semaines que mon bureau avait été totalement remis à neuf. C’est moi qui avait choisi la couleur des murs et de la moquette qu’ils ont posé sur le sol. je suis restée très sobre dans mes choix ce qui tranche avec les tenues vestimentaires que je porte la plus part du temps qui elles n’ont rien de sobre ou de sage. Après quelque semaine, un petit gondolement est apparu dans le tapis juste en face de mon bureau alors j’ai fait appel à la firme et le patron lui-même s’est déplacé pour constater le problème. Il m’a dit qu’il enverrait un ouvrier en me demandant si le jeudi 27 août me conviendrait. 

    je suis dans mon bureau, occupée à faire des rechercher pour une journée sportive qu’une des entreprises a l’intention d’organiser pour son personnel quand on frappe à la porte. Je me lève comme d’habitude pour aller ouvrir et découvre un jeune homme qui ne doit pas avoir plus de 25 ans. Il est assez grand, cheveux noir, des yeux brun qui respirent une certaine timidité. 

    - « Bonjour Madame, je suis Thierry, je viens m’occuper de ce petit problème » Du doigt, il désigne l’emplacement ou la moquette gondole devant mon bureau. 

    • « Bonjour Thierry, je suis Sonia, entrez, je vous en prie. »
      Le garçon entre et s’agenouille immédiatement pour tâter le tapis.  quand à moi, je reprend place derrière mon bureau et continue mes recherches. De temps en temps, je regarde discrètement le jeune homme faire son travail et constate qu’il a régulièrement le regard fixé sous mon bureau. Je comprend qu’il est entrain de mater mes cuisses par-dessous le meuble. 
    • Je décroise alors les jambes lentement pour les recroiser en sens inverse très sensuellement pour offrir à ce jeune ouvrier le spectacle qu’il désire certainement. Je constate qu’il transpire de plus en plus en travaillant. Je me sens de plus en plus excitée d’être reluquée de la sorte alors après avoir fait ce petit jeu pendant quelques minutes, j’ouvre les cuisses sans les refermées pour que ce mec ait une vue imprenable sur le tout petit string blanc que je porte sous ma mini jupe. L’ouvrier n’en peut visiblement  plus, je vois qu’il bande comme un âne en matant. 
    • C’est quand il voit que je commence à me caresser qu’il ne tient plus et file sous le bureau pour s’en occupé lui-même avec sa langue. Je m’avance sur le bord de mon fauteuil en ouvrant largement mes jambes pour lui laisser un accès facile. Je sens la langue de ce type s’insinuer entre mes lèvres chaudes et trempée de désir avant de s’enfoncer aussi loin qu’il peut dans mon sexe. Je passe mes mains dans ces cheveux, les agrippe parfois pour tirer sa tête encore plus entre mes cuisses et qu’il aie encore plus loin avec sa langue. Je le laisse faire jusqu'à ce que je jouisse puis je le repousse avant de lui dire : 
    •   -  « Maintenant tu vas me baisée. »
    •   -  « Oui madame. »
    •  Le jeune homme me répond comme un enfant qui répond a sa maitresse d’école en me regardant timidement dans les yeux. Moi qui suis de nature soumise, je suis un instant désemparée car je me sens dominatrice avec ce jeune homme. Ce n’est pas pour me déplaire car le jeu, j’aime ça et je sais me comporter contre nature pour mon plaisir et celui de l’autre quand c’est nécessaire. Je me lève et vient m’asseoir sur le devant de mon bureau, les cuisses encore une fois grande ouverte dans l’attente de la queue de ce jeune ouvrier. Lui, de son côté, il se redresse devant moi en détachent fébrilement son pantalon qui tombe sur ses chevilles avec son caleçon. Je découvre alors une belle grosse queue tendue qui ne demande qu’a pénétrer dans ma grotte d’amour. Je fixe ce beau sexe puis regarde le jeune homme avant de lui dire : 
    • « Alors tu viens me la mettre, et tu as intérêt à me baiser convenablement petit con. » 
    • Après avoir prononcé ces paroles, J’ai l’impression que le sexe de l’ouvrier prend encore du volume. Visiblement il aime être traité de la sorte et insulté. Je lui tens un préservatif qui se trouve dans un petit pot sur mon bureau. 

    - « Allez, enfile ca et tronche moi connard. »
    Le jeune homme enfile la capote avec dextérité puis plante sa bite d’un coup dans ma chatte. Les mouvements de vas et vient lui tire de petit râle de plaisir. Comme j’aime la provocation je le regarde dans les yeux et lui dit : 

    - « Alors c’est tout ce que tu peux faire petite bite ? »
    Je vois dans son regard que je l’ai touché dans son amour propre et que maintenant, il va mettre la gomme. Les coups de rein son de plus en plus puissant. Il commence carrément à me défoncer maintenant. Heureusement qu’il me tient par les cuisses aussi non il m’enverrait valdinguer de l’autre côté du bureau tellement ces coup de queues sont puissant. A chaque coup, ma jouissance est accompagnée de petit « oui » d’excitation. Je sens que je ne vais pas tarder jouir puis d’un coup, il se plante au plus profond de mon sexe et dans un râle de plaisir dit : 

    - « Ho putain c’est bon. »
    J’attend qu’il se retire avant de me redressée et de rajuster ma jupe et le reste de ma tenue quelque peut malmenée par ce qui vient de se passer. Le jeune ouvrier quand à lui, remonte son pantalon en me regardant me diriger vers la porte de mon bureau que j’ouvre pour sortir. Je me retourne une dernière fois vers lui avant de sortir et lui dit : 

    • « J’espère que à mon retours vous aurez fini votre travail. » 

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