• Histoire vraie 14 (N'hésitez pas a lâcher vos coms)

    Il est 14h00 quand j’entre dans le bureau d’André avec qui j’ai rendez-vous pour lui exposé mon rapport sur la visite que j’ai effectuée en début de semaine. Il est un des actionnaires principal de la société pour la quelle j’organise cette petite escapade. Il est aussi responsable des relations publiques et c’est pour cela que c’est à lui que je dois faire mon rapport. C’est un homme d’une quarantaine d’année, marié, plutôt grand, châtain, toujours tiré à quatre épingles. Il a quand même le regard assez vicieux et cochon quand il me regarde et ce n’est pas pour me déplaire. 

    Je suis assise devant le bureau d’André qui tout en me posant des questions relatives à ma visite détaille ma tenue sans discrétion. Il faut reconnaître qu’avec mes bottes, ma jupe super courte et mon top des plus décolleté je pense être désirable. Pendant que nous discutons, le responsable se lève et passe de l’autre côté de son bureau pour se placer derrière moi. Je comprend immédiatement que d’où il se trouve maintenant, il doit avoir une vue parfaite sur ma poitrine qu’il peut mater dans vergogne. Je continue néanmoins mon exposé sans la moindre gêne. L’homme attentif pose maintenant ces mains sur mes épaules, il les masse doucement. Ce n’est pas désagréable, bien au contraire, je trouve cela relaxant. Ne voyant aucune réaction négative de ma part, il continue mais cette fois passe les mains dans mon cou avant de descendre sur ma gorge et de continuer lentement plus bas. Il entre doucement dans mon décolleté à la limite de mes seins. Je ne bouge toujours pas et discute comme s’il ne se passait rien alors il descend encore et passe sa main sur mes petites pointes tendues. Plus le moindre doute maintenant, il se rend compte que j’aime ça. Ce traitement ne m’étonne pas vraiment car il est déjà arrivé plus d’une fois à André de me mettre la main au cul mais ca n’avait jamais été plus loin. Pendant qu’il tripote et fait tourner mes tétons entre ses doigts, le téléphone sonne subitement et la, d’un coup, le type retire sa main et passe rapidement de l’autre côté de son bureau pour décrocher le combiné. Il s’assied sérieusement à son bureau comme si la personne à l’autre bout du fil pouvait voir sa position. Il décroche et en posant un doigt sur sa bouche me fait signe de ne pas faire de bruit. En fait, c’est sa femme qui lui téléphone pour lui dicter une petite liste de courses à effectuer avant de rentrer à la maison. Quand je comprend qui est au bout du fil, un souvenir me revient en tête, celle du jardinier et avec ce souvenir, une envie irrésistible. Je plonge sous le bureau d’André qui me regarde stupéfait disparaître. Je m’approche lentement puis pose une main sur la queue du quadragénaire et le caresse doucement par- dessus son pantalon. Ensuite j’attrape la ceinture et la détache avant de s’attaquer au bouton puis à la braguette du pantalon du responsable de la communication. De son coté, il tente tant bien que mal de m’empêcher d’arriver à mes fin mais il n’est pas vraiment en position de force étant donné sa conversation téléphonique avec sa moitié. Je fini quand même par lui sortir le sexe et commence lentement à le sucer en touchant du bout des doigts les couilles que j’ai aussi réussi à dégager de l’emprise du caleçon. Quand à lui, André, mal à l’aise déploie toute son énergie à tenter de garder son sang froid. C’est visiblement difficile pour lui et sa femme s’en rend compte car il est obligé de se justifier en lui disant qu’il a des crampes au ventre. Il réussit quand même à garder son sérieux jusqu'à ce que la conversation avec son épouse soit terminée mais dès qu’il raccroche le combiné, il s’adresse à moi : 

    - « Espèce de grosse salope, tu n’es vraiment qu’une pouffiasse. »
    Il gémissait en prononçant ces paroles et son excitation augmentait tout comme la mienne que ce genre de discourt excite au plus haut point. Je m’active de plus belle sur cette queue tendue et gonflée à bloc. André m’attrape par les cheveux et imprime lui- même le rythme de la fellation et tirant et en poussant sur ma tête brutalement. 

    - « C’est ca que tu veux salope, espèce de pute, je vais tout te foutre dans la gueule. » Il me tenait tellement fermement que j’en avait mal, il me tirait par les cheveux pour que je remonte ma tête puis la poussait vers le bas pour que sa queue s’enfonce de plus belle dans ma bouche de suceuse. Après m’avoir fait subir ce mouvement quelques courtes minutes, il me pousse une dernière fois vers le bas pour planter sa queue bien au fond de ma gorge pour jouir. 

    - « Tiens, prend ca salope, avale sale putain, avale tout, AVALE. »
    Il crie en m’obligeant à tout avaler. Je prenait plaisir à tenter de ne rien laisser mais il y en avait tellement que du sperme s’écoulait malgré tout le long de la grosse tige que j’avait dans la bouche. Je pensais « les couilles de ce porc étaient bien pleine ». J’aime me sentir humiliée de la sorte, utilisée même si c’est moi qui en ai pris l’initiative. Après ce petit intermède, nous reprenons tout deux le travail et quand je quitte le bureau d’André, celui-ci lui demande s’il pourra quand même me baisée un de ces jours. En lui souriant, je lui dis que ce n’est pas exclu, peut être même un jour devant sa femme. Cette réflexion ne fait rire que moi et le responsable en communication me regarde quitter son bureau d’un air perplexe. 

    Histoire vraie 14 (N'hésitez pas a lâcher vos coms)

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