• histoire vrais 11

    Patric était à peine rentré depuis trois jours qu’il était déjà obligé de m’abandonner pour une soirée. Il avait en effet un repas d’affaire qui faisait justement suite à son voyage et comme souvent dans ces cas là, il rentrerait certainement encore très tard.
    Moi qui adore les vieux films car je leur trouve un charme tout particulier ai décidé en l’absence de mon mari de me faire plaisir. Je cherche sur internet une séance de cinéma pour ce soir qui diffuserait un film ancien pour passer une chouette soirée cinématographique seule. Je trouve un petit cinéma spécialisé dans ce genre de diffusion et qui projette le soir même le film « Sur les quais » avec Marlon Brando. Ce film me convient parfaitement et je me prépare pour sortir. Un joli top noir largement décolleté, une mini jupe en velours blanc et des petites bottines à hauts talons composent ma tenue. 

    Quand j’arrive dans la salle un peu avant 20h00, il n’y a qu’une dizaine de personnes présentes. Ce genre de projection n’attire plus les foules malheureusement et c’est souvent la mort de ces petits cinémas de quartier. Je regarde plus précisément les spectateurs présents et voit dans le fond un homme seul assis au beau milieu de la rangée. Je monte les marches qui m’emmènent vers le fond de la salle et m’installe deux sièges avant celui de cet homme que j’ai repéré d’en bas. Quand je suis assise, je remarque que le cinéphile qu’il doit être pose souvent son regard sur mes jambes nues et bronzées. Le film va commencer et très vite la salle n’est plus éclairée que par la luminosité de la projection et celle des petites lumières qui balisent les directions qui conduisent aux sorties de secours. Quelques minutes plus tard, je me lève pour venir m’installer cette fois juste à coté de ce spectateur solitaire. C’est un homme d’une bonne quarantaine d’année vêtu d’un pantalon de costume et d’une chemise blanche. Poussée par cette même envie qui inconsciemment m’a amenée au cinéma, puis m’a poussée à m’asseoir la ou je suis, je pose ma main sur la cuisse de celui qui est maintenant mon voisin de siège. Celui-ci a pour commencer un mouvement de recul du à la surprise mais très vite il se détend et se laisse aller. je le sens et lentement monte le long de sa cuisse pour arriver à son sexe que je masse immédiatement. je sens durcir ce membre viril sous mes mouvements de doigts au travers du tissu. Lhomme n’est visiblement pas insensible aux caresses que je lui fait subir. je me penche alors vers lui et lui glisse à l’oreille : 

    - « Sors-la. »
    je n’ai pas du lui répéter ma demande deux fois. Immédiatement l’homme s’affère sur son pantalon pour le détacher et en sortir une queue grosse et raide comme du bois que je prend immédiatement en main. Je le branle doucement sans brusquer les choses. ma paume monte et descend sur cette queue tiède. Après cette petite branlette de quelque minute, je me penche vers la queue de mon voisin pour donner quelque coup de langue sur son gland puis le lécher doucement. Je sens la main du spectateur se posé sur ma tête et la pousser vers le bas pour que sa queue entre dans ma bouche. Sans me retenir le moins du monde, je laisse entre ce membre tendu dans ma bouche et entame une lente fellation en serrant bien les lèvres. Le type agrippe mes cheveux et me pousse encore plus bas pour que sa queue entre entièrement dans ma bouche.J’accélère le mouvement de ma pipe, le gland m’arrive presque dans la gorge, j’étouffe quasiment à chaque fois que cette queue est au fond de mon orifice buccal. Je sens l’excitation de ce cinéphile monter au fur et à mesure que je le suce. Il relâche son étreinte alors je relève un peu la tête pour le finir en le branlant rapidement. Je garde mon visage à quelque centimètre du gland de mon voisin pendant que je le masturbe. Soudain, il m’attrape de nouveau par les cheveux mais cette fois beaucoup plus fermement et il pousse ma tête vers le bas pour me foutre sa queue dans la bouche presque de force. Il m’oblige à sucer en tirant et poussant ma tête aussi vite qu’il le peut puis d’un coup c’est l’explosion. Je sens le foutre se répandre dans ma bouche par saccade. L’homme me tient toujours fermement pour garder sa queue bien au chaud dans ma bouche. Je suis très excitée car j’aime ce genre de traitement et je mouille comme une folle quand on me brutalise un peu de la sorte. Quand il a bien fini de se vider les couilles dans ma gueule, il me redresse sans ménagement toujours en me tenant par les cheveux et amène mon visage près du siens pour me dire avec une rage excitée : 

    - « Alors, c’est ca que tu voulais salope ? »
    Je lui fait signe oui de la tête alors il me repousse sur le côté comme s’il jetait un simple mouchoir. Je me lève et quitte immédiatement le cinéma sans avoir vu la moindre image du film.
    De retours chez moi, j’ai pris un gode pour me masturbée, j’étais trop excitée par ce que je venais de vivre, j’ étais trop impatiente de jouir que pour attendre le retour de mon mari alors c’est cet objet de silicone qui me ferait jouir une dernière fois ce soir. 

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