• Quand Denis m’a contactée pour me dire qu’il n’avait pas beaucoup le moral et qu’il est inquiet quand à l’opération qu’il doit subir dans trois jours, je lui ai dit que je terminerait plus tôt pour lui rendre une petite visite et tenter de lui remonter le moral et de lui faire oublier tout cela pendant quelques minutes. 

    Il est 14h30 quand je rentre chez moi pour me changer avant d’aller à la clinique. J’ai promis à mon copain de lui remonter le moral et je sais très bien par ou cela passe chez un homme. J’enfile une mini jupe moulante très courte et un chemisier légèrement transparent ainsi que des bottes à très hauts talons. Un long imperméable complète ma tenue. 

    Quand j’arrive dans la chambre de Denis, je constate que c’est une chambre double mais mon ami y est seul. Il m’accueille avec un grand sourire déjà ravi de ma présence pour lui tenir un peu compagnie. 

    •   -  « Tu es seul dans cette chambre ? »
    •   -  « Non, il y a un jeune gars de 19 ans qui est arrivé hier à cause d’un accident de moto. »
    •   -  « Ou est il ? »
    •   -  « Il est parti faire des radios, je pense qu’il ne devrait pas tarder à revenir. »
      Je
      décide d’attendre son retour pour enlever mon manteau. Je sais qu’après l’avoir ramené, les infirmières ne viendront probablement plus dans la chambre avant un certain temps. Pendant ce temps, je discute de tout et de rien avec Denis, assise sur une chaise juste à côté de son lit. Je constate que mon copain regarde régulièrement mes jambes dévoilée par une petite fente dans l’imperméable. Au bout d’une dizaine de minutes de discutions, le jeune motard revient accompagné d’une infirmière. Celle-ci en profite pour demander aux deux patients s’ils n’ont besoin de rien. Suite à leurs réponses négatives, elle leur dit qu’ils sont tranquille jusqu’au diner. C’est exactement la nouvelle que j’attendais pour retirer mon manteau, ce que je fais dès que l’infirmière sort de la chambre. Les deux hommes me regardent et je pense un moment que le motocycliste va faire une attaque en voyant ma tenue vestimentaire. Ces yeux sortent de leurs orbites, on aurait dit le loup de Tex Avery. Richard, lui, a déjà la main sur sa queue et au mouvement du drap, je me rend compte qu’il se branle déjà doucement en me regardant. je suis assez fière de provoquer un tel émoi chez les deux hommes qui restent sans voix en m’observant. Après avoir posé mon imper sur le siège, je prend quand même la parole en tournant sur moi-même : 
      •   -  « Alors messieurs, ça vous plait. »
      •   -  « Ho putain, tu m’étonne que ça nous plait. »
        Le jeune motocycliste, lui, ne répond rien, il se contente de ne pas détourner les yeux de mon corps. Je retire le drap qui recouvre richard pour lui caresser moi- même la queue. Je me contente pour commencer de le branler doucement de la main gauche pendant que de la droite, je lui caresse délicatement les couilles. Denis a très envie de se faire sucer alors il appuie doucement sur ma tête pour me le faire comprendre. je comble de désir et après lui avoir donné quelques coups de langue sur le gland enfourne la bite entière de mon copain dans ma bouche. Je commence une pipe du tonner en regardant le jeune voisin de chambre qui maintenant se branle lui aussi sous son drap en regardant opérer cette inconnue pour lui. En le voyant faire, Je m’arrête pour lui dire : 

    - « Surtout, ne jouit pas, après, je m’occupe de toi. »
    Cette réflexion a pour effet d’augmenter l’excitation de Denis qui pousse sur ma tête pour que je reprenne la fellation. Je replonge sur cette pine dressée avec le plus grand plaisir et accélère le mouvement en malaxant les burnes de mon ami. Il ne faut pas attendre longtemps avant qu’un liquide chaud et gluant ne vienne se déverser dans ma bouche. Je serre les lèvres sans avaler pour que rien ne s’échappe puis passe entre les deux lits, retire le drap qui recouvre le jeune motard et découvre une grosse queue, plus grosse que celle de mon copain fièrement tendue qui n’attend que moi pour s’en occuper. Je me penche au dessus et laisse coulé sur la bite du jeune homme le sperme que Denis venait de me déverser dans la bouche. Ensuite en branlant cette pine gluante, j’approche mon visage de celui du motocycliste pour l’embrasser. Le jeune homme hésitant au début m’attrape quand même par la nuque pour m’attirer contre lui et me roule une pelle d’enfer. Denis nous regarde puis pose ses yeux sur mon cul. ma jupe est tellement courte que quand je suis abaissée de la sorte, on voit le bas de mon derrière et ma chatte nue sous ma jupe. En tant que proche, il est un peu frustré de voir que ce jeune inconnu a plus d’attention que lui ma part. Lui au moins, il a un baiser langoureux et ça énerve quelque peu Denis mais peut être moins que ce que ça l’excite. Sans hésiter, il colle sa main sur ma chatte qu’il tripote un peu avant de me coller d’un coup deux doigts en me disant : 

    - « Suce le maintenant salope, il n’attend que ça. »
    En sentant ces deux doigts me fouiller le sexe, je me tortille un peu d’excitation puis plonge sur le sexe du jeune inconnu que je pompe frénétiquement. Voila qui a pour effet, non seulement d’exciter encore plus si nécessaire le jeune motard mais également de provoquer mon copain qui maintenant me fourre trois doigts et s’agite de plus en plus vite pour me faire jouir. Je prend moi aussi mon pied en me rendant compte de l’excitation de mon ami, en subissant ces assauts manuels et en entendant ces commentaires graveleux : 

    - « Vas y grosse pute, fais le jouir. »
    Je sens que le jeune homme ne va pas tarder à se vider les boules dans ma bouche alors je redouble d’application et accélère encore le mouvement. ma tête monte et descend pendant que mon copain lui aussi va de plus en plus vite et me fait jouir. D’un coup dans un râle de plaisir et de jouissance le jeune motocycliste déverse sa semence dans ma bouche sans que je ne me retire. J’avale chaque saccade avec un plaisir non dissimulé. Ce foutre est plus sucré que celui de mon ami, il est aussi plus important si bien qu’a la troisième saccade j’en laisse un peu couler le long de la hampe du jeune homme. Après que tout le monde ait bien jouit, je me redresse pour ajuster ma tenue. 

    •   -  « Maintenant messieurs, il faut que j’y aille. »
    •   -  « Merci de ta visite Sonia, tu nous a vraiment remonté le moral. »
      Après avoir déposé un doux baiser sur les lèvres de chacun d’eux en me faisant une nouvelle fois tripotée, je quitte la chambre pour rentrer chez moi.
      Il suffit parfois d’un peu de disponibilité pour remonter le moral d’un ami mais dans notre société, je ne suis peut être pas un exemple et pourtant je ne fais que le bien autour de moi. 

    29. Visite à l'hôpital

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  • Il est très exactement midi quand on frappe à la porte de mon bureau. C’est Vincent, un stagiaire que j’ai eu quelques semaines plus tôt. Un jeune homme de vingt ans qui a plus l’aspect d’un loubard que d’un organisateur d’évènement. Je ne sais pas trop si je l’apprécie ou non mais ce que je sais c’est qu’il n’est pas fait pour ce boulot. Il manque d’organisation, de contact, de savoir vivre aussi. En fait, il n’a rien pour réussir dans ce genre d’emploi. Evidement, le rapport que j’ai rentré était lui aussi loin d’être élogieux. Quand Vincent entre dans le bureau comme une furie un sac à la main, je me lève et passe devant mon bureau pour lui faire face 

    •   -  « J’ai vu le rapport de stage que vous avez fait. »
    •   -  «Oui et alors?»
    •   -  « Vous me considérez comme une merde. »
    •   -  « Tu n’es pas fait pour ce boulot, c’est tout. »
    •   -  « Je vais perdre un an à cause de vous. »
    •   -  « Ce n’est pas mon problème mon gamin. »
      En l’appelant comme cela, je voulais l’humilier une fois pour toute et lui rendre la monnaie de sa pièce. Il m’avais un jour menacée et je ne l’avais pas oublié.
      Vincent qui se tient juste devant moi devient rouge. Il lève le bras et me balance une gifle.

    - « Espèce de salope, tout le monde te baise et moi je n’y ai jamais eu droit. » 

    Il s’avance vers moi et me couche dos sur mon bureau. Dans la position dans la quelle je me trouve, ma mini jupe remonté et il peut voir ma chatte offerte sans le moindre bout de tissu pour la dissimiler. 

    - « Tu ne porte toujours pas de culotte grosse pute. »
    Tout en me maintenant dans cette position, il prend dans son sac une espèce de matraque noire comme l’utilise les policiers. 

    •   -  « Mais qu’est ce que tu fais, tu es malade ou quoi ? »
    •   -  « Ferme ta gueule conasse ou je t’éclate la tête. »
      Je suis partagée entre peur et plaisir. Quelque part, ça m’excite d’être traitée de la sorte et je sens ma chatte devenir de plus en plus ruisselante. Vincent ne tarde pas à s’en rendre compte alors il prend la matraque qu’il tient dans la main droite et l’enfonce sans ménagement dans ma chatte. Il entame des mouvements de vas et vient avec le cet objet qui au départ n’est pas vraiment fait pour ça. Je sens la jouissance monter quand d’un coup, il la retire. Il m’attrape par les cheveux et me redresse. Je suis maintenant assise sur le bureau quand il me porte cette simulation de phallus à la bouche en me disant :

    - « Suce maintenant salope, pompe cette fausse queue. »
    Je ne me fais pas prié et je suce cette matraque au gout de cyprine qui vient de me baisée. Pendant ce temps, Vincent lâche son étreinte, il sait qu’il n’a plus besoin de me tenir, il faut juste qu’il m’oblige à faire ce qu’il veut. Pendant que je suce le bois noir, il sort sa queue dressée. Il m’attrape de nouveau par les cheveux et me tire sur le sol pour me mettre à genoux. 

    - « Suce ma bite maintenant salope. »
    Encore une fois, je ne traîne pas, j’attrape la queue du stagiaire dans ma bouche et le pompe avec frénésie. Je tourne ma langue autours de son gland, lui caresse les burnes. 

    - « Putain, t’aime ça en plus, ça se voit. »
    Je Gémis à chaque insulte ou parole dégradante. Je me trouve dans un état second, transportée par le plaisir que j’éprouve à être soumise. Vincent se retire puis frappe mon visage avec sa pine bandée. Je me laisse faire en gardant la bouche ouverte et en poussant des petits cris de plaisirs. D’un coup, il enfonce à nouveau son sexe entre mes lèvres ouvertes et cette fois en me tenant à deux mains, il baise ma bouche. j’ai parfois envie de vomir tellement il va loin, mes yeux coulent le long de mes joues, mon visage se déforme à chaque coup de rein. Quand il se retire, il m’ordonne : 

    - « Met toi à genoux sur cette chaise. »
    Je m’exécute, offrant ainsi la vision de mon cul, jupe troussée, offerte. Il s’approche et sans la moindre préparation, il enfonce sa pine entre mes fesses. Il me défonce immédiatement le cul en me tenant d’une main par les cheveux. Je suis balancée d’avant en arrière comme une vulgaire poupée. De l’autre main, il reprend la matraque qui trainait sur le bureau et m’ordonne de la sucer à nouveau. je m’occupe de l’engin comme si c’était une vraie queue pendant qu’il me pilonne le cul sans le moindre ménagement. Quand il sent qu’il va jouir, il se retire, reprend la fausse pine que je suce et me la care dans le fion à la place de sa biroute. Il me défonce comme cela jusqu'à ce que j’aie plusieurs orgasmes puis en laissant l’objet dans mon derrière, il passe devant moi pour se branler et me cracher tout son foutre sur le visage. De grosses saccades viennent s’écraser sur ma figure, sur ma bouche et dans mes cheveux.
    Après avoir jouit, Vincent me regarde et me dit : 

    • « Ce n’est que dans cette position que tu mérite être. Tu n’es qu’une vide couille. » 
    • Je ne répond pas, je me laisse aller sur le siège, repue de plaisir. J’ai vraiment pris mon pied, j’ai jouis comme une folle et ce moment me laissera un souvenir mémorable. Par contre, je ne peux laisser les choses comme cela. Je fini par me relever pour faire face au stagiaire. Je le regarde dans les yeux et je lui balance une gifle à la figure comme il n’en a certainement jamais reçu puis je lui dit : 
    • « Tu es une petite merde mais j’ai pris mon pied. »
    • Il me regarde incrédule, sans rien dire alors pour la deuxième fois, je lui colle une grande bafe dans sa tronche car après tout il n’est qu’un stagiaire et un mauvais en plus.
    • « maintenant tu dégage d’ici »

    Il avait carrément les larmes aux yeux ce petit con. Décidément ca veut jouer les vrais mec et ca chiale après deux gifles. Je suis ensuite allée dans la petite salle de bain de mon bureau pour regarder me regarder dans le miroir, j’étais juste un peu rouge sur la joue, dans quelques minutes ce sera partis. 

    Il n’empêche que j’ai quand même bien jouit avec ce crétin, j’ai pris mon pied car l’humiliation j’adore ca.

     

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  • commentez sans retenue mes infidélités et mes photos

    Il vient à peine d’arrivé que le patron d’une boite de matériel électronique qui occupe l’immeuble m’appelle dans son bureau : 

    - « Sonia, j’ai un service à te demander ? »
    Il y a de nombreuses années qu’il me connaît, il m’a connu en tant uniquement qu’hôtesse d’accueil et maintenant, il me demande d’organiser les différents évènements dont il a besoin telle que présence lors de salon ou encore réunion et colloque voir même voyage d’affaire. Ici pourtant, c’est un tout autre problème qui le préoccupe. 

    •   -  « Je vous écoute. »
    •   -  « Nous avons un problème de livraison qui prend beaucoup de retard et la société qui a passé la commande s’impatiente, pourrais tu les rencontrer pour gagner du temps et
      calmer le jeu ? »
    •   -  « Ce n’est pas vraiment dans mes attributions ni même dans mes capacités. »
    •   -  « Fais le pour moi, je suis certain que contrairement à ce que tu dis, c’est dans tes
      capacités.
    •   -  « Ok, je veux bien tenter le coup. »
    •   -  « Très bien, je t’obtiens un rendez vous, tu as carte blanche. »
      Quand je sors du bureau, je me demande comment je vais pouvoir convaincre cette entreprise lésée de renoncer à demander des indemnités car c’est bien de cela qu’il s’agit. Après tout, je n’ai rien à perdre, j’ai prévenu et si ça ne marche pas, ce n’est pas moi qui ai demandé à prendre cette responsabilité.
      Deux heures plus tard, le téléphone sonne à l’accueil.

    - « Voila, tu as rendez vous à 13h00. » 

    Après avoir précisé l’adresse et quelques arguments technique, le patron raccroche le téléphone, confient en mes capacités.
    A 13h00 exactement, je me présente à l’adresse convenue. Une femme d’une bonne quarantaine d’année l’air sévère vient m’ouvrir la porte. Elle est vêtue comme la parfaite secrétaire, tailleur qui arrive juste au dessus du genou, petite lunette ronde et coiffure parfaite. Elle est stricte ce qui contraste assez fort avec ma tenue qui est comme d’habitude sexy et provocante. 

    - « Vous êtes ponctuelle, c’est très bien. »
    J’entre et découvre un grand bureau moderne avec une immense fenêtre donnant une vue splendide sur la ville. Sur la gauche, un énorme miroir occupe presque tout le mur. 

    •   -  « Vous vous rendez compte que le retard de fourniture de vôtre entreprise nous met dans une position très inconfortable ? »
    •   -  « Oui Madame et c’est d’ailleurs pour cette raison que je suis présente ici, pour que nous trouvions une solution à l’amiable. »
      Je
      sens le regard inquisiteur de la secrétaire sur moi. Cette femme n’hésite pas à me détaillée de la tête au pied sans la moindre discrétion. Ce n’est pas le genre de chose qui me dérange, bien au contraire, on pourrait même dire que ça m’excite d’être matée de la sorte.

    - « Jusqu’ou votre entreprise est elle prête à aller pour régler le problème. » 

    • « J’ai carte blanche dans une certaine mesure mais je peux toujours les consulter le cas échéant. » 
    • La secrétaire qui s’approche de plus en plus de moi et n’est plus maintenant qu’a quelque centimètre de moi. Elle est maintenant tellement proche que je sens son souffle sur mes lèvres. 
    •   -  « Et vous, jusqu’ou êtes vous prête à aller ? »
    •   -  « J’irais jusqu’ou il faudra pour aplanir ce petit contre temps. » La quadragénaire sourit et pose ces mains sur mes hanches.
    •   -  « Vous allez beaucoup plaire à mon patron. »
    •   -  « Vous croyez ? »
      Je ne fait pas le moindre mouvement de recul, je ne suis même pas réticente aux caresses sur les fesses que me prodigue la secrétaire. Maintenant elle me pince les fesses en disant :

    - « Vous avez l’air bien foutue, j’aimerais en voir plus. »
    Je me recule un peu et détache mon chemisier pour dévoiler ma poitrine nue dessous. La quadragénaire avant une main et caresse mes seins maintenant découvert. L’effet est immédiat et on le constate facilement en voyant mes bouts grossir. Maintenant elle avant sa bouche et les suce doucement tout en passant une main sous ma mini jupe. Elle arrive immédiatement à mon clito qu’elle fait rouler entre ses doigts en même temps. Je me recule un peu pour prendre appuis sur le bureau et ouvre plus grand les jambes. Je sens un doigt puis deux entrer dans ma chatte et s’y agiter frénétiquement jusqu'à me faire jouir dans un petit gémissement de plaisir contenu. Suite à cela, la secrétaire se redresse, me regarde dans les yeux et dit : 

    •   -  « Tu aime te faire enculée ? »
    •   -  « Hum oui, j’aime m’en prendre dans le cul. »
    •   -  « Ca aussi ça va plaire à mon patron......Tourne toi. »
      Je m’exécute en me cambrant un peu pour bien montrer mon cul moulé dans un petit morceau de tissus que la secrétaire ne tarde pas à remonter avant de caresser doucement mes fesses ainsi dévoilées. Elle les tripote et les écarte pour découvrir ma rondelle offerte. Elle laisse couler de la salive que sens couler jusqu'à ma rosette que je me fait tripoté doucement. La quadragénaire ne tarde pas à foutre un doigt dans mon cul puis un deuxième et à s’y agiter comme elle l’avait fait dans ma chatte. Je ne tarde pas à pousser des petits gloussements de plaisir ce qui provoque une agitation encore plus rapide des doigts qui se trouvent dans mon cul. Je finis par jouir pour la deuxième fois déjà.

    - « Reste comme ça, ne bouge pas, maintenant que tu es prête mon patron va arriver. » Je reste sans bouger, le derrière le plus cambré possible, excitée par la situation que je suis entrain de vivre en ce moment. La porte du bureau s’ouvre et c’est maintenant visiblement le patron qui entre. Il a une bonne cinquantaine d’année, un peu bedonnant, des cheveux très court. Il s’approche en détachant son pantalon et sans dire le moindre mot. Il plante sa pine à l’entrée de mon trou du cul et d’un coup sec s’y enfonce sans la moindre délicatesse. En me tenant par les hanches, il m’encule à un rythme de plus en plus soutenu. Il ne dit pas un mot et se contente de gémir à chaque coup de rein qu’il donne. Quand il arrive au bord de la jouissance, il se retire pour se vider les couilles dans un râle de plaisir sur mes fesses dévoilées. Ensuite, sans prendre attention, il abaisse ma jupe sur mon cul souillé et en met forcément plein le tissu. 

    •   -  « Je pense que le problème est résolu mademoiselle. »
    •   -  « Merci Monsieur. »
    •   -  « J’écrirais à vos patron pour leur venter votre travail car ce n’est qu’à vous qu’ils doivent cet arrangement. »
       

    Je salue ce patron avec qui il est finalement facile de s’entendre et m’apprête à partit lorsque celui-ci la rappelle : 

    •   -  « Vous voyez ce miroir ? »
    •   -  « Oui, il est immense. »
    •   -  « C’est un miroir sans teint, je vous ai regardé avec ma secrétaire. »
    •   -  «Et ça vous a plu?»
    •   -  « Oui énormément tout comme je suis certain que ma secrétaire à aimé me regarder vous enculer. »
      Il souriait d’un air extrêmement satisfait de lui-même et des révélations qu’il venait de faire. je n’etais pas vraiment étonnée de cet aveux et en réalité, j'aurais même aimé le savoir avant, j’en aurait peut être même fait encore plus pour les excité tout les deux. Sur le chemin du retour, une pensée me fait sourire : je vient de régler un litige avec mon cul, c’est le moins qu’on puisse dire.
      Quand j’entre dans le bureau du patron de la boite d’électronique qui m’avais envoyé à ce rendez vous tout compte fait très excitant, celui-ci m’accueille avec un grand sourire et vient me félicité. Il avait déjà reçu un mail de la part du boss avec qui il avait évité le conflit.

    •   -  « Sonia, tu es formidable, tu l’as convaincu, je te revaudrais ça, tu as droit à une belle prime. »
    •   -  « Merci mais ça n’a pas été trop difficile. Quand on est quelqu’un d’ouvert, on s’arrange toujours. »
      je savais ce que je disais et ne croyais pas si bien dire. Il faut toujours exprimer la vérité même quand les autres ne s’en rendent pas compte. 

    27 Problème de livraison

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  • Pour visiter ce lieu de retraite d’entreprise qui se trouve a 250km de Paris, j’ai décidé de prendre le train de manière à tout faire en une journée. Puis il faut avouer que c’est bien plus reposant qu’en voiture et cela me permet de rédiger mon rapport pendant le trajet de retours.

    Je suis plongée dans mon ordinateur portable et machinalement je lève les yeux et constate un homme assis sur la banquette de l’autre coté du couloir. Il me souris, je lui répond également par un sourire avant de replongé dans mon ordinateur pour continuer la rédaction de mon rapport de visite.

    Soudain des petit bruit étranges attirent mon attention, je lève la tête et regarde en direction de la banquette de l’autre coté du couloir et la je vois que le gars qui y est assis est occupé à se branler comme ca, en me regardant. J’avais déjà vu des vidéo de ce genre sur le net mais en vrais c’était la première fois. J’avoue qu’après quelques seconde de surprise, c’est l’excitation qui a pris le dessus. Je me suis mise à le regarder se branler comme ca sans gêne devant mon regard insistant. C’était un homme qui devait avoir une petite quarantaine d’année et vêtu d’un pantalon de training. J’ai pensé que c’était pour faciliter ses actions d’exhibitionniste qu’il portait ce genre de vêtement. Apres quelques minutes à l’avoir mater se branler, ce qu’il avait d’ailleurs l’air de vraiment aimé, je me suis levée et je me suis assise juste à coté de lui. J’en ai profité pour regarder s’il y avait du monde dans le wagon. Il y avait juste un couple deux banquettes plus loin et deux jeunes hommes avec un casque sur les oreilles.

    Sans attendre j’ai plongé la tête la première sur sa queue qu’il s’est arrêté de branler pour la laissé entrer dans ma bouche immédiatement. Il a du être surpris car je ne l’ai même pas prise en main avant de la mettre dans ma bouche. J’ai commencé à le pomper sans le ménager, directement bien fort car j’avais envie qu’il jouisse très vite. Je serrais bien cette queue entre mes lèvres pendant mes mouvement de vas et viens et ajoutant une petite pression de ma langue qui la pousse un peu vers mon palais. Elle était complètement gobée dans ma bouche avide de cette queue de branleur exhibitionniste. Je l’entendis gémir doucement, prendre son pied et je sentais ma petite chatte déguouliner elle aussi de plaisir intense. Il ne lui a pas fallu longtemps pour jouir dans ma bouche. Trois grosses saccades de foutre bien chaud que j’ai laisser couler doucement le long de sa tige en desserrant lentement les lèvres. Je lève les yeux vers lui avant de relevé la tête et en me souriant, il montre du doigt la banquette sur la quelle j’étais assise auparavant. Je redresse la tête doucement pour regarder ce qu’il me montre avec encore un peu de sperme au coin des lèvres.

    Il y a la, assis à ma place les deux mecs que j’avais vu avec le casque sur les oreilles. Ils me regardent en souriant. Le micro retenti pour annoncer une arrivée en gare. Quand le train s’arrête, le gars au training que je viens de faire jouir sort ainsi que le couple et je me retrouve seule dans le wagon avec les deux gars qui m’observent toujours en souriant. Quand le train redémarre, je regarde ma montre, il reste une vingtaine de minutes de trajet. Les deux gars se lèvent et viennent vers moi.

    « on a vu ton petit manège »

    Je les regarde sans rien dire mais sans aucune gène et je leur fais un petit sourire coquin.

    Un des deux gars passe devant moi, pose un genoux sur le siège et l’autre pied sur le sol, il s’appuie dos à la fenêtre et sort sa bite en disant :

    « Tiens, voila encore de la bite ma belle. J’espère qu’il te reste de l’énergie »

    Je me penche doucement vers cette queue déjà bandée par l’excitation de ce qu’il avait vu certainement et je lui lèche le gland doucement. L’autre me prend par les hanches et me position moi aussi un genoux sur le siège et l’autre jambe tendue le pied sur le sol. Je sens qu’il remonte ma jupe doucement puis j’entend un souffle. Pendant ce temps je continue de sucer son pote avec application. 

    « Putin, tu as un de ces cul de salope »

    moi tout ce que je peux répondre c’est 

    « Hummmmmm »

    avec une bite dans la bouche difficile d’en dire plus.

    Je sens son gland se positionné puis ils me pénètre la chatte lentement.

    Je pousse un nouveau rôle de plaisir mais je ne lache pas la bite que j’ai dans la bouche.

    le type que je suce prend la parole

    « elle suce bien cette petite chienne, hummmm ouiii vas y salope bouffe bien ma bite »

    L’autre commence à me baiser de plus en plus vite, de plus en plus fort si bien que je n’ai même plus de mouvement de tête à effectué. C’est lui qui balance tout mon corp et permet a la queue de son copain d’entrer et sortir. Plus il me baisera vite et plus je sucerai fort. Je suis balancée d’avant en arrière au rythme des coup de bite que je reçois. Un rythme de plus en plus soutenu, de plus en plus fort. Les deux gars commence à grogner en même temps. J’entend qu’ils vont bientôt jouir ces deux porcs et ca m’excite. Malheureusement ils ne me parlent plus, ne m’insultent plus mais qu’est ce qu’ils me bourrent bien la chatte et du coup la bouche. Le premier à cracher est celui que je suce qui se cache dans la bouche directement. Je retire un peu la tête que je tourne le plus possible en arrière et je montre le foutre de son copain dans ma bouche à celui qui me pilonne la chatte. Quand il voit cela, ca a pour effet de le faire jouir presque directement. Il se retire et m’éjacule sur les fesses. Il étale son sperme avec son gland entre mes fesses. c’est super bon et il était temps qu’ils jouissent car l’annonce d’arrivée imminente en gare retentit dans le wagon. Ils rentrent tout les deux leur queues dans leur froc avant de quitter le wagon en me disant

    « merci, c’était super bon »

    « tout le plaisir était pour moi »

    ensuite j’abaisse ma jupe comme je peux sur le foutre que j’ai entre et sur les fesses. Je lèches mes lèvres pour voir s’il ,’y reste pas de sperme. Et je me regarde dans la fenêtre du train qui se transforme en miroir en raison de la nuit tombante pour me regarder et voir si je n’ai pas de sperme sur le visage. Puis je quitte le train satisfaite par ce voyage bien agréable.

    vive le train

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  •  

    Je suis ravie d’avoir reçu le coup de téléphone de Denis, un amant de jeunesse qui viens une petite semaine dans la région. Par chance mon mari travaille le samedi matin alors je dis a mon copain de venir a ce moment. je sais que je passerai du bon temps.
    Quand j’ouvre la porte 10 minutes après le départ de Patric, Denis se trouve devant moi. Je l’aurais reconnu même 15 ans plus tard. Il est toujours aussi grand, des yeux d’un bleu profond et la même coupe de cheveux qu’a l’époque. En fait, il n’a pas tellement changé a part quelques rides apparues au fil du temps. Je ne me suis même pas habillée pour sa venue, j’ai juste enfilé un peignoir complètement transparent et je suis totalement nue dessous. mon copain n’a pas tardé à comprendre le genre de moment que je veux revivre alors il me prend dans ses bras avant même de dire un mot et me roule une pelle dans le hall d’entrée de la maison. Nous nous étreignons quelques minutes avant de décoller nos lèvre et enfin se dire bonjour. 

    •  -  « Tu es ravissante, tu n’a pas changée......et de caractère non plus visiblement. »
    •  -  « J’aime toujours autant le sexe, c’est vrais même si je suis mariée. »
      En prononçant ces paroles, je pose la main sur le sexe de mon ami par-dessus son pantalon. Les hostilités étaient déjà lancée et je sais aussi qu’il ne faut pas trainer, on a que la matinée pour se faire plaisir. Sans lui proposer de prendre un verre, je l’emmène à l’étage, dans ma chambre. Denis me prend à nouveau dans ses bras pour m’embrassée mais cette fois ces mains sont bien plus baladeuse. Elles remontent le peignoir qui ne cache rien de mon anatomie. Il me caresse en commençant par mon cul qu’il pelote sans vergogne. Il me malaxe les fesses en les écartant. je ne suis pas en reste, je pose ma main sur la queue de mon amant que je masse et que je serre entre mes doigts au travers du tissus tendu. Ensuite, je m’abaisse pour détacher ce pantalon et en sortir une colonne de chair que ne demande qu’a être sucer. Je lèche doucement les couilles de Denis avant de m’attaquer à sa pine que je suce goulument après l’avoir humidifiée de ma langue avide. Je le pompe de plus en plus rapidement en lui malaxant les burnes jusqu’à ce qu’il se retire de ma bouche pour me pousser sur le lit et se jeter sur ma chatte trempée. Il m’ouvre les grandes lèvres pour pousser sa langue dans mon sexe. Il me suce le clito doucement en me mettant un doigt. la tête en arrière je gémis et me trémousse de plaisir quand j'entend une voiture qui s’arrête dans l’allée. Je lui demande de s’arrêter pour écouter plus attentivement et on entend tout les deux la porte d’entrée s’ouvrir. Un vent de panique souffle dans la chambre. Je fais signe à mon amant en silence de se cacher dans l’énorme penderie qui se trouve contre le mur de la chambre. J’entend la voix de mon mari qui m’appelle en me disant qu’il a oublié son portefeuille dans la chambre. J’attrape en vitesse un gode dans la table de nuit et me l’enfile comme si je n’avait pas entendu mon mari arrivé. Quand il ouvre la porte de la chambre, il me découvre couchée nue sur le lit, un vibro dans la grotte de plaisir, occupée à me faire jouir :

    •  -  « Hum alors on joue sans moi ? »
    •  -  « Ho, mais qu’est ce que tu fais là ? » 

    En jouant la femmes surprise, je retire le sexe toys de son emplacement et ferme les cuisses que j’avais grande ouverte quelques secondes avant. Patric me regarde en sourient et détache son pantalon : 

    - « J’ai oublié mon portefeuille mais je vais remplacer ce truc de caoutchouc avant de repartir. » 

    Quand il abaisse son pantalon et son caleçon, je constate qu’il bande comme un âne alors je lui fait signe de venir 

    •  -  « hum oui, vient vite me baiser avant de repartir, c’est a toi que je pensais. »
    •  -  « Mais j’espère bien ma chérie. »
      Il monte sur le lit, je l’attend, les cuisses grandes ouvertes. Il se place et me pénètre d’un coup sec avant d’entamer des mouvements de vas et vient très rapide. Pendant qu’il me baise je gémis très fort et très bruyamment.

    - « Vas y, baise moi, défonce moi, j’aime ça, oui plus vite. »
    Je criais en prenant ma voix la plus chienne possible.
    Denis, debout dans la placard m’écoute, la queue à la main, il bande et se branle en m’entendant me faire baisée par mon mari.
    Patric donne des coups de butoir de plus en plus fort et de plus en plus loin puis d’un coup, il éjacule dans mes entrailles. Après m’avoir donné un tendre baiser, il prend son portefeuille et s’en va, me laissant couchée et offerte sur le lit, les cuisses toujours grandes ouvertes. C’est quand il entend la voiture démarrer que Denis sort de la penderie et me voit allongée sur le dos, la chatte dégoulinante du sperme de mon mari. Il est excité par cette vision et vient immédiatement, sans le moindre préambule planté sa queue dans ma moule grande ouverte. Il y entre sans la moindre difficulté et sens le foutre de l’autre homme sortir et couler sur ses couilles. 

    •  -  « Tu le faisais exprès de gueuler pour m’exciter, salope va. »
    •  -  « hum oui, a ton tour maintenant, baise moi. »
      j’ai la voix excitée et chaude. Une voix d’envie rapide, de besoin même. J’ai jouit une première fois avec mon homme et j’en veux encore avec celui-ci. Je sens qu’il bande dur et j’aime me faire limer de la sorte, de plus en plus rapidement mais j’ai envie de jouir autrement :

    •  -  « Tu veux m’enculée ? »
    •  -  « hum tu la veux dans ton cul ? »
    •  -  « Oui, fou la moi dans le derrière, j’adore. »
      Denis se retire et je me retourne pour lui offrir une vue imprenable sur ma croupe. Je tortille du cul comme je sais si bien le faire. Il prend avec son doigt un peu de foutre qui s’écoule encore de cette chatte inondée et lubrifie le petit trou dans le quel il met un doigt. Il constate avec plaisir que je suis déjà bien ouverte et prête à encaisser. Il présente son gland à l’entrée de ma rondelle et d’un coup de rein s’enfonce en moi sans ménagement.
    •  -  « Tu es encore plus salope qu’il y a 15 ans toi. »
    •  -  « hum oui, défonce moi le cul, vas y. »
      Sachant l’effet que produisent mes gémissements et mes commentaires sur mon copain, je ne me prive pas pour en faire et surtout pour gémir très fort. En me maintenant fermement par les hanches, il entre et sort partiellement de mon derrière accueillant. Le rythme s’accélère de plus en plus, lui aussi grogne de plus en plus fort témoignant ainsi de l’imminence de son éjaculation. D’un coup je sens le liquide chaud se répandre dans mes entrailles. Je touche les couilles de mon amant, je les sent plus molles maintenant. Quand il se retire, je m’affale sur le lit. Il ne tarde pas à me rejoindre. On s’observe un bref instant, tout deux comblé du moment de plaisir qu’on venait de passer. Maintenant, nous pouvons prendre un verre ensemble, on a tout notre temps car même si Denis est encore présent quand mon mari rentrera, je pourrai le présenter comme étant un ami de jeunesse, ce qui est parfaitement vrais. Il n’y aura plus à mentir et plus rien d’équivoque. Après avoir évoqué quelques souvenirs, mon copain tient quand même à quitter la maison avant le retour de mon mari. Quand il reviendra dans la région, il ne manquera pas de me contacter pour se retrouver une fois encore dans un moment de plaisir intense mais ailleurs cette fois pour ne plus être interrompu même si cet imprévu a apporté une source d’excitation supplémentaire et a contribué à une jouissance encore plus grande. Il est certain que les risques et le danger provoque une montée d’adrénaline et donne à la jouissance et au plaisir une dimension supplémentaire. C’est probablement le goût du risque en plus de l’amour du sexe qui me pousse dans les bras d’autres hommes régulièrement. 
    • 25. un amant de jeunesse

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