• Histoire vrais 10

    En raison de mon congé de lundi, j’arrive très tôt au boulot le mardi car je pensais bien avoir du boulot en retard. J’arrive dans mon bureau à 6h00, ouvre mon ordinateur mais constate que contrairement à ce que je pensais, la journée de lundi avait été calme et aucune demande des entreprises pour les quelle je travail dans l’immeuble n’était urgente si bien qu’une demi-heure plus tard, j’ avais déjà du temps libre en attendant l’ouverture des bureaux. En voyant le beau soleil matinal qui se lève, je décide d’aller faire une petite balade dans le parc qui se trouve à quelques centaines de mètres de mon boulot. J’ arrive dans ce petit coin de verdure en pleine ville et même si ma tenue n’est pas vraiment prévue pour une balade en raison de mes hauts talons principalement, je décide quand même de me promener dans les allées qui s’engouffrent parmi les arbres. Je prends un petit sentier ombragé et en raison de la brise du matin, on voit parfaitement pointer mes seins au travers du tissu très fin de mon chemisier. Pendant ma petite promenade, je vois s’approcher devant moi un homme qui fait son jogging. Il est assez grand, vêtu d’un petit short et torse nu. Il est assez musclé et me fait un peu penser dans sa morphologie à l’ouvrier qui travaillait dans mon jardin la veille sauf que celui-ci était blanc et un peu plus âgé. En passant à côté de moi, il me salue d’un grand sourire que je lui retourne gentiment. Quelques minutes plus tard, des pas de courses se font à nouveau entendre derrière moi. C’est à nouveau le même homme mais cette fois il s’arrête à ma hauteur pour s’adresser à moi : 

    - « Bonjours mademoiselle, que faites vous dans le parc aussi tôt, je ne vous y ai jamais vu pourtant, je viens courir tout les jours. » 

    Cette approche de drague bien classique ne me surprend pas du tout, j’en a l’habitude alors instinctivement, je lui répond quelque chose que je n’avait pas préparé et qui quelque part m’a un peu surprise moi-même : 

    - « En réalité, j’avais rendez vous avec un copain pour qu’il me baise dans les bois mais il n’est pas là. » 

    Le joggeur un peu surpris par cette réponse devient tout rouge et met quelques secondes avant de reprendre ses esprit alors contre toute attente il me répond sans trop de conviction : 

    - « Je peux peut-être le remplacer si vous le désirez ? »
    Sans dire un mot, je quitte le sentier et vais m’appuyer contre un arbre avant de lui faire signe de venir vers moi. Quand il s’approche, je vois qu’il est déjà en érection alors je m’accroupis devant lui et tire sur l’élastique de son petit short pour en sortir sa queue tendue que je porte immédiatement à ma bouche. Je le suce doucement avant de ressortir sa queue de ma bouche et de faire tourner ma langue autour de son gland rougis par le désir. Quand je me retire, de petit fil de salive s’étire de la tige tendu jusqu'à mes lèvres mouillées comme des toiles d’araignées couverte de rosée. J’engouffre ensuite de nouveau toute cette pine dans ma bouche dans un bruit de sucions humide. Le coureur me redresse doucement en me prenant par les bras puis approche son visage du mien avant de poser un doux baiser sur mes lèvres. Il s’ensuit un échange de caresses entre nos deux langues de plus en plus avides. Les bouches sont collées l’une à l’autre et les visages se penchent alternativement sur la gauche puis sur la droite. D’une main il tripote mes seins tandis que l’autre main s’occupe de mon cul qu’il pelote sans la moindre retenue pendant que je le branle 

    délicatement. Son gros sexe tient parfaitement dans la paume de ma main et j’ai de plus en plus envie de la sentir ailleurs que dans ma main. Il profite d’un instant d’inspiration pour me dire : 

    - « Tu es vraiment bonne et tu m’excite. »
    je sais qu’il est excité, je le sens, j’ ai quand même un peu d’expérience dans le domaine et je sais ce que ressentent les hommes quand je m’occupe d’eux. Je me retourne, prend appuis sur l’arbre et me cambre au maximum. Je sens la colonne de chaire chaude se présenter à l’entrée de ma chatte trempée puis la pénétrer lentement. Centimètre par centimètre, je sens le sexe tendu de cet homme entrer en moi. Je préfère plus de brutalité voir même de violence mais je me contente de ce qu’on m’offre surtout quand c’est inattendu comme ce matin. Le joggeur me lime de plus en plus vite en me répétant sans cesse que je suis bonne. Je sens la jouissance monter alors j’ accélère moi-même et imprime le rythme en bougeant mon bassin d’avant en arrière. Je sens que l’éjaculation de mon amant est proche alors dans un mouvement vers l’avant plus ample, je l’oblige à sortir. Je me retourne face à lui, m’abaisse très vite en ouvrant la bouche et en me léchant les lèvres pour qu’il comprenne que je veux qu’il jouisse sur mon visage et dans ma bouche. La queue à la main il me regarde dans les yeux en se branlant pour se finir. Il ne faut pas plus d’un ou deux vas et vient avant qu’un premier jet ne vienne s’écraser sur mon visage. Les jets suivant moins puissant tombent sur mes lèvres et dans ma bouche. Je me délecte de ce merveilleux nectar que j’ apprécie vraiment. Je répète souvent qu’aucun sperme n’a le même goût. Il n’y a qu’a mon mari, évidement que je ne tiens pas ce genre de discourt. Le type frotte bien sa queue sur mon visage avant que je ne me redresse et ne prenne un mouchoir dans mon sac pour me nettoyer le visage. Pendant ce temps, l’homme me demande : 

    - « Tu fais ca souvent ? »
    Je me contente de lui sourire en ajustant ma tenue. Je lui donne un baiser sur les lèvres et juste avant de partir lui dit : 

    - « Je dois y aller maintenant, je vais être en retard pour le boulot. »
    Le type me regarde m’éloignée et quitter le parc. Il n’a pas eu de réponse à sa question mais il venait de vivre, peut être, un véritable rêve. 

    Histoire vrais 10

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